Les Tables d'Olaria
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 Norian

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Norian Valandil
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Norian Valandil


Nombre de messages : 7
Age : 32
Date d'inscription : 07/02/2009

.:: Le Carnet ::.
Âge du Personnage: 42 ans
Profession: Palefrenier
Positionnement : partisan
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MessageSujet: Norian   Norian EmptyDim 8 Fév - 11:19

● Joueur ●


Pseudo Patate Masquée
Âge 17 ans
Localisation Région Parisienne

Autre personnage //

Temps consacré au net dans une journée assez aléatoire, ça dépend beaucoup de la charge de travail que j’ai (et des grèves T.T) disons que je passe un jeudi aprem entier sur deux sur le net, et j’essaye de venir une heure par soir (normalement je suis là tous les samedis aprem aussi.)

Comment avez-vous connu Les Tables d'Olaria ?En fait je l’ai vu référencé dans plusieurs top-sites, ainsi que sur from hell (enfin il me semble) et sur Prophéties Nordiques (où je suis Elwë Valandil…)

Quelque chose à ajouter ?J'aime les chips...


● Personnage ●


Prénom Norian
Nom Valandil
Famille Astar
Âge 42 ans
Sexe Masculin
Profession ou métier Palefrenier

Positionnement : Pour Lysandre

Taille 1m81
Poids 72 Kg

Description physique détaillée

Nissia observa encore une fois son futur mari, se délectant d’avoir été choisie par un tel homme. Il la dépassait largement, elle et son petit mètre 67… Elle s’attarda sur son visage, au large front dissimulé en partie par son habituel bandeau beige retenant la masse de cheveux, mi-longs, noir corbeau loin de ses yeux. Elle caressa du regard les lèvres fines, à la commissure toujours dansante, placées au niveau de son impressionnante mâchoire qui offrait à son visage une forme carrée assez virile. Elle vit alors les lèvres s’étirer en immense sourire, offrant une jolie vue sur une rangée de dents blanches parfaitement alignées. Nissia, se demandant ce qui pouvait bien faire sourire son âme sœur, plongea son regard dans celui de son mari. Ses yeux bleus étaient semblables à un ciel d’été, il étaient tellement clairs que la jeune femme était persuadée, qu’avec un peu d’efforts, ont pourrait y voir l’âme de son époux, comme si ces deux globes oculaires étaient aussi transparents que des fenêtres.
Nissia rougit et détourna rapidement le regard, ce qui eut pour effet de faire rire le jeune homme qui retourna ensuite ses yeux et toutes sa concentration sur l’astiquage d’une selle.
Après un coup d’œil pour vérifier que l’homme ne la regardait pas, la future mariée retourna dans la contemplation de Norian. La boucle d’oreille finement ouvragée qu’il portait au lobe de l’oreille droite brilla un instant, réverbérant une infime seconde l’éclat du soleil. Le regard de Nissia souligna alors la forme musclée de l’épaule de son fiancé, elle dévia alors légèrement pour poser ses yeux sur le torse de celui-ci. Elle sentit alors une bouffée de chaleur l’envahir alors qu’elle se perdait dans la contemplation de ce torse nu. Habituellement Norian était vêtu d’une tunique en toile, mais il avait décrété qu’il faisait trop chaud pour la garder et travaillait depuis une demi-heure, torse nu. Tout en cet homme attirait Nissia, ses yeux, son teint charmant, légèrement halé à force de travail à l’air libre… A ce moment même, elle avait terriblement envie que Norian la prenne entre ses bras musclés et la sert contre sa large poitrine.
Le garçon fronça ses sourcils, assez fins pour ceux d’un homme, et se leva, visiblement embêté d’avoir à le faire vu qu’il était bien installé aux côtés de la douce jeune fille qui était en train de faire sécher ses plantes. Enfin c’était ce qu’il croyait puisque celle-ci était visiblement complètement désintéressée des feuilles alignées devant elle, préférant le suivre du regard. Etrangement, malgré sa taille et sa corpulence, Norian se déplaçait assez souplement, pas comme son cousin Auogust, qui possédait les mêmes proportions et qui se déplaçait pourtant comme un bœuf.

Mais plus que tout…Nissia aimait le sourire du jeune homme. Surtout celui qui lui accordait à elle, et à personne d’autre… Un sourire tendre, doux, aimant, les yeux brillants d’amour. Nissia fut la dernière à voir le sourire de son époux. Car la jeune femme vint à mourir, et avec elle, elle emporta le sourire et la joie de son mari. A ce jour, alors âgé de 42 ans, Norian n’accorde que des sourires forcés, pour rester poli et suivre les règles de la bienséance. Sinon il affiche un air lointain et pensif, son esprit étant toujours ailleurs.

Particularité physique notable //

Description psychologique détaillée Norian est une âme en peine, seule et perdue. La mort de sa femme l’a achevé et il vit désormais dans le passé et dans les illusions des souvenirs perdus. Il prend beaucoup sur soi pour donner l’image de quelqu’un d’honnête et de droit. Il est cependant peu sociable et à du mal à entrer clairement dans la vie de la communauté, mis à part de par son métier. Dépressif, c’est un solitaire qui ne cherche pas de compagnie. Norian était pourtant quelqu’un d’agréable à l’époque. Pas foncièrement méchant, il n’est plus habitué aux longues conversations des soirs d’été et peut parfois paraître un peu bourru.
L’Orian est pourvue d’une objectivité digne de son pessimisme, il est très apprécié dans les jugements de querelles…Et pourtant, avec les derniers événements, son avis est remis en cause régulièrement par les opposants.


Particularité psychologique notable Toujours l'air un peu triste, il est d'une objectivité accablante.

Equipement et possessions

Equipement: tout l'attirail des palefreniers qui serait trop long à énumérer.

Possessions: Olwen, une jolie selle qu'il a fait faire sur mesure avec dorures et tout le tralala (rien n'est trop beau pour Olwen...), une minuscule chaumière au bord du village.

Connaissances, Savoirs, Capacités Norian est un exellent palefrenier, il n'y a plus de secret pour lui dans ce métier qu'y est le sien. Il à la capacité de tisser des liens particuliers avec les animaux qui resentent ses émotions, et qui ont confiance en lui.

Animal de Compagnie

Citation :
Ce dernier observait l’humain s’approcher, derrière ses longs cils noirs. Sa robe auburn aux reflets parfois roux, était presque entièrement unie, sauf le bas des pattes, au dessus des sabots, qui était blanc, et une grande tache du même noir que sa crinière, en haut du ‘front’.

Olwen est un cheval aux longues pattes et aux attaches fines, un cheval de course. Et aussi un horrible gourmand tête de mule. Norian est souvent forcé de lui présenter une quelconque friandise pour que l'animal daigne se mettre au galop. Et pourtant quand le coeur de Norian se sert et que la tristesse le submerge, Olwen est le premier à hennir sous le pretexte de réclamer son attention, et à venir blottir son museau contre l'épaule de l'homme.


Position face aux derniers évènements

« Rien…. »
-Comment ça tu n’en pense rien ? Ce n’est pas possible voyons !!!
« A vrai dire…je m’en fiche… »

Eviort fronça les sourcils, mécontent de la réponse de Norian. Comment pouvait-il dire de telles âneries ? Tout insensible qu’il était, il fallait bien qu’il en pense quelque chose ! L’homme poussa un profond soupir et posa son regard aussi bleu que le ciel sur l’enfant, fièrement assis sur une motte de foin, c’était un des rares enfants du village qui acceptait l’idée qu’on puisse avoir une conversation normale avec Norian Valandil.

« Lysandre est jeune et impétueuse mais elle à aussi des qualités…Elle peut faire un bon chef… »

Eviort l’observa, clignant bêtement des yeux le temps d’assimiler la réponse qui l’avait choqué, lui un Edorta plus que tout autre.

-Mais elle a tué une Edorta !!! Une Hirune ne rate jamais sa cible !!! Elle l’a fait exprès voyons ! Tu n’étais même pas là ! Comment ne peux-tu me croire ?

Norian ne regardait plus l’enfant, il brossait soigneusement Soie, une jolie jument qui attendait son premier poulain.

« Je ne connais pas particulièrement bien Lysandre, mais je peux t’affirmer qu’une chose. JE ne croirais aucune des versions qui me seront donnée d’un Hirune ou d’un Edorta… Vous êtes tout sauf objectifs…Tes jeunes yeux ont pu te jouer un tour … »
-Mais….

Le palefrenier se tourna brusquement, jaugeant le jeune homme qui lui faisait face. Il se dressa alors de toute sa hauteur pour bien faire comprendre au jeune Olaril qu’il n’était pas en position de force ici.

« Tant que personne ne m’amènera une preuve de sa culpabilité, je soutiendrais Lysandre…Cette conversation est clause… »


Eviort hocha silencieusement sa tête blonde, l’air boudeur, contraint d’accepter sa défaite.


Dernière édition par Norian Valandil le Lun 16 Fév - 15:13, édité 6 fois
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Norian Valandil
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Norian Valandil


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MessageSujet: Re: Norian   Norian EmptyDim 8 Fév - 11:20

Passé

Acte 1. Naissance.


Dans un profond soupir de soulagement, Eniala laissa retomber sa tête sur l’oreiller, les longs cheveux roux qui encadraient en de jolies boucles souples son visage, étaient aujourd’hui plaquées contre celui-ci par la myriade de gouttes de sueur qui faisaient joliment briller le visage de la jeune femme à la lueur des bougies. C’était le second enfant auquel elle venait de donner la vie, cependant elle avait prié chaque jour Hégoa de pouvoir enfanter un petit être en bonne santé, car la grossesse avait été cette fois-ci plus difficile. Ses chevilles avaient gonflées, lui dérobant sa liberté de mouvement, son dos s’était fait douloureux et les vomissements beaucoup plus fréquents qu’à la première fois. Au moment des premières contractions l’olaril avait prié avec encore plus de ferveur la déesse de la fertilité de permettre à l’enfant de se présenter correctement. Elle avait entendu des histoires au sujet de femmes qui avaient perdues leur progénitures, et par la même occasion, pour certaines, la vie, car celle-ci s’était présentée par le siége et non par la tête.
Trop épuisée, Eniala pu seulement entendre les cris geignards du nouveau né.


*il cri fort, sa voix est puissante, ce sera un enfant robuste !*

Un sourire se creusa dans le visage épanoui de la jeune femme. En ce moment même, Areäl l’érudit devait être en train de bénir le nouveau-né, ainsi que de lui accorder un nom…La jeune mère fit un effort et se redressa, aidée par une vieille Olaril qui s’était presque jetée sur elle dès qu’elle l’avait vu bouger. Les yeux verts d’Eniala se posèrent sur l’érudit qui montrait le bébé à l’assemblée de Femmes réunies dans la petite chambre des Valandil. L’homme présenta bien l’enfant à chaque femme avant de parler.

« Cet enfant se nomme Norian. Souhaitons lui la bienvenue et félicitons le lui et sa mère pour la réussite de cette mise au monde… »

Il y eu des hochements de têtes approbateurs parmi l’assemblée. Eniala, radieuse, semblait désormais étinceler, comme si la lueur de fierté qui se diffusait en elle l’illuminait de l’intérieur, transpirant de chaque pore de sa peau. Toutes les habituelles coutumes s’enchaînèrent rapidement, alors que la mère était désormais perdue dans la contemplation du poupon emmailloté de draps blancs, reposant dans ses bras, un petit poing à la fois si fragile, et si fort pour un si petit être, lui emprisonnant l’index. Les petites mèches sombres de cheveux épars sur le crâne rose du nouveau-né promettaient de lui offrir une tignasse noire semblable à celle de son géniteur. Ce dernier se tenait fièrement aux côtés de sa moitié alors que le défilé des hommes de la guilde ne semblait pas en finir.
Puis vint la fête en l’honneur du petit Norian. En remerciement à la déesse de la fertilité. Comme d’habitude, les festivités furent grandioses, le village était en effervescence à chaque fois qu’un enfant venait au monde. Mais aux yeux d’Eniala c’était comme si le village s’était levé uniquement pour SON enfant. Elle avait d’ailleurs eu le même sentiment lors de la naissance de son premier-né, Elundril… Celui-ci avait été confié momentanément aux autres femmes, le temps de la fête…
Cette nuit, ce fut Norian qu’Eniala et Alandre, son mari, présentèrent à la Lune



Acte 2: Olwen


« Ce n’est pas très joli… »

Le garçonnet perché sur une des branches placées à mi hauteur entre le sol et la cime du jeune cèdre sur lequel il avait jeté son dévolu. Sa frange sombre recouvrant une partie de ses yeux, vibra sous l’effet de la petite brise qui venait de se lever. Son regard était posé sur une couronne de fleur, enfin ce qui semblait être une imitation de couronne… Une fillette, le dos appuyé contre le tronc, éclata de rire, ses boucles auburn s’agitant au mouvement de sa tête pour jeter un coup d’œil à la création de son acolyte. Visiblement vexé, l’enfant jeta avec un geste rageur son œuvre contre l’écorce du cèdre, la mine boudeuse.

« En effet, là ce n’est plus joli du tout… »

Norian observa un instant la petite fille assise en contrebas, et un sourire malicieux s’étira sur son visage. Il s’élança avec son agilité enfantine, et s’accrocha au tronc du conifère qui offrait de nombreuses prises faciles. Il atterrit aux côtés de son amie et se jeta sur elle en criant ‘Vengeance !!!’ ses petits doigts s’agitant sur le corps frêle de Nissia, qui pleurait de rire sous l’effet des chatouilles. Elle le supplia d’arrêter, et elle dû s’y reprendre à deux fois avant d’obtenir des résultats.
L’Olaril se redressa, reprenant son souffle et en profita pour essuyer les larmes qui avaient coulées jusqu’au coin de ses yeux du même vert que les feuilles tendres du printemps. Avec un sourire elle attrapa sa propre couronne, finement ouvragée, les feuilles entrelacées autour des fleurs fraîchement cueillies, puis la posa sur la tête de Norian.


« Je te donne la mienne gros bêta ! »

Alors qu’il allait lui lancer des remerciements, un appel retentit dans la plaine, les deux jeunes gens se tournèrent vivement pour se retrouver nez à nez avec Elundril, un grand garçon svelte aux cheveux aussi flamboyant que le feu du foyer familial.

« Hey ! Père te demande !!! »

Norian observa un instant son frère, l’air légèrement interrogateur, celui-ci lui répondit par un haussement d’épaules signifiant qu’il ne connaissait pas l’origine de cette demande. Que pouvait bien lui vouloir son père à ce moment de la journée ? Avait-il fait une bêtise depuis le matin où il l’avait déjà vu ? Légèrement inquiet, le garçon se dirigea au côté de son aîné vers les écuries où travaillait son père, abandonnant Nissia et ses couronnes florales.

Le soleil brillait haut et fort, comme toujours après une averse, il avait plu toute la matinée et les gouttes d’eau scintillaient de milles feux sous l’éclat de l’astre du jour. Alandre apparut bientôt aux yeux des deux frères. L’homme était grand, bien plus grand que la plupart des Olarils, son épaisse tignasse noire était retenue en arrière par un ruban de cuir rouge, du même rouge que sa chemise de toile. Il était en train de porter une lourde selle finement ouvragée, recouverte de dorures et qui devait valoir un certain prix. Seuls les Olariens les plus coquets utilisaient ce genre de matériel, la plupart des chasseurs se contentaient de simples selles de cuir noir. Dès qu’ils apparurent dans le champ de vision du palefrenier, celui-ci leur offrit un grand sourire et posa son fardeau contre le mur de l’écurie. Il attendit que Norian soit assez proche et étouffa un éclat de rire devant son regard méfiant.


« Je pense que tu es aujourd’hui assez grand…Ton frère qui se destine au savoir des plantes n’a pas eu ce privilège, mais toi qui à la carrure d’un palefrenier, tu dois apprendre à te familiariser avec les chevaux et à te responsabiliser un peu…C’est pour ça que… »

Le géant lui fit un clin d’œil et agita la main pour l’inciter à le suivre. Ils contournèrent l’écurie pour se retrouver devant la petite étendue herbeuse où les jeunes cavaliers apprenaient à monter. Dans le petit enclos se tenait un poulain, il devait tout juste avoir arrêté de téter vu sa taille, mais il était déjà assez puissant pour pouvoir supporter le poids d’un enfant tel que Norian. Les yeux de ce dernier c’étaient illuminés alors qu’il venait de comprendre l’immense honneur que lui faisait son père : il lui offrait un cheval !!! Le garçonnet s’élança, mais à mi-chemin se souvint qu’il valait mieux s’approcher calmement de l’animal pour ne pas l’affoler. Ce dernier observait l’humain s’approcher, derrière ses longs cils noirs. Sa robe auburn aux reflets parfois roux, était presque entièrement unie, sauf le bas des pattes, au dessus des sabots, qui était blanc, et une grande tache du même noir que sa crinière, en haut du ‘front’.
Norian s’accroupit, frotta ses mains contre l’herbe, puis se releva et tendis ses menottes au poulain, attendant que de dernier fasse le premier pas. L’animal huma, méfiant, l’air autour de l’enfant, puis approcha son museau de ces petits bouts de chaire qu’on lui présentait, dans l’espoir qu’il y trouva de la nourriture. Il poussa du bout du museau les mains, déçut de n’y avoir trouvé aucun foin ou autre friandises…Norian lui, prit ça pour une invitation à aller plus loin, il posa sa main sur l’encolure de l’animal et la laissa traîner contre sa robe douce et soyeuse. Le poulain hennit doucement, secoua la tête, puis ne bougea plus, laissant faire cet étrange petit être. Ce qui tira un immense sourire au petit être en question.


« Je t’appellerai Olwen !!! »


Et le poulain hennit de nouveau, comme une promesse d’une future amitié.

Acte 3-Coup de foudre


Norian jubilait. Un profond sentiment d’autosatisfaction s’était emparé de lui, et il ne s’était même pas aperçu qu’il se pavanait dans la rue, fringuant jeune homme qui venait d’être accepté dans la communauté des hommes adultes.
Son initiation avait durée la journée entière, où il avait du enchaîner diverses épreuves plus ou moins difficiles, et avait habilement contourner les pièges que lui avaient tendus ses aînés. Après tout il était palefrenier dans l’âme, dès son plus jeune âge tous avaient su qu’il marcherait sur les traces de son père, et qu’il réussisse l’épreuve en une journée n’avait rien de surprenant. Aujourd’hui les membres de la guilde avaient été intransigeants et lui avaient fait faire un nombre astronomique de taches, voir même de corvées. Après tout la moindre erreur pouvait nuire au bien être des chevaux. Seulement Norian avait toujours eu le don de les apaiser par sa seule présence. Il n’avait donc jamais eu de problème notable au niveau comportemental avec les bêtes dont il s’occupait.

L’homme, car désormais il était reconnu et désigné comme tel, marcha jusqu’à la taverne, éternel lieu de réjouissances. Il fut accueillit par un grand ‘hourra’ général pour tous les Olarils qui étaient au courant de sa réussite au passage adulte. Puis les conversations reprirent de plus belle, comme si de rien n’était. Norian se dirigea vers une table au fond puis s’assit sur une chaise, aux côtés d’un trio de demoiselles charmantes. Le jeune homme était un séducteur, et n’hésitait pas à user de son charme. Il fit un clin d’œil à sa voisine de droite et l’enlaça sans lui demander son avis.


« Alors l’une de vous est-elle tentée pour passer un moment avec un HOMME qui sort d’une dure journée de labeur ? »

La demoiselle gloussa et ne tenta pas de sortir de l’étreinte du jeune homme, elle fit même courir ses doigts contre son épaule avec un sourire coquin. La petit brune qui se trouvait en face de lui éclata de rire puis parla, avec une voix qui donnait à penser qu’elle devait sûrement faire beaucoup dans le sarcasme.

« Vous aurez tout le temps de vous câliner plus tard, il va falloir y aller, ce soir on fête la naissance d’Aoki ! »

Le couple hocha la tête et ils se dirigèrent vers le lieu des festivités. La fête battait son plein à peine une heure plus tard, alors que la lune était haute. Alors que Norian s’était engagé dans une danse endiablée qui consistait à changer de partenaire toutes les deux minutes après avoir fait deux tours sur soit même, le garçon se retrouva au bras d’une jeune fille aux cheveux bruns qui, à la lueur du feu, tiraient sur le roux. Svelte, fine, beaucoup plus petite que lui, elle n’était que grâce et son visage pale n’était que douceur. Interloqué, Norian ne la reconnue que lorsqu’il fut obligé de la quitter, happé dans les bras de la blonde rencontrée un peu plus tôt. Il venait de voir Nissia et ne l’avait pas reconnu ! Elle s’était fait une beauté pour ce soir où on célébrait la venue de sa sœur au monde.
Nissia et lui étaient fiancés depuis l’âge de 16 ans, une décision commune de leurs parents. A vrai dire Norian s’en fichait un peu, avec elle ou une autre il aurait toujours la possibilité d’aller folâtrer ailleurs. Mais étrangement il n’avait jamais vraiment eu envie d’elle. Sauf jusqu’à ce soir. Ce soir là, où il la vit danser et rire autour du feu, il eu une envie dévorante de ne l’avoir que pour lui, une haine féroce s’était nichée au creux de son ventre contre tous les garçons qui l’approchait. Il fallait qu’il la vois, qu’il la touche, qu’il lui parle. Malheureusement elle s’esquiva avant la fin de la fête, et avant qu’il n’ait l’occasion de l’approcher à nouveau….



***


Depuis son passage dans le monde des adultes, on avait accordé à Norian le statut officiel de palefrenier, et on lui avait attribué un certain nombre d’animaux dont il devait s’occuper. Cependant le jeune homme avait l’esprit ailleurs, il revoyait clairement les boucles brunes danser sur la tête de Nissia, sa bouche si désirable étirée en un grand sourire. Une douce chaleur l’envahissait à chaque fois qu’il pensait à elle. Il avait bien essayé de la voir après, mais elle était partie avec un groupe d’herboristes en forêt cueillir des feuilles particulières, qui n’étaient présentes qu’en cette saison.
Le teint de l’Olaril devint blafard, ses traits se creusèrent, des tics nerveux agitaient régulièrement le coin de ses lèvres. Il ne mangeait plus, et ne dormait pratiquement plus, obnubilé par l’idée qu’elle ne reviendrait jamais, qu’il était peut être arrivé quelque chose à la petite troupe.
Ce matin là, il s’était traîné jusqu’aux chevaux qui avaient piaillés de mécontentement en ressentant une fois de plus son profond malaise. Cela faisait désormais six jours que les herboristes avaient ‘disparus’ dans les profondeurs de la forêt. Le visage aussi blanc que celui d’un malade, le garçon faisait faiblement racler le râteau contre le sol plein de paille souillée lorsque la fillette à qui il avait donné la charge de surveiller le retour des amoureux des plantes, fit son apparition, toute essoufflée. Elle prit à peine le temps de reprendre son souffle, ne tenant pas sur place et sautillant d’un pied sur l’autre, surexcitée.


« Ils sont là ! A l’orée des bois ! Si tu cours tu les verras arriver !!! »

Les forces envahirent de nouveau les jambes et les bras de Norian, il laissa tomber bruyamment le râteau sur le sol et s’élança prenant à peine le temps de remercier la fillette, lui laissant au creux de la main une friandise préparée sans trop d’espoir pour l’occasion. Si ce jour là avait été celui de la déesse chasseresse, le jeune homme aurait sans doute gagné le concours de vitesse à la course à pied. Ses cuisses le faisaient souffrir mais il continuait de courir, ignorant les messages de douleur envoyés par son cerveau. Il arriva devant l’étendue herbeuse qui le séparait de la forêt, et il les vit, il la vit. Là, la lueur du soleil teintant ses cheveux de mèches d’or, sa simple robe beige nouée modestement autour de son corps aux rondeurs féminines. Alors qu’il courait de nouveau pour atteindre le groupe, Norian apprécia du regard la large courbe des hanches de la jeune fille. Elle ferait une bonne mère à coup sur…
Il arriva au niveau des herboristes qui le regardèrent comme si c’était un fou. S’en s’arrêter il se dirigea droit vers la jeune femme et la prit dans ses larges bras pour la serrer contre son torse, comme pour s’imprégner le plus possible de son odeur et de son être au cas où elle disparaîtrait de nouveau dans les minutes à venir. Elle ne le repoussa pas. Il se pencha en avant pour atteindre le visage de sa douce, enfouit sur sa large poitrine, puis en un murmure il caressa à la fois l’oreille et le cœur de Nissa.


« Marions nous… »


Dernière édition par Norian Valandil le Ven 13 Fév - 17:39, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Norian   Norian EmptyDim 8 Fév - 11:20

Acte 4-Union sous la pleine Lune


Nissia resplendissait sous la clarté de la pleine lune. Sa robe lacée sur les manches et le dos de longs fils d’or faisait ressortir ses formes, sa poitrine ample, son ventre légèrement arrondi et ses larges hanches. Elle avait choisi pour l’occasion un bleu clair qui refaisait joliment ressortir son teint pâle. Ce soir là, deux couples célébrèrent leur union sous l’œil bienveillant de la pleine Lune et loin des méchancetés de Panpale.
Norian et Nissia étaient assaillis par les membres du village qui les félicitaient pour cette union et leur souhaitaient beaucoup d’enfants. Le jeune homme entraîna sa douce dans une danse langoureuse autour du feu pour échapper aux Olarils. Il aimait la sentir contre lui, mais n’appréciait pas particulièrement la foule de regards posés sur eux et l’autre couple. Il se pencha donc vers Nissia et glissa sa main sous son postérieur pour la tirer vers lui et la soulever du sol. Et avec un immense sourire il se dirigea vers la hutte qui leur avaient été attribué pour l’occasion, alors que l’autre couple s’éclipsait plus discrètement, entre les murmures appréciateurs de la démonstration de force du jeune homme, que celui-ci n’entendit pas, perdu dans les yeux de sa compagne et totalement coupé du monde.

La chambre était fraîche, éclairée par la pale lueur des bougies. Norian observa un instant sa femme qui était assise sur le lit, qui se tordait les doigts tout en se mordillant la lèvre inférieure, ne sachant pas trop quoi faire. C’est alors que le jeune homme décida de prendre les choses en main, il s’approcha et s’assit à ses côtés, puis, lentement, attrapa le premier fil doré de l’épaule gauche, et commença à le défaire, effleurant doucement la peau de sa moitié qui frissonna au contact de ces mains calleuses d’homme, dont elle n’avait pas l’habitude.
Et pourtant elle appréciait qu’il prenne son temps pour défaire sa robe, tout en effleurant de ses lèvres la peau de l’épaule qui venait d’être dénudé. Quant à Norian, il se délectait de pouvoir découvrir peu à peu chaque parcelle du corps blanc de sa femme, et à chaque morceau de peau blanche, sa propre chaire se mettait à frémir et son bas ventre le brûlait de plus en plus de désir. Il mit une demie heure à la déshabiller, à caresser doucement son corps et à se rassasier de cette vision comme si on lui présentait le met le plus fin qu’il n’eut jamais eu l’occasion de goûter. Nissia l’aida à retirer sa chemise puis son pantalon, et ils se perdirent dans la contemplation du corps de l’autre, cela dura peut être une minute, une heure, ou même la nuit, aucun ne le su jamais vraiment tellement le moment avait été intense.
Le palefrenier s’approcha enfin de son âme sœur, goûtant à ses lèvres salées, recouvrant sa gorge de baisés, partant à la découverte de chaque bosse et de chaque creux de son corps.
La jeune femme frémit de nouveau, les joues aussi rouges que les fleurs de cactus en plein été. Norian se redressa, légèrement inquiet. La demoiselle fui alors son regard, par honte.


« Je…je n’ai jamais encore… »

Le garçon fut étonné de découvrir qu’une si belle jeune fille fut encore vierge, et se sentit fier qu’elle l’eu attendu et d’être le premier à la faire passer parmi les Femmes. Il hocha la tête, compréhensif, elle n’était pas la première qu’il déflorait, et redoubla donc de patience et de douceur, caressant doucement ses seins, mordillant le lobe de l’oreille, la laissant le toucher et elle aussi découvrir son corps.
Et enfin ils s’unirent, ni réelle douleur, ni réel bien ne sorti de cette union, seulement un sentiment de complémentarité, seulement de l’amour renforcé et un espoir que cette union donnerait la vie, une vie à la fois partagée et entière…



Acte 5-douleur et larmes


Norian s’étira et se retourna dans ses couvertures, heureux. Il effleura des lèvres l’épaule de Nissia, nue, allongée à ses côtés. Cette journée il la passerait avec sa douce moitié, il l’aiderait à atteindre les feuilles dorées en haut des arbres de la forêt. La jeune femme s’agita puis bâtit des paupières tout en offrant un sourire lumineux à son mari. En onze ans de vie commune, l’amour entre eux n’avait fait que se renforcer, et jamais ils n’avaient ressentis le besoin d’aller voir ailleurs, entre eux plus besoin de mots, un simple regard suffisait. La seule chose qu’ils déploraient était l’absence d’enfants dans leur ménage. Un petit garçon était né de leur union, mais il ne survécu pas à l’hiver de sa cinquième année, il succomba à une grippe qui s’était étendue dans tous le village. L’accouchement avait été difficile, et l’on décréta que cet enfant serait le seul que le couple puisse avoir. Et pourtant Nissia continuait de prier Hégoa chaque jour, dans l’espoir que la déesse lui accorde la joie de pouvoir à nouveau enfanter.
Norian regrettait lui aussi le calme qui régnait dans sa maison, mais ne reprochait rien à sa femme.
Ce matin là, le temps était agréable, frais et lumineux. Norian jeta un coup d’œil à l’hôtel réservé à Panpale, il découvrit avec horreur que le harnais rouge qu’il avait placé là la veille avait disparu. Celui-ci était de magnifique facture, le dieu apprécierait sûrement. Cependant Norian redouta dès lors les mauvais tours que pourraient lui jouer le Dieu du commerce et de la perfidie. Malheureusement Nissia avait impérativement besoin de récolter ses feuilles aujourd’hui.
Le couple se dirigea donc vers la forêt chargée des paniers de récolte. Les bois étaient colorés de doré, marron et diverses dégradés de couleurs rousses qui donnait l’effet que la forêt s’embrasait.
Pour aller plus vite les deux jeunes gens se séparèrent pour couvrir plus de terrain après que l’herboriste eu montré à son mari le type de feuilles qu’il devait récolter. Norian recherchait attentivement ce que sa femme lui avait montré un peu plus tôt lorsqu’un cri déchira le silence de la nature. Horrifié que Panpale eu joué un mauvais tour à sa femme, le palefrenier laissa tomber son panier pour se précipiter vers l’endroit du cri. Il couru encore plus vite que le jour où il avait demandé Nissia en mariage. Ses poumons en feu lui criait qu’il leur fallait de l’air, ses côtes de faisaient douloureuses et ses jambes lourdes. Il atteint enfin sa femme qui s’était fort éloigné lorsque qu’ils s’étaient séparés. Il la découvrit au sol, luttant faiblement contre un immense loup au pelage gris, les yeux jaunes exorbités, les crocs dénudés et les babines retroussées, dégoulinant d’un mélange de bave et de sang. Le sang de l’homme ne fit qu’un tour, il vit la plaie béante dans la gorge de l’herboriste, et alors son regard se teinta de rouge et redevint à l’état de bête alors qu’il se jetait sur le puissant animal sans se soucier du danger qu’il courrait alors. Les crocs de l’animal claquèrent à quelques centimètres de sa tête alors qu’il happait la tête du loup entre ses bras, la poussée d’adrénaline qui le parcouru lui donna la force de lutter contre la bête qui se débattait et il tira un coup brusque. Le loup jappa comme un chiot alors que les os de son cou se brisaient et que ses yeux jaunes se recouvraient d’un voile opaque. Alors loup et homme s’écroulèrent tout deux au sol, Norian se plongeant dans l’inconscience réparatrice et libératrice, emportant avec lui la dernière image de sa femme, les yeux exorbités, les lèvres entrouvertes, baignant dans son sang.


***


Elle gisait, là, sur un drap aussi blanc que son visage. Visage au teint blafard qui faisait ressortir la couleur rouge de la blessure à la gorge. Norian aurait du être fier de son exploit, il était rare que l’on tue un loup à main nu. Mais tout son esprit était accaparé par l’image de sa femme, agonisant et s’étranglant au sol avec son propre sang. Il avait été incapable de lâcher la main de son épouse, elle était froide, si froide…Encore plus que ces jours blancs d’hiver.

Il ne parvenait pas à être heureux pour elle, il s’en voulait affreusement de ne pas être content qu’elle ait rejoint les Dieux et leurs connaissances infinies. Ce jour ci, le soleil brillait fort, étrange pour la saison. Etait-ce elle qui leur souriait depuis le monde des divinités ?

Le lendemain de la veillée funèbre fut l’enfer personnel de l’homme. Il fallut une bonne heure aux autres hommes de sa guilde pour le convaincre de lâcher ce corps désormais vide de son âme, pour le mettre en terre. Norian repoussa férocement ses collègues, et même son frère, qui se proposaient pour mener la dame en sa dernière demeure. L’Olaril la souleva, de la même façon que lors de leur nuit de noce, et la mena, les jambes de plus en plus faibles, devant la cavité préparée un peu plus tôt. Il l’y déposa après avoir effleuré son front d’un dernier baiser.
Alors ses forces le quittèrent tandis qu’il tombait au sol, observant de ses yeux bleus les autres hommes recouvrir le corps de terre. Le ciel s’assombrit et de grosses gouttes s’écrasérent alors sur les épaules et le visage de Norian. Il remercia alors sa femme de dissimuler ses propres larmes qui formaient de longues rivières prenant pour source ses yeux et son désespoir de ne plus jamais pouvoir passer sa main dans ses longs cheveux.

Les jours qui suivirent furent vides, si vides de sens que l’homme cru en mourir. Tout était devenu fade, si fade… Quelques femmes vinrent lui apporter de la nourriture et leur chaleur dans l’espoir de le réconforter, mais il les repoussa toutes deux, la moindre bouchée avait un goût de cendre dans sa bouche à la langue pâteuse.

Et les jours s’écoulèrent, jour, nuit, mois, années… La douleur cicatrisa mais ne disparut jamais. Les enfants du village évitent cet étrange homme, les yeux toujours dans le vague. On dit de lui qui lui manque une part de son âme, et cette part a été partagée en deux, l’une partie avec l’esprit de loup, l’autre avec celui de sa défunte femme.
D’autres l’appelle ‘l’homme sans émotions’, un mur, une coquille incapable de montrer de nouveau ses sentiments. Il ne rie qu’occasionnellement, d’un rire amer qui fait trembler la plupart des Olarils qui préfèrent l’éviter. Mais pourtant, il reste excellent dans son domaine, créant des liens particuliers avec les bêtes dont il s’occupe…


Dernière édition par Norian Valandil le Lun 16 Fév - 14:34, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Norian   Norian EmptyDim 8 Fév - 16:04

N'oublie pas de nous prévenir lorsque tu auras rempli tes deux posts réservés ^^
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MessageSujet: Re: Norian   Norian EmptyLun 16 Fév - 15:14

désolée c'est pas terrible pour la psychologie mais ma muse m'a quitté des qu'elle à vu le titre -_-'

Sinon vala c'est finiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
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MessageSujet: Re: Norian   Norian EmptyLun 16 Fév - 16:55

Je vais lire ta fiche et te donnerai mes remarques dans la soirée ^^
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MessageSujet: Re: Norian   Norian EmptyLun 16 Fév - 18:12

Bonsoir Norian, à part un "les Olariens" qui traine dans le début de ton histoire, tout est parfait !

Très bonne compréhension du contexte et l'univers d'Olaria est bien réutilisé dans ta fiche =)

Je suis ravie de te valider ^___^

Bon jeu parmi nous, je t'encourage à commencer dès que possible le RP, à voter sur les top sites, et à participer en flood pour qu'on te connaisse mieux !

A bientôt =)
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