● Joueur ●
Pseudo Infornographie
Âge 22 ans
Localisation Rouen
Autre personnage aucun autre personnage qui joue ici =)
Temps consacré au net dans une journée trop et pas assez, question de point de vue...
Comment avez-vous connu Les Tables d'Olaria ? hum… j’en ai imaginé une bonne partie du background, c’est peut-être de la que vient ma connaissance du forum.
Quelque chose à ajouter ? Peut-être que oui, peut-être que non, vous le saurez pas (ah ah 
)● Personnage ●
Prénom Corwin
Nom Télaran
Famille Télaran
Âge 31 ans
Sexe Masculin
Profession ou métier Mineur de Diamants
Positionnement : Contre certains choix de Lysandre, cela dit, il n’a rien contre elle personnellement.
Taille 1m70
Poids 72kg
Description physique détaillée Corwin n’est pas très grand. Heureusement, il se tient toujours bien droit et la tête haute, ce qui lui permet de ne pas paraitre encore plus petit. Pour autant, il ne semble pas imbu de lui-même et ne vous regarde jamais de haut (de toute façon, il ne peut pas avec tant de gens que cela). Au contraire, avec ses yeux bleu-gris très clairs et profonds, toujours grand-ouvert, il semble toujours observer avec le besoin de comprendre et de voir ce qui se cache sous le miroir des apparences.
Il compense sa taille par une forme physique irréprochable. Loin d’être très musculeux, il a pourtant des membres secs et puissants, qu’il manie avec précision. Il agit avec vitesse et habileté, sans hésitation aucune, que ce soit pour tailler dans la roche, courir ou se défendre, mais aussi quand il vous parle. Sa voix grave et posée possède une musicalité certaine qui laisse supposer qu’il doit être bon chanteur.
Son visage, sans angles secs, n’est pourtant pas lisse, avec un nez fin mais pas petit, un front marqué renforcé par ses sourcils épais et un menton et une mâchoire volontaires. Ses cheveux noirs sont particulièrement raides et lui tombent souvent sur le visage, sans pour autant le cacher à la vue. Sa peau est très pâle, reflet de sa vie professionnelle qui l’empêche de beaucoup voir le soleil, sauf en hiver.
Particularité physique notable Rien de notable.
Description psychologique détaillée Corwin est un homme sûr et déterminé qui a clairement l’intention de se forger une place dans le monde, et de ne pas se laisser dicter sa conduite par qui que ce soit, famille, amis ou dirigeants. Pour autant, il n’est en aucune façon belliqueux. Au contraire même, il est pour la paix des ménages et l’entraide entre tous.
Corwin n’est pas instruit, pas plus que la majorité des Olarils en tout cas, mais n’est pas stupide pour autant, bien au contraire. Il est particulièrement vif, et comprend les choses du premier coup, nul besoin de lire ou d’écrire pour ça.
Particulièrement engagé politiquement, il a à plusieurs reprises clamé haut et fort à qui voulait bien l’entendre que le système en Arestim n’est pas le meilleur qui soit, fut-il instauré par les dieux eux-mêmes, ou pas.
Il ne pense pas pour autant détenir la vérité, mais il lui est arrivé de parler soit de conseil des guildes, soit de suppression pure et simple de toute forme de dirigeant suprême, avec plus ou moins de sérieux, selon la situation. Malgré des propos parfois un peu extrêmes, il est de très bonne compagnie et a l’alcool joyeux.
Il est particulièrement courageux, voire téméraire, sachant que pour s’éloigner aussi loin dans la Gerax qu’il le fait avec ses amis et partenaires, il faut bien ça, ou peut-être avoir une case en moins, surtout qu’il a déjà eu à subir les contrecoups de ses expéditions.
Comme on dit, « ce qui ne te tue pas te rends plus fort ». Cette expression s’avère très vrai pour Corwin, qui voit les embuches et les échecs comme des motivations supplémentaires pour se dépasser et repousser ses propres limites.
En ce qui concerne sa vie sentimentale… les choses sont un peu plus compliquées. De fait, il n’a aucune difficulté avec le sexe opposé, et a connu de nombreuses amantes. Il possède même une belle maison qui lui permettrait de loger une charmante petite famille… Le problème étant que ses longs voyages dans la Gerax lui ont toujours gâchés chacune des belles histoires qu’il aurait pu vivre. Toujours, à son retour, la belle est finalement prise par un autre. Les Olarils n’ont pas de problème de fidélité… mais passé trente ans, fonder une famille devient tout de même une priorité… qu’il ne veut pas voir surpasser sa vie professionnelle pour autant – un vrai dilemme en fait.
Particularité psychologique notable Rien de notable.
Passé Georg, était le deuxième fils de la lignée principale des Pélégons il y a de cela 2 générations. Son ainé allait succéder à son père à la tête de la famille, et son cadet avait un talent tel en orfèvrerie qu’il était évident qu’il s’occuperait de cette branche là. Georg, ne sachant trop où se placer, travailla aux mines, mais son statut lui offrit vite la direction de cette branche particulière.
Il eut plus tard 3 fils, comme son père avant lui. Le premier lui succèderait. Le troisième allait se marier avec une fille Edorta et accéder aux sphères plus hautes du pouvoir, comme cela se faisait régulièrement entre les grandes familles dirigeantes. Denan, deuxième fils, se retrouva dans la même situation que son père, et ne savait trop que faire. Par chance, ou peut-être était-ce le destin, il trouva par hasard un filon de pierres précieuses, saphirs et rubis, dont il organisa l’exploitation, lui permettant de trouver sa place dans la communauté.
Denan connut le bonheur d’avoir trois enfant lui aussi, trois garçons, encore une fois. Le premier, Rad, était voué à reprendre l’exploitation paternelle. Le troisième, Chalc, allait se marier avec la fille ainée de la famille principale, en effet, l’actuel dirigeant Télaran, qui appréciait énormément le jeune homme et avait pris sur lui de le former, avait eu à ce jour dix superbes filles qui n’avaient aucun intérêt ni aucune passion pour les bijoux, si ce n’est quand il s’agissait de les porter et de les montrer.
Corwin, selon une longue tradition des seconds nés dans sa famille, se devait de trouver sa propre voie. C’était un jeune garçon vif et courageux, peut-être même un peu téméraire. Il n’avait peur de rien ni de personne, et se lança à l’aventure avec deux de ses cousins germains, des jumeaux, Ril et Leorg Telan. Ils n’étaient pas très futés à deux, et encore moins quand ils étaient séparés, mais étaient d’une bonté sans pareille dans toute la guilde, et s’étaient liés d’une amitié à déplacer des montagnes avec Corwin. Leur simplicité les empêchait d’avoir un rôle plus important que simples mineurs de fer et l’importance qu’accordait Corwin à leur présence les confortaient dans leur décision de le suivre quoi qu’il fasse. Un quatrième comparse se joignit à l’aventure, Erohir Télaran, un autre cousin. Corwin et lui ne furent jamais très proches dans leur prime jeunesse (sauf peut-être quand il s’agissait de se bagarrer), ayant des caractères opposés, mais son coté casse-cou le poussa à suivre la petite équipe dans leur folle épopée.
Comme son père donc, mais avec plus de volonté très certainement, Corwin se lança à l’assaut des hauteurs et des profondeurs inexplorées de la Gérax. Cela peut sembler évident pour un futur mineur, de s’aventurer dans la montagne, mais nous sommes à Olaria, et les frontières naturelles sont toutes plus vicieuses qu’elles en ont l’air. Les terribles Ilgeraxans donc, créatures sombres et noires, petites et vicieuses, vivent au fond de cavernes nauséabondes… ou tout du moins est-ce ce que l’on raconte à tous les jeunes Olarils. Le jeune Corwin et sa bande d’amis, eux, loin de ne pas y croire, considéraient ces créatures comme surévaluées, surestimées. Ils ne pouvaient pas être plus que des animaux, et les Olarils s’y connaissaient pour mater les animaux.
Aussi s’enfoncèrent-ils plus loin qu’aucun Olaril ne l’avait sûrement jamais fait dans la Gerax. Ils trouvèrent des zones plus escarpées qu’aucun d’entre eux n’aurait pu l’imaginer, des conditions climatiques particulièrement difficiles, mais surtout, ils trouvèrent, par chance, par culot mais aussi grâce à un certain talent inné pour observer, des grottes sombres, étrangement stables, et qui semblaient briller de l’intérieur. Ce n’étaient pas des mines, assurément, mais elles semblaient tellement artificielles malgré tout… Leur curiosité les poussa à s’y aventurer plus profondément, et c’est là qu’ils trouvèrent leur avenir : les diamants.
Le premier chargement fut ridiculement maigre, mais à force de faire des allers-retours, ils tracèrent des chemins qu’ils connaissaient de mieux en mieux, se construisirent un petit entrepôt (disons, une cabane dans la montagne), qui devint avec le temps leur gite sur place. Les voyages se rallongèrent alors de plus en plus jusqu’à ce qu’un drame arrive.
Corwin, Erohir, Ril et Leorg se rendaient dans leurs mines une fois les beaux jours clairement installés, et rentraient avant les premiers frimas de l’hiver. Chaque voyage les rendaient plus appréciés par les joailliers d’Arestim, qui trouvaient dans leurs diamants une source de renouveaux de leur art de manière inattendue, mais aussi pour les outils de précision bien plus résistants que l’on pouvait faire en diamant. Enhardis par leur réussite, les jeunes coqueluches de ceux qui aimaient les bijoux s’aventuraient toujours plus loin et profondément pour trouver des diamants toujours plus gros.
Un hiver, on ne les vit pas revenir. Certains disaient qu’ils n’allaient pas tarder, d’autres qu’ils étaient morts. La réalité était bien pire évidemment. On raconte qu’un dirigeant d’Arestim, autrefois, fit un pacte avec les Ilgeraxans, car trop de mineurs mourraient dans leur travail, emportés par les créatures. Les Olarils ne s’enfonceraient plus trop loin dans les profondeurs de la terre, et les Ilgeraxans rendraient en vie ses enfants à Olaria.
C’est ce qui arriva aux quatre compagnons. Ils réapparurent avant la fin de l’hiver, transis de froid, l’air hagard et fatigués. Ils avaient étés rendus, mais seulement après avoir eu la peur de leur vie. Aucun d’entre eux ne raconta jamais vraiment ce qu’ils avaient vécus, mais il était évident que cela avait été terrifiant.
Pourtant, ils repartirent à la saison suivante, et continuèrent leur commerce, mais de manière sensiblement plus… raisonnable. Ils ne connurent plus de problème d’une telle importance, ou en tout cas, personne n’en entendit parler. Ils engagèrent quelques ouvriers pour les aider, mais rares étaient les élus qui avaient le droit de connaitre le secret de la localisation de leurs mines.
Cet hiver, en rentrant, ils eurent plus de surprises qu’ils ne s’y attendaient. Déjà, Laclaos était mort. Ils en avaient entendu parler sur la route du retour, mais la folie qui semblait régner à Arestim dépassait ce qu’ils avaient pu imaginer. Lysandre Hirune avait été désignée à sa place, mais ce choix semblait faire polémique. En effet, une Hirune au pouvoir ? C’est l’héritier des Edorta qui devait faire une drôle de tête… Corwin, lui, vit les événements qui suivirent comme une confirmation de ce qu’il pensait déjà savoir. Les deux familles dirigeantes étaient tellement pourries jusqu’à l’os par le pouvoir que çela allait mettre à genoux tout les Olarils. Les évènements lors des jeux de Bakarne avancés furent la cerise sur le gâteau : ils s’entretuaient et faisaient des erreurs plus grosses qu’eux ! Enlever un Ilumber ? Corwin savait à quoi s’attendre avec les Ilgeraxans, mais rien ne disait que quelque chose empêchait les créatures de la forêt de venir se venger pour récupérer leur frère.
Il n’avait rien contre Lysandre, mais ses actes mettaient en péril la stabilité d’Arestim, et du même coup la vie de tout les Olarils. L’atmosphère de révolte était palpable, et il était difficile de savoir ce qui allait bien pouvoir se passer par la suite. Ce qui était sûr, c’est que Corwin y prendrait part, que ce soit dans un camp, dans l’autre, ou contre les deux…
Equipement et possessions Corwin possède une grande maison où il vit seul. Il y a régulièrement des occupantes avec lui, mais rarement plus d’un hiver. C’est que c’est dur à chauffer une grande maison comme ça… Il y a aussi une petite étable pour Silke, sa jument.
Corwin, avec ses compagnons, possède plusieurs mines dans la Gérax, des mines de diamants. Ils ont également une maison entrepôt où ils vivent durant la majeure partie de l’année, tous ensembles. L’endroit a été agrandit à de nombreuses reprises, et permet tout le confort possible au milieu de la montagne.
Il possède bien sûr tout le matériel nécessaire à l’extraction du diamant, ainsi qu’à son évaluation. Il a aussi une charrette qui lui permet de faire les voyages entre ses deux lieux de vie.
Il a des réserves de diamants bruts, qu’il garde comme monnaie d’échange en cas de besoin, ce qui de fait, l’en mets à l’abri.
Autrement, il n’a aucune chose à laquelle il tienne absolument.
Connaissances, Savoirs, Capacités Corwin ne sait ni lire ni écrire, il sait très bien compter par contre. Il est un peu plus au courant de l’histoire des Olarils que ses compatriotes car il a l’oreille plus aiguisée que beaucoup et que c’est une question qui l’intéresse.
Il a une vue perçante qui lui a toujours permit de repérer des détails que d’autres ne soupçonnerait même pas. Il a de même une bonne ouïe et aime dire qu’il a un nez bien entrainé et qu’il peut reconnaitre n’importe quoi rien qu’à l’odeur les yeux bandés. De fait, il a gagné tout les concours qu’il a organisés sur ce point précis.
Il n’a pas d’entrainement particulier au combat mais sait se défendre voire faire mal si jamais le besoin se fait sentir, mais il n’aime pas ça.
Animal de Compagnie Corwin possède une jument qu’il possède depuis qu’il est tout jeune, Silke. C’est un imposant cheval de trait à la robe noire de 20 ans, qui lui a toujours été d’une fidélité sans faille. Elle tire son attelage quand il part travailler dans la Gerax, mais ils partent souvent courir dans les plaines d’Olaria.
Elle a un caractère fort, et n’obéit complètement qu’à son maitre, mais sait se montrer douce et patiente quand la mélancolie règne autour d’elle (les accidents dans les mines n’étant pas si rare que cela).
Position face aux derniers évènementsCorwin se fiche qu’une Hirune ou qu’un Edorta soit au pouvoir ou pas. Pour lui, ces deux familles, en politique, ne valent pas mieux l’une que l’autre. Ils sont, pense-t-il - et sûrement n’a-t-il pas tort - l’une des toutes principales sources d’instabilité à Arestim Dominae, bien avant les catastrophes naturelles. Tout le monde se porterait bien mieux si un conseil de toutes les familles était formé, ou mieux, si on oubliait cette idée stupide de domination des uns sur les autres.
Dim 8 Fév - 21:30
