Les Tables d'Olaria
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 Lell Llureyin

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2 participants
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Lell Llureyin
Ilédor
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Lell Llureyin


Nombre de messages : 1173
Age : 33
Date d'inscription : 28/05/2010

.:: Le Carnet ::.
Âge du Personnage: 20 ans
Profession: Apprentie guérisseuse
Positionnement : Dissidente
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MessageSujet: Lell Llureyin   Lell Llureyin EmptyLun 31 Mai - 22:36

Lell Llureyin Iledor

Lell Llureyin Vous
Derrière l'Ecran, le Joueur.

    • Pseudo Whisper
    • Âge 20 ans dans quelques mois…
    • Localisation Dans l’Essonne

    • Autre personnage Aucun

    • Temps consacré au net (et au forum) dans une journée Environ 1h par jour
    • Comment avez-vous connu Les Tables d'Olaria ? Il y a plus d’un an, par un site comme l’Antre du RPG ou Best RPG.
    • Quelque chose à ajouter ? Euh... Rien, merci !


Lell Llureyin Autre
Devant Vous, le Personnage.

    Lell Llureyin Identite

  • Prénom(s) Lell Kéfréa
  • Nom Llureyin
  • Âge 20 ans
  • Sexe Féminin
  • Statut Petite Bourgeoisie
  • Profession ou métier Apprentie Guérisseuse

  • Positionnement :
        Voyant directement les effets de la politique des Conservateurs, Lell penche davantage pour les Dissidents.


    Lell Llureyin Physique
  • Taille 1,65 m
  • Poids 50 kg

  • Description physique détaillée On m’a toujours dit que tout le monde est différent, que moi-même je suis autant différente des autres qu’ils le sont de moi. Mais j’ai compris depuis longtemps qu’il y a des différences du domaine de la normalité, et des différences qui vous font passer pour bizarre. Mes yeux sont bizarres et rendent souvent mal à l’aise ceux qui les croisent. L’un est d’une banale couleur marron, que je tiens de mon père. Pour l’autre, la couleur de base change : l’iris est bleu gris avec un éclat de noisette. Ma mère n’a jamais supporté cet état de fait et j’en ai souffert durant toute mon enfance...
    Heureusement pour moi, et pour elle, le reste de mon visage ne souffre d’aucune autre anomalie rédhibitoire. Des cheveux châtains encadrent un visage bien proportionné à la peau légèrement hâlée par le soleil. Attachés lorsque je travaille, je préfère laisser mes cheveux libres sur mes épaules lorsque je sors hors de la boutique de Grand-Mère.
    Je ne me trouve pas très belle, pas laide non plus d’ailleurs, mais je ne me considère pas comme une cible de premier choix. Je ne suis pas très grande mais je vois cela comme un atout, cette taille moyenne me permettant de passer partout. De plus, je pense être trop mince, pas maigre, mais un peu plus de poids ne me ferait pas de mal. Malgré cela, ma silhouette est assez musclée, grâce à la pratique de l’arc et aux longues heures de promenade pour Caili.
    Je m’habille assez simplement, une robe de lin ou de coton me suffit avec un surcot plus coloré par-dessus. Je préfère le pratique à l’élégance et mes chausses suivent la même idée : des bottes de cuir souple fatiguées par l’usage, mais ô combien confortable.


    • Particularité physique notable Hormis mes yeux vairons, un tatouage représentant un dragon orne mon épaule gauche. Souvenir d’une soirée plutôt arrosée... Mais heureusement, je ne le regrette absolument pas.

      Lell Llureyin Psychologie
    • Description psychologique détaillée Je pense être quelqu’un de réservé. Je n’ai pas vraiment d’amis et bien que je me sente parfois seule, cette solitude ne pèse pas si fort sur mes épaules.
      Mon plus gros défaut est que je laisse les choses s’accumuler, goutte après goutte au fond de la coupe, jusqu’à ce que tout déborde. Et en ces rares moments, j’ai tendance à laisser ma colère exploser, qu’elle soit verbale ou physique. C’est aussi pour cette raison, à force d'accumuler, que je suis profondément rancunière et tenace. Lorsqu’on me fait du tort, je n’oublie jamais, et quoi que cela puisse me coûter, j’obtiens d’une certaine façon ma vengeance.
      Comme on me le fait très souvent remarquer, je ne suis pas très bavarde. Est-ce un tort ou une qualité ? Quoi qu’il en soit je sais écouter lorsqu’on me parle, mais pas toujours répondre quand cela devient nécessaire. Ayant peur de ne pas dire les bons mots, je préfère garder le silence plutôt que me tromper.
      Cependant, je suis toute entière vouée à mon métier, et jamais je ne me détournerais de qui que ce soit ayant besoin de soin, qu’il s’agisse de ma mère ou de mon pire ennemi, quoi que dans un cas comme dans l’autre, je risquerais de ne pas prendre de gants.


    • Particularité psychologique notable /

    • Connaissances, Savoirs, Capacités J’ai reçu un bon enseignement car mon père voulait à tout prix que ses enfants soient mieux instruits que lui-même l’avait été. Mais j’ai bien peur de n’avoir pas retenu grand-chose de mes instructeurs. Mon savoir, je le tiens surtout de Grand-Mère qui m’a appris les plantes et les herbiers, comment extraire les principes actifs, quelle dose pour quelle personne… Enfin tout ce qui a trait à la guérison par les plantes. Je sais que bientôt, elle m’enseignera les secrets du corps et les blessures physiques graves.
      Lors de mon Apprentissage Militaire, j’ai découvert que j’étais plus douée pour les armes de jet, ma préférée étant de loin l’arc. J’ai réussi, non sans y laisser la quasi-totalité de mes économies, à m’offrir cette arme, et depuis, j’essaye de m’entraîner tous les jours dans le jardin de notre demeure.


      Lell Llureyin Passe
      J’étais l’enfant tant attendu, l’enfant de la dernière chance pour Jani et Indam Llureyin. Sur quatre grossesses, Jani Llureyin avait fait trois fausses couches qui à chaque fois, avaient failli lui coûter la vie. Mais voici que je naquis, vivante et en bonne santé, braillant à plein poumon ma venue au monde.
      « Lell » murmura Mère, d’une voix fatiguée par le travail, « Lell Kéfréa Llureyin ».
      Et c’est ainsi que me fut donné ce nom que je garderai toute ma vie.
      Le vin coula à flot ce soir là… Ma mère était aux anges, mais elle déchanta bien vite.
      Lorsque j’ouvris les yeux, quelques jours plus tard…

      -« Mais regarde Indam, regarde ses yeux. Ils ne sont pas normaux. J’ai mis au monde un monstre. Je vais être la risée de toutes les autres familles et plus personne ne voudra de moi en société. Ma situation est perdue. Pourquoi donc a-t-il fallu qu’elle naisse avec les yeux d’une bête… ?
      -Cesse immédiatement tes jérémiades hystériques ou quitte cette pièce. Je ne tolèrerai pas une telle bêtise de ta part Jani. Comment oses-tu traiter notre enfant ainsi ? Cela fait des années que nous l’attendons, et lorsqu’enfin notre Volonté s’accomplit, tu craches sur ce cadeau de Therdone. Jamais plus je ne veux entendre de tels propos sur notre enfant. Maintenant sors d’ici Jani, tu me fais honte. SORS ! »
      Une colère froide, telle qu’il n’en avait jamais ressentie, l’avait envahit. Jamais Indam Llureyin n’aurait cru cela de sa propre épouse.
      Du berceau émergèrent les pleurs de son enfant. Il se calma aussitôt. Il regrettait d’avoir crier, cela avait réveillé Lell. Il prit délicatement la petite dans ses bras et la berça doucement, en chantant une vieille berceuse Ilédor, jusqu’à ce que ses pleurs se calment et que ses paupières se ferment sur ses yeux, si différents.

      Une petite fille pleure. Elle pleure, car elle a compris qu’il n’est pas de bon ton d’être différent. Elle pleure, mais pas à cause des railleries des enfants. Non, elle pleure, parce qu’elle a compris que depuis tout ce temps, sa mère ne l’a jamais aimée, qu’elle ne la considérait que comme un échec… Cette petite fille c’est moi, et je pleure avec elle le souvenir de cet abandon, de ce sentiment de duperie, d’amour volé. Ce trou béant dans mon cœur ne s’est jamais refermé, et jamais plus je n’eus d’amour pour elle. Une mère doit toujours défendre son enfant et Jani Llureyin m’avait trahie et abandonnée alors que j’avais plus que jamais besoin de son soutien. J’avais sept ans, et les fondations de mon petit monde s’écroulaient tout autour de moi. J’étais seule et sans soutien.
      Je suis restée alitée pendant des jours, sans boire ni manger, noyée dans mon désespoir, jusqu’à ce que Père rentre. Il s’était absenté plusieurs jours d’affilé à cause de son négoce et quand il revint à la demeure familiale, ce fut pour rester à mon chevet. J’étais petite, mais je me souviens encore des paroles qu’il prononça ce jour là.
      Il me dit de ne pas tenir compte de ce que les autres pouvaient me dire. Que quoi qu’il puisse arriver, j’étais Lell Llureyin et que personne ne pouvait m’enlever ce que j’étais. Que c’était moi qui me forgeait, et non les racontars de personnes imbus d’elles mêmes. Que je ne devais plus restée prostrée ainsi car je leurs donnais raison, mais plutôt marcher la tête haute et être celle que je devais être.
      Je n’ai jamais su s’il parlait de ma mère ou des petits plaisantins de l’Instruction, mais ses paroles me mirent du baume au cœur et je m’y raccrochai avec la Volonté de les suivre.
      Quelques mois plus tard, Jani Llureyin tomba enceinte. Elle devint un peu plus Mère avec moi, je crois que depuis tout ce temps, elle m’attribuait la responsabilité de son infécondité, mais mon cœur lui était désormais fermé. Et bientôt, j’eus un petit frère, et soit dit en passant, ne souffrant d’aucune bizarrerie. Elle lui donna le nom d’Aphel Jonar Llureyin, le second prénom étant en mémoire de son propre père.

      La petite fille a grandi. Elle écoute avec attention l’instructeur qui énonce les propriétés des plantes, tout en essayant d’écrire cette myriade d’informations sur sa feuille. Ses mains sont tâchées d’encre, et son regard brille de passion.
      A neuf ans, je su ce que je voulais faire de ma vie. Je guérirai les gens, je soignerai les blessures, j’atténuerai les douleurs… je serai médecin, guérisseur, chirurgien… J’en parlais immédiatement à Père. Il me soutint, mais me demanda d’abord de terminer mon instruction, et lui se chargerait de me trouver le meilleur maître. Il avait un héritier mâle qui reprendrait un jour son négoce de vins, j’avais donc le droit de choisir quelle serait ma voie.
      Aphel avait alors deux ans et il déambulait résolument dans la demeure sur ses petites jambes potelées. J’aimais jouer avec lui, mais seulement lorsque Mère n’était pas là. Elle ne pouvait souffrir que je sois seule avec son petit ange, car selon elle je pouvais lui faire du mal.
      Mais Jani Llureyin n’était pas souvent là à cette époque, et je profitais de ses absences pour passer outre les interdits. Elle passait la plupart de son temps avec d’autres Dames de son Rang Social, à discourir sur des sujets sans intérêts des après-midi entières, tout en brodant des mouchoirs. J’étais effarée de savoir qu’il pouvait exister des occupations aussi futiles…

      Une jeune demoiselle ouvre des yeux ronds devant le cours d’éducation sexuelle. Elle a l’impression qu’encore une fois, il faut se conformer à un modèle, rentrer à tout prix dans le moule de la bonne épouse fidèle à son mari et qui lui donne de beaux enfants. Elle qui depuis deux ans ne fait plus dans le conforme…
      Les cours théorique sur l’éducation sexuelle furent pour moi un vrai supplice. J’avais l’impression qu’on me disait voici un modèle, qu’il soit tien. Ne savaient ils pas qu’il est des modèles qu’il n’est pas forcément bon de suivre ?
      Père avait tenu sa promesse. Depuis deux ans, j’étais l'apprenti de Grand-Mère, une vielle femme ayant sa devanture dans le quartier commerçant. Officiellement, ce n’était qu’une simple herboriste que tout le monde appelait Grand-Mère, son âge n’étant connu que d’elle seule. Officieusement, elle était guérisseuse mais pas au sens conventionnel. Certes elle connaissait les plantes et s’en servait d’ailleurs beaucoup, mais elle pratiquait en plus la chirurgie, et ce que peu de gens savent la dissection humaine.
      La première fois que je la vis, je ne savais pas tout cela, et je crus que mon Père m’avait trompée en me laissant aux mains d’une vieille femme rabougrie et acariâtre. Mais dès qu’elle commença à m’enseigner, je compris que Père avait raison. C’était effectivement la meilleure.
      Jusqu’à mes dix-sept ans et l’Apprentissage Militaire, je la vis presque tous les jours et j’appris tout ce qu’elle jugeait bon de m’enseigner. Les Simples et leurs vertus, les Herbiers, la distillation, les Maux et leurs Remèdes… Et j’appris encore plus en l’aidant dans ses traitements.
      Car ce que je finis par découvrir, c’est que Grand-Mère était très connue des Humbles, ayant acquis la réputation de soigner quiconque en avait le besoin. C’était d’ailleurs une promesse qu’elle s’était faire, même si ses patients n’avaient pas de quoi la payer en retour. C’est pourquoi très souvent les gens lui offraient une poule, quelques poissons ou une tarte… Cela m’a toujours étonnée de voir que les plus pauvres étaient les plus promptes à donner de bon cœur, tandis que ceux qui avaient davantage les moyens devenaient pingres lorsqu’il s’agissait de payer. C’est pourquoi Grand-Mère n’hésitait jamais à demander une somme un peu plus conséquente à ces derniers.
      Grand-Mère devint rapidement une seconde famille pour moi. Bien que nous ayons surtout une relation maître/apprenti, elle devint plus proche de moi que ma propre mère. Ce qui, sommes toute, n’était pas si difficile. Je passais toutes mes journées dans sa boutique, à préparer des décoctions, des lotions, trier les herbes et les faire sécher, et surtout, j’étais au contact des autres. Et moi qui croyait n’inspirer que dégoût et mépris, je me trouvais face à une nouvelle attitude : l’insouciance… C’était quelque chose de nouveau qui m’arrivait, je n’étais plus cette bête qui hantait ma mère, ou une bizarrerie de la nature. Non, j’étais juste une jeune fille, apprentie de Grand-Mère, qui pouvait elle aussi avoir des relations sociales. Je n’en revenais pas…
      Et puis vint le moment de l’Apprentissage Militaire. Dix huit mois d’immersion totale dans le corps de l’armée. Loin de ma famille, loin de Grand-Mère…
      Je retrouvai presque immédiatement les railleries de mon enfance, mais au contraire de la petite fille qui s’enfuyait ou baissait les yeux, je fis face. N’ayant pas le sens de la répartie, ce furent mes poings qui parlèrent. J’eus surement plus mal que les autres, mais au moins, je me défendais. Je découvris aussi le tir à l’arc. Bander l’arc, amener la flèche jusque sous l’œil, sentir chaque muscle se contracter et frémir sous l’effort, visualiser la cible, viser, et enfin lâcher la flèche, la laisser filer droit vers le centre, chargée du trop plein des émotions… Ce fut pour moi un véritable exutoire : toute la colère et le ressentiment que j’avais accumulés depuis mon enfance filaient avec la flèche pour se ficher droit dans la cible. Ma délivrance, ma catharsis…

      Une femme s’endort dans les bras de son amant. Elle a connu l’Amour et n’est plus une enfant. La petite fille a grandi et cette nuit elle est devenue femme…
      La première nuit où je ne dormis pas seule. La première nuit que je passais dans les bras d’un autre. La première, certes pas la dernière, mais sans doute la plus importante. Je ne l’ai revu que très peu de fois, mais cela m’importe peu. J’ai le souvenir de son étreinte contre mon corps et cela me suffit…

      Dix-huit ans, dix-huit années depuis ma naissance. Mon père arriva en retard, comme à son habitude, avec un étrange paquet sous le bras. Il était pour moi et contenait le plus beau cadeau que j’ai jamais reçu. Une petite chienne blanche comme neige qui me regardait de ses grands yeux noirs du fond de la boite. Une petite vie dont je devais m’occuper, qui comptait sur moi, tout ça à moi. Je le ressentis comme un cadeau de confiance, une confiance que l’on m’accordait, me jugeant capable de m’occuper d’un autre que moi-même.
      Je repris bientôt les cours avec Grand-Mère. Elle m’avait manquée ces quelques mois, mais je revenais différente et murie. Et avec un adorable petit chien qui me suivait partout, ce qui finit par l’agacer considérablement. Deux ans passèrent encore où je m’employai à parfaire mes connaissances jusqu’au moment où elle me confia des personnes à guérir seule. J’y parvins, avec quelques sueurs froides, mais je composai soigneusement les potions nécessaires sous l’œil inquisiteur de Grand-Mère.

      Aujourd’hui, Grand-Mère juge que cette première partie de mon apprentissage est terminée, et bientôt nous passerons à la seconde. Je sais que cette partie a trait au corps humain et aux blessures physiques, mais une petite lueur dans ses yeux me dit qu'il y a autre chose. Elle ne m’a pas encore dit en quoi que ce soit de plus, mais j’ai soif d’apprendre et de continuer sur la route que je me suis tracée.



      Lell Llureyin Viesociale
    • Position face aux événements politiques
      " Les Descendants de Bakarne seront de Retour, pour Libérer le Peuple. "
      Cette phrase prophétique annoncée par les Oracles sonne plutôt creux à mes oreilles. Que les descendants de Barkane soient de retour soit, mais qu’ils libèrent le peuple, j’ai de bien gros doutes. S’il s’agit de ceux que le Régent a exilés aux frontières d’Isles, je ne vois pas vraiment comment ils pourraient renverser la pouvoir en place, malgré leur armée aux portes d’Edor Adeï. Et puis ceux là ne sont que des Nobles ayant perdu leur rang et voulant à tout prix retrouver le pouvoir. Quelle différence ont-ils avec les Conseillers que nous avons déjà ?
      Non, pour moi, je pense que pour « Libérer le Peuple », il faut que quelqu’un de ce même Peuple se lève, et comprenant les souffrances qui l’écrasent, change les choses.
      C’est pourquoi je soutiens les Dissidents. J’ai entendu parler d’eux au hasard d’une conversation et leur façon de penser est plus proche de la mienne que celle des Révolutionnaires… Certes je ne sais rien d'eux, mais enfin des gens sont prêts à tenter leur chance, et cela mérite qu'on se joigne à eux.


    • Relations Sociales particulières
      -Ingam Llureyin : Mon père, un fier négociant en vins et capiteux qui passe le plus clair de son temps à faire tourner la boutique. De ce fait, il ne passe que peu de temps à la demeure, et laisse le soin à sa femme de s’occuper des mondanités et de leurs enfants.
      Bien que trop souvent absent, il occupe la première place dans mon cœur.
      -Jani Llureyin : Ma mère, ou devrais-je dire ma génitrice. Je ne me sens plus vraiment de liens avec cette femme qui tient plus à sa position sociale qu’à sa propre fille.
      -Aphel Llureyin : Mon petit frère, de sept ans mon cadet. Notre trop grande différence d’âge ne nous a jamais permis d’être aussi proche que devraient l’être frère et sœur. Je l’aime beaucoup et passe le voir autant que je peux, mais c’est un garnement entêté et un peu capricieux qui me met le plus souvent hors de moi.
      -Grand-Mère : Mon second mentor. Je ne connais ni son véritable nom, ni son âge. Elle est simplement âgée et pourrait être notre grand-mère à tous. Elle est ma seconde famille, la grand-mère que je n’ai pas et qui remplace la mère que je n’ai plus. Ses connaissances en médecine me semblent illimitées et c'est avec plaisir que je reçois tous les jours un peu plus de son savoir.
      -Elenor Jagharii : Mon premier mentor, l'un de mes instructeurs lors de mon Apprentissage Militaire. Je crois même pouvoir dire que c'était celle que j'appréciais le plus. Bien qu'elle ne nous laissait aucune seconde de répit en nous faisant trimer comme des bête, j'admirais cette ferveur qu'elle mettait dans tout ce qu'elle faisait. Je ne l'ai pas beaucoup revue depuis la fin de l'apprentissage, mais les rares où je l'ai croisée sont restées mémorables. Mon épaule gauche peut en témoigner.
      Je n'ai appris que récemment son accident qui à condamner sa main, et je regrette de ne pas l'avoir su plus tôt. Je me demande si Grand-Mère n'aurait pas pu faire mieux que les médecins qui se sont occupés d'elle...


    • Équipement et possessions Mon patrimoine est celui de ma famille, celui que mon père et mon grand père ont mis sur pieds par leur labeur dans le négoce des vins et capiteux. Je possède une chambre dans la demeure familiale bien que je n’y passe presque que pour dormir. Mes seules véritables possessions sont mes vêtements, mon arc et les flèches qui vont avec, un coffre en bois contenant mes herbes, une dague et ma chienne.

    • Animal de Compagnie Caili, une chienne au pelage aussi blanc que la neige des monts de la Gérax. C’est un chien de berger robuste, de taille moyenne, à la silhouette élégante et harmonieuse. Offert par mon père pour mon dix-huitième anniversaire, j’ai du apprendre à l’éduquer seule, et je pense m’en être pas trop mal sortie. Quoique têtue, elle est toutefois obéissante, mais ne supporte pas de rester trop longtemps seule.

      Lell Llureyin Futur
    • Pistes de Développement pour votre personnage Une chose est sûre, terminer mon apprentissage auprès de Grand-Mère, et devenir guérisseur à part entière.
      Pour le reste, je laisse à mes pas le soin de suivre le chemin qui doit être mien, avec les conséquences que cela pourra avoir… Cependant, je me suis fixée un but : parvenir à rencontrer les Dissidents, et leur proposer ce que je peux leur offrir. On a toujours besoin d'avoir un guérisseur sous la main...


    Dernière édition par Lell Llureyin le Jeu 2 Fév - 10:50, édité 10 fois
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    MessageSujet: Re: Lell Llureyin   Lell Llureyin EmptyLun 31 Mai - 22:45

    Je viens de me rendre compte qu'il manque des choses au sujet des Dissidents.
    Bon, je verrai ça demain, vais dodoter drunken
    Si d'ici là il y a autre chose qui ne va pas... Sleep


    EDIT : J'ai rajouté quelques petites choses pour les Dissidents, j'espère que ça ira ! Smile
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    MessageSujet: Re: Lell Llureyin   Lell Llureyin EmptyMar 1 Juin - 8:11

    bon bah, une petite dissidente, je me sens obligée de lui accorder du temps ("roh l'autre comment elle fait du favoritiiiiisme" - fallait pas me coller cet avatar xP)

    j'ai promis à Berith une lecture de sa fiche ce matin, tu seras la suivante Wink
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    MessageSujet: Re: Lell Llureyin   Lell Llureyin EmptyMar 1 Juin - 8:57

    eh bien eh bien eh bien !

    Cette fiche est un petit gâteau recouvert d'un glaçage rose.


    Voilà.

    Et oui, j'ai faim.

    Bref, tout est bon, c'est farpait hourrah. Seule petite réserve : pour la naissance, nous sommes en train de plancher sur un rite pour l'enfant (plongé dans de l'eau glacé à la Tour des Dieux et tout, le bonheur, pour vérifier qu'il est bien Volontaire...) mais comme nous sommes lents (eh oui) je ne te tiendrais pas rigueur de ne pas savoir ce dont on discute en privé, ce serait pas sympa.

    Par conséquent, tu es validée !

    Et, comme j'aime beaucoup le personnage, et que c'est le genre de nénettes qu'Elenor adorerait, je voulais te proposer de l'ajouter dans tes "relations particulières" comme ton instructeur tatouée de partout (waaaa le beau dragon) qui, pour éprouver ta Volonté, t'aurait laissée t'en prendre plein la tête à l'armée, mais aurait rossé en douce quelques derrières, et aurait admiré ton habileté à l'arc Wink
    Vu qu'elle traîne beaucoup dans les bas quartiers, en particulier les Quartiers Bourgeois, et qu'il n'est pas une beuverie dont elle n'ait pas connaissance, ce me semblait sympa ! (et puis, c'est toujours agréable de commencer en ayant des relations aux PJ What a Face )

    Je puis te suggérer également de proposer ta grand-mère à la reprise, dans ce sujet. Ca te faciliterait la vie en RP, pour son apprentissage ^^

    Voilà, il me semble que j'ai fais le tour, je vais terminer par mon laïus habituel :

      Bienvenue sur les Tables, n'oublie pas de générer le carnet de ton personnage dans ton profil, de voter pour les Tables, d'en faire la Pub, de noter, et commenter le forum sur TdJ, de te tatouer l'adresse du forum sur le dos (ça peut être utile comme pub, avec l'été qui arrive) et de flooder, mais ça, c'est déjà fait xD

      Et puis aussi, parce qu'on est pas dans une agence de com (pas exclusivement xD)
      bon RP !
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    MessageSujet: Re: Lell Llureyin   Lell Llureyin EmptyMar 1 Juin - 11:09

    yaiiiii

    Et moi qui avait peur d'avoir des choses à reprendre (j'étais fatiguée hier soir et en plus, il y avait un film débile à la télé alors ça n'aide pas vraiment ^^).

    Je suis partante pour ta proposition pour Elenor, est ce que cela irait ?

    -Elenor Jagharii : l'un de mes instructeurs lors de mon Apprentissage Militaire. Je crois même pouvoir dire que c'était celle que j'appréciais le plus. Bien qu'elle ne nous laissait aucune seconde de répit en nous faisant trimer comme des bête, j'admirais cette ferveur qu'elle mettait dans tout ce qu'elle faisait. Je ne l'ai pas beaucoup revue depuis la fin de l'apprentissage, mais les rares où je l'ai croisée sont restées mémorables. Mon épaule gauche peut en témoigner.
    Je n'ai appris que récemment son accident qui à condamner sa main, et je regrette de ne pas l'avoir su plus tôt. Je me demande si Grand-Mère n'aurait pas pu faire mieux que les médecins qui se sont occupés d'elle...
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    MessageSujet: Re: Lell Llureyin   Lell Llureyin EmptyMar 1 Juin - 11:11

    owi ! ça me va !

    ça pourrait même donner de futurs plans RP I love you

    bon, je rajoute Lell dans les connaissances d'Elenor, et je déplace ta fiche dans la section appropriée Wink
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    MessageSujet: Re: Lell Llureyin   Lell Llureyin EmptyMar 1 Juin - 11:19

    Edition faite !
    Et merci !
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