Aestherielle Jaktarii

Derrière l'Ecran, le Joueur.

Pseudo Mario
Âge 19 ans
Localisation Paris
Autre personnage Emi Garthesia
Temps consacré au net (et au forum) dans une journée quelques heures
Comment avez-vous connu Les Tables d'Olaria ? Bouche à Oreille efficace
Quelque chose à ajouter ? Astronaute, mais c'est hors-sujet

Devant Vous, le Personnage.

Prénom(s) Aestherielle, Amatha, Bilo (surnom)

Nom Jaktarii, née Helarii

Âge 31 ans

Sexe Féminin

Statut Noble de Sang

Profession ou métier Artiste

Positionnement : Conservatrice

Taille 177 cm

Poids 63 kg

Description physique détaillée Elle s’approche de vous d’un pas sûr, tourne sur elle-même, tourne autour de vous, et vos yeux parcourt son corps avec délice :

Aestherielle se tient toujours droite et digne, selon l’allure qui sied à son rang. Lorsque qu’elle marche, ses longs cheveux noirs se balancent langoureusement de gauche à droite. Ils sont soigneusement peignés chaque matin, après le bain de lait tiède et le bain d’eau gelée. Ces ablutions lui donnent une peau tendre et douce, pure et sensible. Son visage est celui d’une femme d’âge mur, mature et sans rides. Elle le contemple longuement plusieurs fois par jour, admire son nez droit et aquilin, sa bouche charnue…ses yeux brillants d’un éclat marron dévoilent une intense réflexion, comme un feu qui brûle dans deux bijoux. Cette lumière et cette chaleur contrastent avec le maquillage sombre de ses paupières et accentuent la puissance du regard. Une personne qui la regarde droit dans les yeux se sent ouverte, mise à nu, sans nul secret. Son père lui a dit, lorsqu’elle était jeune, que ses yeux ont la puissance de l’astre du jour et la mélancolie de la nuit.
Elle aime se vêtir d’une robe dont le haut colle à la peau, ayant un décolleté montrant la naissance de ses seins, et dont le bas est léger, facilement bousculé par n’importe quelle petite brise venue. Sa robe ne la serre pas, Aestherielle déteste sentir le poids de ses habits, être mal à l’aise dedans. Ainsi, elle ne porte pas de chaussures à talons, mais de petites ballerines noires de danseuse. Elle porte aux poignets une multitude de bracelets et tient deux bagues à l’annulaire gauche et à l’index droit, signe d’amour pour son père et son mari.
Malgré deux grossesses elle a retrouvé un ventre plat. Et, ayant tendance à grossir elle fait aussi attention à sa ligne, son métier accordant une importance cruciale au physique. Malgré ses jambes longues et fines, tous ceux qui contemplent cette femme sont subjugués par son visage qui rassemble la beauté et l’élégance, l’arrogance de la noblesse et le regard maternel de la femme. S‘ajoute à ces qualités la puissance de sa voix qui vient compléter l’autoportrait séduisant d’Aestherielle Jaktarii.

Particularité physique notable Voix profonde et grave

Description psychologique détaillée Comédienne, même lorsqu’elle ne joue pas. Elle ne joue pas un rôle mais change de personnage selon les lieux où elle se trouve. En société un rien l’amuse et tout lui donne ce petit sourire narquois qui se glisse au coin de ses lèvres, telle une pensée ironique. Chez elle, son sourire disparaît au fond de sa bouche qui passe son temps à mordre une pipe. Seuls ses proches connaissent les deux personnalités qui se rencontrent rarement.
Sa vie est placée sous le signe de la lassitude. Lorsque son regard de feu s’éteint, lorsqu’elle ferme les yeux, on dirait qu’elle est partie dans un sommeil éternel. Cette lassitude qu’elle repousse la rende d’une piété immense. Elle se confie longuement à Therdone et attend de ressentir la Volonté divine. Le seul moment où la Volonté la gagne, où l’ennui s’évapore vient lorsqu’elle monte sur scène pour chanter, jouer la comédie ou d’un instrument. Elle se sent pleinement elle-même sur scène et c’est pourquoi elle passe une grande partie de ses journées à s’entraîner, à s’améliorer, à lire, à danser. Par sa passion, elle cherche à combattre et enfin vaincre l’ennui et enfin s’avouer digne de Therdone.
Elle s’intéresse aussi à la politique, moins par intérêt que par amusement. Aestherielle aime observer ses semblables, voir comment ils évoluent, bougent dans le monde, se donnent du courage ou s’affaiblissent. Elle cherche dans les exemples sous ses yeux des moyens de comprendre Therdone et d’atteindre la Volonté. Cette impression de lassitude qui la terrasse lui a donné à penser qu’elle était différente des autres, différente donc solitaire. En les observant et en les analysant, elle pense toucher du doigt, un jour, la Volonté qui anime tout son peuple. Grâce à son cousin Cyrilis, la politique devient pour elle une comédie humaine où son masque intransigeant, cynique et impassible cache un sourire béat et des yeux émerveillés.

Comme beaucoup de nobles de sang, elle aime jouer. Les dés ont ses faveurs. Elle voit dans ce jeu la marque paternelle de Therdone, qui a donné les dés pour que les hommes puissent apprendre le Hasard tout en s’amusant. Il lui arrive même de prendre d’importantes décisions aux dés, laissant le Hasard – Therdone – décider pour elle. On la voit aussi souvent avec un Edor posé sur le dessus de la main, passant de doigt en doigt à chaque levée de doigt, ne tombant jamais. Ce n’est pas un jeu mais un tic, signe qu’elle réfléchit intensément et qu’il ne faut pas la déranger.

Aestherielle est une grande consommatrice de narcotiques. Elle fume dans une longue pipe argentée ou avec un narguilé doré, mais elle se délecte surtout de la Somale. Elle en prend lorsqu’elle est seule, souvent les nuits où toutes les étoiles sont visibles et elle pense atteindre Therdone en s’envolant, légère, avec les volutes de fumées qui s’échappent, emmenant les volutes de pensées. Cependant, la Somale n’est pas efficace pour jouer et lorsque la Volonté la prend, juste avant la scène, elle fume la poudre de Nizär qui lui procure de biens meilleurs effets pour exprimer les sentiments.

Particularité psychologique notable -

Connaissances, Savoirs, Capacités Elle a reçu l’enseignement traditionnel d’une noble de sang. Elle lit et écrit énormément, sait les mathématiques, l’astronomie la fascine. Elle a délaissé les sciences au grand dam de son Instructeur.
Elle a également appris la politique, la tactique et la stratégie. Son visage étant à lui seul diplomate, son Instructeur n’a pas approfondi la matière. Elle a gardé de cette éducation la passion de la politique et le divertissement de la tactique et de la stratégie, assimilées en jouant aux échecs. Elle aime également monter à cheval mais plus pour un galop sauvage que pour une marche militaire au trot. En tant que comédienne, le Verbe et le Discours sont maîtrisés sur le bout des doigts..

Enfance Aestherielle naquit dans une famille Noble de Sang. Son père, Malanek Helarii, était un musicien fantaisiste et sa mère, politique à souhait, conseillère, s’appelle Dresdena. Elle était la cadette de la famille qui comptait que deux enfants vivants.
Sa mère est la seule de ses deux parents encore en vie aujourd’hui : elle s’est retirée de la politique et consacre ses journées à prier Therdone pour son fils, Malorian, devenu militaire. La mère a peu voire plus de liens avec la fille, vu qu’elle désapprouve les passe-temps d’Aestherielle, notamment l’usage de narcotiques et l’excès d’alcools. De plus elle voit en sa fille son mari décédé auquel elle reprochait sa passion pour des futilités comme le chant ou la musique. Malanek est mort suite à la dépendance à la Somale quand Aestherielle avait 11 ans. De lui, sa fille a gardé ces yeux marron et brûlants. C’est aussi une des raisons pour laquelle Dresdena ne va plus voir sa fille, elle désire encore son mari quand elle se trouve en face de sa fille, et déteste cette attirance qu’elle tente de chasser grâce à la Volonté.

Son frère Malorian, de 2 ans son aîné est un militaire reconnu. Il est comme sa mère, sec, digne, conscient de ce qu’il vaut et se donne pour l’armée et pour sa famille. Il ne sait pas comment assumer son rôle de frère et se contente d’obéir à sa mère et à sa femme quand il s’agit de la famille.
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Très tôt, Aestherielle tint un instrument entre ses bras. Bien avant de rencontrer un Instructeur, à l’âge de 4 ans, son père lui apprit à écouter les sons et penser les mélodies, à les penser comme une suite de sons qui s’élèvent pour la gloire de l’Art, disait-il – et de Therdone, rajoutait sa mère. Son père lui faisait jouer de la lyre, du violon, du clavecin et un luth que Manalek fabriqua sur mesure pour elle. Son frère n’ayant aucune oreille et s’ennuyant profondément pendant les leçons paternelles, il prit sa fille en affection et ne la lâcha pas une seule journée jusqu’à l’arrivée de l’Instructeur. La petite partagea alors son apprentissage en deux, entre son père et l’Instructeur, accompagnée de d'autres fils de nobles. En même temps, elle perfectionnait sa musique et apprenait à lire, à compter, à comprendre son milieu. Sa mère l’emmenait avec elle dans les Sanctuaires et elle fut fascinée par la grandeur de Therdone. La mort de son père transforma cette gamine curieuse de la vie, au rire cristallin, si jeune, plein d’espoir et rempli d’innocence.

Adolescence Après la mort de son père, c’est une partie d’elle-même qui s’en est allée. Personne ne pouvait plus l’amuser, personne ne pouvait plus la sortir. Elle passait ses journées à lire, lire, lire sans cesse et puis écrire, plus tard, vers ses 14 ans. Et, face aux remarques aigries de sa mère, en écartant de ses joues les lèvres qui commençaient à se rider, il se creusa entre elles deux un fossé qu’elles ne virent même pas se former. Son frère était populaire parmi les jeunes nobles de son âge et ne prêtait aucune attention à sa sœur misanthrope. De l’âge de 15 à 17, la vie d’Aestherielle fut une longue série de fugues vers la ville basse d’Edor Adeï, où, habillée comme une adolescente pauvre, elle apprenait à connaître le monde, le vrai monde. Pendant que sa mère alertait toute la ville haute de sa disparation, elle jouait du luth dans les tavernes mal famées ou du clavecin dans les tavernes un peu plus riches. C’est dans ces lieux qu’elle apprit à maîtriser sa voix, et à la coordonner avec ses instruments…les paysans et les ivrognes n’entendant rien à la musique, elle pouvait essayer toutes les mélodies ou tous les sons qui lui passaient par la tête. Elle faisait tout ce qu’elle voulait, les hommes n’avaient d’yeux que pour son visage et pour son corps. Elle aurait pu avoir de gros ennuis, mais une bande de jeunes vagabonds la suivaient et la protégeait des mauvaises rencontres in taberna…ainsi, elle goûta à tous les paradis artificiels, de la poudre de Nizär à l’Ambré, de la Somale de mauvaise qualité au plaisir charnel avec quelques garçons. Elle devint femme entre les bras d’un garçon de ferme échappé et égaré en ville, qui lui fit connaître la douleur puis la douceur des premières expériences au sujet desquelles on lui avait donné des leçons bien sages. Cette vie impossible à mener pour une fille de son rang se termina par l’apprentissage militaire venant à 17 ans. Les 18 mois qu’elle passa à apprendre l’art de la guerre fut un sevrage douloureux. Elle fut tentée de fuir une fois de plus, mais elle trouva sur son chemin Alecto Jaktarii, et elle tomba sous le charme…Après l’apprentissage, elle se maria avec Alecto, entra dans la famille des Jaktarii, s’installa avec lui et trois ans plus tard, elle donna naissance à une fille. Un cadeau de la Volonté…puis elle donna l’an suivant naissance à un garçon, mais celui-ci mourut pendant le trajet que le menait jusqu’au sanctuaire. La mort de son garçon ramena Aestherielle bien des années en arrière, dans le souvenir atroce de l’absence de son père.

Jusqu'à nos Jours: De la mort de son fils jusqu’à nos jours, donc de ses 22 ans à ses 31 ans, Aestherielle ne changea pas. Après la mort de son fils, elle retrouva ses affaires de petite fille et d’adolescente : elle revint à la musique. Elle passa son deuil à jouer du luth et du violon, à écrire, et à jouer devant une glace des comédies pathétiques. Elle commença à se droguer quotidiennement et entraîna de nouveau sa voix. Elle se mit à oublier sa fille, puis la délaissa complètement entre les bras de sa propre mère. Seul son mari parvenait à l’atteindre en l’honorant violemment, comme pour la gifler avec des gifles d’amour, et son amour pour lui resta intact, pur malgré la Somale, l’Ambré et la musique. Elle lui consacre autant d’admiration et d’amour qu’elle en donnait à son père, et lorsque elle n’oublie pas qu’il existe et qu’il l’aime, il lui arrive de ne chanter rien que pour lui, une façon de lui parler cœur à cœur – avant le corps contre corps – par-delà la vie extatique de la Somale.
Elle rencontre peu sa fille, partagée entre Dresdena et ses prières et l’Instructeur. Cependant la petite vient la voir chanter et jouer, et voue un culte à sa mère en secret. Elle la voit également aux Sanctuaires, car paradoxalement Aestherielle est devenue très pieuse. Non pas pour renouer avec Dresdena, mais pour se racheter vis-à-vis de son enfant défunt. On dit que l’enfant meurt par manque de volonté de vivre, et Aestherielle est sûre que ce manque de volonté venait d’elle. Dès lors, elle prit Therdone pour son père, son fils et pour elle-même, pour ne plus jamais ressentir de douleurs aussi atroces, insupportables ; certaines choses sont impossibles à guérir, même avec la drogue, et même parfois avec l’aide de Therdone. Alors, Aestherielle joue, chante et donne de l’émotion par la scène et les notes de musique sont les pleurs de ses amours perdus ou les sourires d’Alecto.
Ces années sont aussi marquées par l’influence de Cyrilis. Le cousin d’Alecto est très proche d’Aestherielle et l’a initié plus concrètement à la politique. Lui et sa femme Asmérel sont un délice de conversation.

Position face aux événements politiques: Aestherielle a suivi l’affaire Elandor Arlanii de près. Le fait de soupçonner Riarg Karnimacii lui donne ce petit sourire en coin qu’elle affectionne. Son œil observateur peut-être considéré comme neutre, mais en réalité elle ne veut pas suivre les traces de Cyrilis, malgré son affection pour lui. Elle tient à son jugement et son objectivité, qu’importe s’il aura raison ou pas. Mais, elle aime bien le voir jouer à la politique et prendre son envol…
- Elle n’est pas vraiment satisfaite de la présence d’Ysor Arlanii, l’actuel Gardan Edorta, et contemple le cirque des Conseillers tournant autour du Régent-clown d’un mauvais œil. Ce manège ne présage rien de bon, mais ça aura le mérite de l’amuser.
- Le mouvement Révolutionnaire est clairement une menace à éradiquer. L’Ordre prime sur tout, et ceux qui menacent l’Ordre doivent être passés par les armes. Mais il ne faut pas sous-estimer ce mouvement...
- Le leader des Dissidents demeure un parfait inconnu. Quel qu’il soit, ça fera un divertissement de premier choix, s’il n’est pas anéanti avant
- Aestherielle a entendu parler de cette rumeur…Qu’un nouveau peuple vienne vers eux et s’installe cette période est une coïncidence amusante et prometteuse. Cependant, ce sont les Ilédors qui accueillent, c’est donc eux qui doivent prendre des précautions, en apprendre le plus possible sur ces nouveaux arrivants et connaître leurs causes et leurs coutumes
- Aestherielle croit en la Prophétie du retour des fils Bakarne. Les Oracles sont les égaux de Therdone, et elle croit en Therdone. Elle ne pense pas que la Révolution et les Dissidents en tireront un avantage aux vues de la puissance militaire des Ilédors, mais ce nouveau peuple dont elle ne sait rien est aussi concerné. Rien ne peut inquiéter les Ilédors, alors elle se demande comment cette Prophétie se réalisera. Un jour elle ira rendre visite à ce nouveau peuple pour en savoir plus

Relations Sociales particulières: Elle aime écouter Cyrilis Jaktarii parler de politique et de pouvoir et ils discutent ensemble aussi bien des évènements récents que du dernier bain de lait de Cyrilis. Elle aime aussi suivre les frasques du Fou, ce personnage clownesque qui semble être l’image des hommes…Elle le voyant et en discutant avec lui, Aestherielle a l’impression de parler avec un ange malicieux de Therdone. Vraiment troublant. Elle est également amie avec Asmérel Jaktarii, avec qui elle entretient d’excellentes relations.
Elle est amenée à jouer devant tous les grands Ilédors, Conseillers et Régent compris, elle côtoie un peu tout le monde mais garde toujours une distance. La comédienne ne vit que sur la scène.

Équipement et possessions Aestherielle habite dans la grande demeure de son mari Alecto, héritage paternel. On peut se prélasser dans des thermes tapissés de mosaïques multicolores livrant des scènes de vie des Ilédors. Elle se pose souvent dans la cour intérieure de la demeure où coule une fontaine. C’est généralement ici qu’elle fume tranquillement, lit et joue de la musique quand il fait beau. Il y a une grande salle, à côté une cuisine remplie de denrées. La demeure compte au moins une douzaine de chambres et une vingtaine de salons privés parsemés de livres ou d’instruments.
Alecto Jaktarii possède une résidence près de la mer et des terres, cultivant notamment la fleur du Nizär et la feuille de Mahale. Avec ce commerce de narcotiques, sa fortune personnelle ne cesse de s’accroître. Aestherielle touche un peu d’argent avec ces prestations, mais son mari finance le luthier de la ville basse et une partie des bénéfices sont utilisés pour la consommation de drogues d’Aestherielle. Alecto possède des terres où poussent l'Ongalge et dont la récolte apporte certes une toute petite source de revenus, mais une réserve de liqueurs inépuisables. Alecto et Aestherielle ont également une chambre au palais du Gardan Adorta

Animal de Compagnie Une dizaine de chats noirs parcourent la demeure et réchauffent les sièges, les divans et les lits. Leurs litières sont à l’extérieur de la demeure.
Aestherielle monte aussi à cheval, la famille possède une dizaine de chevaux robustes et rapides

Pistes de Développement pour votre personnage Milieu artistique ou politique, tout lui va, et la découverte du nouveau peuple l’intéresse

Bonjour Aestherielle (quel nom compliqué xD) !
Ta fiche est bonne en l'état, pas besoin d'autre chose =). Il faudra juste bien voir à proposer, par exemple, les personnages en relation avec le tien à la reprise, pour d'autres joueurs.

Tu peux donc commencer à jouer, faire ton Parchemin et tes Possessions !

Bon jeu parmi nous Very Happy

» Cyrilis Jaktarii