Les Tables d'Olaria
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilPortailRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
Le Deal du moment : -28%
Précommande : Smartphone Google Pixel 8a 5G ...
Voir le deal
389 €

 

 Ameer Afsharii

Aller en bas 
3 participants
AuteurMessage
Ameer Afsharii
Ilédor
Ilédor
Ameer Afsharii


Nombre de messages : 67
Age : 32
Date d'inscription : 12/08/2012

.:: Le Carnet ::.
Âge du Personnage: 31 ans
Profession: Capitaine
Positionnement : Conservateur
Ameer Afsharii Empty
MessageSujet: Ameer Afsharii   Ameer Afsharii EmptyDim 12 Aoû - 23:35

Ameer Afsharii Iledor

Ameer Afsharii Vous
Derrière l'Ecran, le Joueur.

    • Pseudo : Je vous laisse deviner.
    • Âge : Sachez juste que je suis majeur et vacciné.
    • Localisation : Juste derrière vous.
    • Autre personnage : Ce serait trop facile de vous le dire.

    • Temps consacré au net (et au forum) dans une journée : Beaucoup trop à mon humble avis.
    • Comment avez-vous connu Les Tables d'Olaria ? Rerollite aigue.
    • Quelque chose à ajouter ? Dois-je absolument répondre ?


Ameer Afsharii Autre
Devant Vous, le Personnage.

    Ameer Afsharii Identite

  • Prénom(s) : Ameer, Calev, Ghassan.
  • Nom : Afsharii.
  • Âge : 31 ans.
  • Sexe : Masculin.
  • Statut : Noble de Sang.
  • Profession ou métier : Capitaine de l’Armée.

  • Positionnement : Conservateur, fidèle à son serment envers le Gardan Edorta, et lui seul, jusqu’à la mort, c’est une question d’honneur et de devoir.

    Ameer Afsharii Physique
  • Taille : 1,94m.
  • Poids : 96 kg.

  • Description physique détaillée

    Par où commencer ? Peut-être par le plus formel ? Oui, c’est peut-être la meilleure chose à faire. Dans sa tenue de Capitaine, Ameer Afsharii en impose réellement. Mais ce n’est pas tant l’armure de cuir hautement renforcée de métal qui impressionne que sa carrure générale – certes appuyée par sa tenue – qui peut laisser pantois quelques instants. Le militaire est grand, sa silhouette est bien taillée et s’il ne ressemble pas à une commune armoire à glace, on devine très facilement qu’il n’est pas non plus fébrile au point de trembler à la première brise venue. Sous le cuir, la musculature s’est faite sous l’entrainement, sous les combats, sous la pression de la mort imminente des champs de bataille. Ce n’était pas tant un égoïsme physique qu’une question d’honneur et de survie. Sous les couleurs du Gardan Edorta, sa marche est droite, intangible, inaltérable, mue par une responsabilité et un sens du devoir qui pourraient presque se lire dans sa manière de se tenir, d’être. Son regard est droit, devant lui, porté sur l’horizon. Son visage est brut, ses traits découpés de manière nette, à peine camouflés derrière une barbe courte entretenue avec un soin dont aucun militaire ne pourrait se passer, prolongement presque naturel de ses cheveux d’un châtain très foncé, courts, rarement véritablement coiffés, laissant transparaître comme un petit air sauvage, un exotisme dont il ne se cache pas, lui qui n’est pas originaire d’Edor Adeï mais d’Hurg Aari dont il possède la plupart des caractéristiques, ne serait-ce que par sa peau mate et foncée. Son visage est à peine adouci par des lèvres assez fines, closes, héritage marqué de sa mère qui laissent plus souvent entrevoir un sourire que l’allure du militaire ne pourrait le laisser supposer.

    Lorsqu’il quitte l’armure et la rigueur militaire, notamment pour aller partager une chopine avec ses hommes où simplement d’autres militaires, c’est un autre homme que l’on peut croiser lorsqu’on ne connaît pas le militaire. Des lèvres moins souvent closes, entrouvertes sur un sourire, un regard parfois rieur, amusé, son visage tout entier semble s’ouvrir davantage lorsqu’il est l’heure d’évacuer la pression, parfois accablante pour tous, du service. Dans ces conditions moins formelles, il est habituellement vêtu de tuniques légères, propres à sa naissance exotique, qui trahissent, plus que son comportement, ses origines nobles. Il faut dire que ses traits, travaillés à la sueur des combats, des entrainements et des rudes années, ne dénotent pas vraiment le fait qu’il est né fils d’un noble de sang. Ses mains sont celles d’un guerrier rompu aux combats et au maniement de l’épée et de la lance, mais elles n’en sont néanmoins pas moins agiles lorsqu’il s’agit de faire quelques parties de bonneteau pour le plaisir du jeu et quelques espèces sonnantes et trébuchantes, ou lorsqu’il s’agit de faire tout autre chose que se battre et jouer... En effet, il n’est pas rare, voire très courant, que son sourire se fasse charmeur lorsque l’homme se fait séducteur. Il révèle alors le faciès de ses origines, ces traits et ce tempérament des hommes du désert, de ceux qui sont nés dans une cité où la chaleur du soleil le jour laisse place à celles des corps enlacés lors des nuits fraiches. Son corps n’est pas tourné à la séduction mais en possède certains atouts dont il use sans aucune retenue. Le personnage devient alors moins imposant, moins effrayant peut-être aussi, mais quel homme aurait pu l’être dans le lit d’une femme qu’il étreint par passion ?

  • Particularité physique notable

    Son corps est parsemé d’une quantité non négligeable de cicatrices de tous genres et de toutes formes récoltées au fil des ses campagnes, militaires principalement, mais parfois même amoureuses – on ne compte pas le nombre d’hommes jaloux que peut porter les terres d’Isle. Les plus visibles sont celles qui ornent son visage : une marque lui barrant l’arcade sourcilière gauche et le front, vestige d’une flèche qui n’était pas passée loin de sa cible, et une autre, sur sa joue droite, mauvais coup d’une épée maniée par un bon bretteur.

    Ameer Afsharii Psychologie
  • Description psychologique détaillée

    Comment décrire Ameer ? Encore une fois, il y a le militaire, le fils de noble, l’homme à l’honneur et au devoir sans faille. Fidèle au serment qu’il a prononcé envers le Gardan Edorta lors de son entrée dans l’armée, il ne le trahira sous aucun prétexte, même si la mort devait le menacer de toutes ses forces, il préfèrerait la mort plutôt que ce parjure-là. Pourtant, il n’est pas des hommes les plus posés, les plus réfléchis. Il est de ceux qui reçoivent les ordres de la Générale et les font exécuter avec zèle et efficacité par leurs hommes, sans réellement se poser de question, surtout parce que l’exotique Capitaine sait que la Générale sert la même personne que lui : le Gardan Edorta et lui seul. La situation actuelle, dans un climat très tendu pour l’armée, ne le laisse pas indifférent. Il partage l’anxiété de ses hommes mais le cache plutôt bien, essayant surtout de leur faire penser à autre chose, de maintenir leur moral au plus haut. Le siège de la Révolution marque les esprits mais la détermination à servir le leader d’Edor Adeï doit rester la plus forte, pour que les cœurs et les épées restent valeureux, pour que les hommes puissent se tenir droit au combat lorsque l’heure viendrait car il en était convaincu, elle viendrait.

    Certains l’imaginent un peu têtu, ce n’est pas forcément faux. Disons qu’il est assez déterminé, autant sur le champ de bataille que dans la vie de tous les jours. Plutôt difficile à arrêter lorsqu’il a une idée derrière la tête, ce comportement lui a valu des réussites comme des échecs, autant sur le plan militaire que sur le plan « sentimental ». N’allant pas jusqu’à risquer la vie de ses hommes pour rien, mais engageant volontiers la sienne pour sauver la leur, il sait également changer d’avis lorsque la situation le lui impose. Discutant rarement les ordres, il possède néanmoins le « don » de les interpréter s’il les juge inadaptés à la situation, ou s’ils devaient se révéler inadaptés à l’évolution de la situation, préférant outrepasser ses droits et prendre la responsabilité de ses actes plutôt que de risquer inutilement la vie de ses hommes lorsqu’il est certain que suivre les directives ne fera que les mener au carnage. Toutefois ce genre de comportement reste rare, surtout depuis qu’il a en supérieur direct quelqu’un de nettement plus qualifié que par le passé, mais nous aurons tout le loisir de revenir sur cela dans les lignes à venir.

    Au-delà de cet homme intègre et au dévouement sans faille, il y a aussi un bon vivant, un amateur de bonnes bières, ou de boisson en général, de bonne chère, de jeux, mais également de femmes. Car si le Capitaine est un modèle d’honneur, il n’en est pas un modèle de vertu. Baigné dès son adolescence dans la séduction inhérente à sa ville d’origine, le plaisir des courbes féminines s’est imposé à lui comme son devoir militaire, deux choses qu’il a embrassé sans aucune retenue. Aussi libre en amour et en passion qu’il n’est « enchainé » à son serment militaire, Ameer est ce qu’on appelle un homme à femmes. Coureur de jupons ? Peut-être. Toutefois, il ne fait rien mirer à ces gentes damoiselles qu’une nuit, une simple nuit, chaude de ces plaisirs, parfois exotiques, qui peuvent les rendre inoubliables. Trop libre ou peut-être déjà trop lié pour s’imaginer au bras d’une seule et unique femme, ses campagnes à travers Isle toute entière l’ont peut-être également façonné de la sorte. Quel homme aurait pu imaginer s’attacher à un endroit alors qu’il est en mouvement perpétuel ? Il n’est pas rare qu’il se fasse séduisant pour une femme qui l’attire physiquement, en dépit de tout le reste. Personne ne sait de quoi demain sera fait et il préfère profiter de chaque minute de sa vie pour ne rien regretter. Philosophie qui, pour l’instant, lui réussit, car, il l’admet lui même, il ne regrette rien.

  • Particularité psychologique notable : NR.

  • Connaissances, Savoirs, Capacités

    Les talents d’Ameer sont pour ainsi dire presque limités à sa carrière professionnelle. Soldat vétéran, endurci par les différents combats, fort d’une expérience sanglante, il est un bon bretteur, suffisamment redoutable avec une épée, mais néanmoins beaucoup plus efficace avec une arme un peu moins conventionnelle : l’arme d’hast. Ce style lui vint de son ancien maître d’arme, à son adolescence, qui avait lui aussi eu un goût prononcé pour ses armes dont le maniement pouvait s’apparenter à une danse lancinante et mortelle. Doué au maniement des lances et des hallebardes, certains de ses hommes assurent que le voir combattre est presque digne d’un spectacle valant son pesant d’or.

    En dehors de cela, il est également assez doué aux jeux auxquels peuvent s’adonner les soldats dans une taverne, des jeux d’adresse ou de force, n’hésitant pas à mettre quelques menues monnaies sur la table pour la fièvre du jeu et le plaisir de la victoire qui ne va pas sans l’âpreté de la défaite. Enfin il n’y a rien de mal à se faire payer une choppe de bière en la gagnant honnêtement à un jeu de hasard. D’ailleurs, en parlant de cela, il me faut rajouter qu’il tient relativement bien l’alcool, mais est-ce vraiment une capacité ?

    Ameer Afsharii Passe
  • Enfance

    Loin du tumulte de la capitale, de ses intrigues politiques et nobles en tous genres, au cœur du désert, se dresse Hurg Aari, fière cité où la vie suit un rythme bien différent de celui d’Edor Adeï. Le soleil berce les habitants de cette ville dont les habitants ont su s’adapter et faire leur la chaleur de ces contrées. La famille noble des Afsharii fait partie de ces gens-là. Nom présent dès l’origine des murs qui cerclèrent les premières habitations, ils ont littéralement vu et contribué au développement d’Hurg Aari. D’abord commerçants itinérants, les Afshar ont trouvés, au cœur du désert, l’oasis dans lequel ils voyaient déjà l’avenir, celui du joyau des sables, de cette rose enchanteresse qui ferait briller les yeux des autres habitants d’Isle. Qui aurait pu croire qu’ils réaliseraient cela ? Certes, ils ne furent pas seuls et la renommée de la Cité des Sables n’était pas uniquement de leur fait, mais sans le partage de cette vision, de cette idée, un peu folle avouons le, avec d’autres, Hurg Aari aurait-elle seulement vue le jour ? Enfin, je sais que je vous ennuie avec le passé. Il me fallait revenir un peu en arrière mais je crains de n’être revenu un peu trop loin. Nul besoin de vous parler de tous les Afsharii depuis leur origine, seul l’un de leurs derniers enfants nous intéresse aujourd’hui : Ameer Afsharii. Second fils de Ghassan, son père, et Meliël, sa mère, frère de Aleb, l’aîné de la famille, pour quelques années seulement. Suffisamment pour faire une distinction entre eux aux yeux de l’avenir mais pas assez aux leurs. Car ainsi allaient la famille Afsharii : le premier fils était l’héritier, celui qui prendrait le nom à la suite du père, hériterait des terres, des commerces et de la fortune afin de la faire fructifier encore, afin d’étendre davantage le nom de ses ancêtres. Les fils suivants étaient alors dirigés vers d’autres positions. Le deuxième fils vers l’Armée, le troisième à Therdone. Vous l’aurez donc deviné, Ameer et Aleb n’étaient pas voués au même futur, pourtant, ils n’en restaient pas moins inséparables et ce même si leurs enseignements ne seraient jamais les mêmes, car au-delà de toutes ces différences dont ils eurent rapidement conscience, ils savaient qu’ils seraient toujours unis, sans l’ombre d’un doute, qu’ils s’agissent de leurs jeux ou de leurs bêtises. Ameer était le plus turbulents des deux, entrainant toujours son frère dans ses histoires tarabiscotées mais leurs parents étaient justes et aimants et c’était généralement le cadet qui finissait seul puni dans sa chambre en sachant qu’il le méritait pleinement. Cela ne l’empêchait néanmoins pas de récidiver, curieux et joueur qu’il étai, cherchant sans doute à tester les limites, encore et encore.

  • Adolescence

    Ainsi fut respectée la tradition. Aleb étudiait avec les plus grands précepteurs de la ville, apprenait l’arithmétique, maniait les chiffres et les comptes, accompagnait souvent son père dans les visites de leur domaine pour visiter les plantations mais également les manufactures. Ameer, de son côté, apprenait également, mais moins passionnément que son frère car s’il avait appris à lire, à écrire, à compter, ce n’était pas tant pour manier l’économie du domaine que pour sa propre érudition et assimiler les autres enseignements, beaucoup plus guerriers auxquels il était soumis. Il s’y pliait pourtant avec une passion certaine. Son frère ainé avait toujours été plus sage que lui, enfin peut-être était-ce parce qu’il s’imaginait déjà grand guerrier ferraillant avec les plus féroces ennemis, surtout lorsqu’il combattait contre son maître d’armes, un ancien militaire qui lui appris non seulement à manier une épée, mais, plus principalement des lances, mais lui transmit également une grande valeur de l’honneur et des serments que l’on ne fait pas à la légère. C’est ainsi que le cadet des Afsharii se sentit rapidement l’âme d’un soldat dévoué à la cause de son pays, à celle de son meneur : le Gardan Edorta. Son destin était de protéger cet homme, de mener des combats pour lui, ainsi l’avait voulu sa naissance, ainsi l’avait voulu Therdone, il ne trahirait pas ce destin, il en avait toujours été intimement convaincu et l’était davantage au fur et à mesure que ses entrainements se poursuivaient. Les nuits, avant de s’endormir, il rêvait déjà de grandes batailles mais il était loin de s’imaginer qu’elles n’étaient peut-être pas aussi glorieuse qu’il ne pouvait l’espérer…

    Toutefois, les batailles et le maniement de la lance n’étaient pas les seules passions qui prirent racines dans l’esprit d’Ameer car une autre vint naturellement y planter sa graine comme elle le fait dans l’esprit de tous les jeunes gens en âge : l’amour, ou du moins quelque chose qui s’y apparente plus ou moins. Quel garçon ne s’est pas posé des questions devant une fille ? Quel jeune homme ne s’est pas trouvé séduit par le sexe opposé ? La sexualité n’est pas un sujet inavouable au cœur du désert, bien au contraire et peut-être est-ce à cause de cela que l’intérêt de la chose est exacerbé. Est-ce une erreur ? Il me serait bien difficile d’en juger, toujours est-il qu’Ameer, en jeune homme intrigué, avait poussé sa curiosité bien plus loin que certains ne pussent l’imaginer et alors que certains en sont encore aux jupes de leurs mères ou à découvrir leurs corps en solitaire, il découvrait le sien au travers de celui d’une autre, dont la curiosité n’avait d’égale que la sienne. Les premières expériences sont souvent les plus marquantes, les plus enivrantes, mais si ce fut le cas pour le cadet des Afsharii, il n’en ressorti qu’un désir farouche de ressentir à nouveau une telle sensation. Certes ceci n’était pas totalement approuvé mais ce qui restait secret était-il réellement condamnable ? Quelques mois plus tard, Ameer commençait son enseignement militaire, le service qui devait faire de lui un homme. Un homme qu’il était déjà, par bien des aspects, autant sur le plan physique, que sur le plan moral. Ainsi allaient les Afsharii. Bien plus préparés que certains de ses pairs, ce service serait pour lui davantage l’occasion de voyager, de se confronter au monde qui serait le sien pour les années et les années à venir, un apprentissage pratique, forgé d’expériences intenses. Intense était bel et bien le mot…

  • Jusqu'à nos Jours

    Et le service fut rempli d’expériences intenses. Car, il fallait l’admettre, il n’y eut que ces expériences d’intéressantes. Rompu aux méthodes de combats par son maitre d’armes, ainsi qu’à la discipline militaire et aux différentes façons de se comporter, l’enseignement théorique du service militaire ne fit que confirmer son apprentissage et servir d’exercice grandeur nature pour lui qui survolait cela sans toutefois le prendre à la légère. Bien au contraire, il faisait toujours de son mieux, attendant patiemment que ceux qui n’avaient pas eu le même enseignement préliminaire, rattrape leur retard, profitant parfois de son expérience pour leur donner deux trois conseils lorsqu’ils étaient de retour à leur chambrée. Il s’était imposé plus ou moins comme un leader, ne serait-ce que par logique, mais peut-être également par un certain charisme qu’il ne soupçonnait pas encore. Bien entendu cela restait tout à fait informel mais c’était notamment lui qui allait parfois voir l’officier qui était en charge d’eux pour des questions d’ordre pratique ou des petits soucis concernant la chambrée, tâche dont il s’acquittait avec sérieux. Généralement, il profitait de ses deux jours de permission pour rendre visite à sa famille, du moins pendant une journée, avant de disparaitre la journée restante dans la ville. Seuls ses compagnons de chambrées pourraient réellement vous renseigner sur ce qu’il faisait, car s’il ne s’en vantait pas, ils n’étaient pas moins efficaces pour lui soutirer les vers du nez concernant la conquête de la semaine… Toutefois, cela ne semblait altérer aucunement sa capacité à obéir et à fournir à ses instructeurs ce qu’ils attendaient de lui. Devant ses résultats, on lui proposa, au bout de huit mois d’apprentissage, de terminer sa formation en suivant une compagnie d’infanterie. Sautant sur l’occasion pour découvrir la réalité des champs de bataille, il ne perdit pas une seconde pour accepter. Bien entendu, il ne fut pas envoyé vers le front où l’armée luttait contre les « Sauvages » mais suivit une compagnie en manœuvre. Ce fut l’occasion de participer à la vie de camp, de voir du pays, et, bien entendu, des femmes… Son retour vers Hurg Aari amorcé, il était maintenant convaincu que la voie que Therdone avait tracée pour lui était la seule qui pouvait lui convenir.

    Dès son retour, il s’engagea dans l’Armée, après avoir passé tout de même quelques jours avec son père, tandis qu’ils devaient s’entretenir de quelques sujets peu passionnants concernant son avenir et notamment le fait qu’une fois au service de l’Armée, plus rien ne lui serait dû. Son père veillerait à lui fournir des équipements de très bonne facture pour qu’il soit digne de son rang et ensuite il devrait se débrouiller de lui-même et faire en sorte qu’il ne déshonore pas le nom des Afsharii. Lorsque viendrait le temps de prendre sa retraite, son frère ainé veillerait à subvenir à ses besoins si nécessaire, comme il était toujours de coutume au sein de cette famille, mais, entretemps, il ne serait pas question qu’il vienne mendier quoique ce soit. Ainsi allaient les choses et il n’en serait pas autrement, même si Ameer était aimé de ses parents. Ne songeant pas une seconde à l’échec et à l’opprobre que cela pourrait jeter sur les siens, le cadet avait assuré son père qu’il serait fier de lui et qu’il n’en serait pas autrement. Avec la même certitude, il signa sa lettre d’engagement et reçut sa première affectation : Sergent de la première compagnie du régiment d’infanterie du Capitaine Laetarii. Actuellement basé en Edor Adeï, le tout nouveau sergent devait le rejoindre sous la quinzaine. Profitant des quelques jours de « trop » par rapport à la distance à parcourir, il prit plaisir à savourer une dernière fois les plaisirs que pouvait fournir Hurg Aari, qu’il s’agisse de ses fruits sucrés, de ses boissons au goût si prononcé, ou à ses filles, à la peau mate et chaude… Comme prévu, son père lui fit faire deux uniformes, ainsi qu’une épée et une lance dont la facture avait étonné le jeune homme qu’il était et qui n’avait jamais combattu avec d’aussi bonnes armes. Il reçut également un cheval, à peine sorti des écuries et prit enfin la route de la Capitale ses affaires avec lui, prêt à démarrer cette nouvelle aventure qui s’offrait à lui de la même manière que la route qui s’étendait sous les sabots de son cheval. Il inspira un grand coup et se jeta à corps perdu dans cet abime sans fond.

    Commence alors une nouvelle vie fidèle à lui-même. Comme lors de son service, il se fit rapidement aimer de ses hommes qui voyaient surtout en lui quelqu’un de beaucoup plus compétent que leur Capitaine nobliau, parachuté d’ils ne savaient où et qui n’avait aucune compétence martiale. Erethan n’était pas très aimé de ses hommes et Ameer s’en rendit rapidement compte, s’il était d’abord sceptique face à ce comportement des soldats, il eut rapidement la confirmation qu’ils avaient raison. Ses directives n’étaient pas très avisées et il valait mieux souvent essayer de contourner ses ordres pour y obéir tout en s’offrant quelques libertés bienvenues, notamment pour assurer la sécurité des hommes. Ce n’était pas ainsi qu’il allait s’attirer les bonnes grâces de son Capitaine, bien évidemment, mais, à défaut de s’attirer les faveurs du commandement, il préférait de loin s’assurer la loyauté de ses hommes, ne serait-ce que pour assurer le déroulement d’une bataille. Avoir ses hommes derrière soi était la seule manière de gagner une bataille, quel qu’en soit le scénario. Aucun leader n’avait réussi à remporter une victoire seul et ce simple fait suffisait à Ameer pour savoir de quel côté se placer. Mais s’il ne s’était pas assez attiré les « foudres » de son Capitaine, il jugea bon d’en rajouter une couche sans le savoir. Tandis que, fidèle à lui-même, il multipliait les conquêtes dans chacune de leurs haltes civilisées, il leva la fille de trop, celle, qu’apparemment, son supérieur semblait se réserver, même si, sans vouloir jeter de l’huile sur le feu, elle ne semblait pas malheureuse de tomber entre les bras du sergent plutôt que ceux du capitaine… Cet évènement condamna plus ou moins sa carrière militaire, officieusement bien entendu, si fait que le jaloux ne manqua pas d’informer certaines personnes de sa connaissance de l’incapable sergent dont il était attifé. Essayant de ne pas se formaliser de ce « duel » de coq, Ameer se concentra sur ses hommes, sans oublier ses conquêtes. C’est à cette époque qu’il rencontra Elenor Jagharii, alors soldat du rang, une rencontre fougueuse, à laquelle il avait ajouté une touche piquante en la « convoquant » sous sa tente de par sa supériorité hiérarchique. Il fallait bien plus qu’un frein à sa carrière pour entamer sa personnalité et sa détermination.

    Les combats ne manquèrent pas autant à cette époque que plus tard. Le front contre les Sauvages était assez actif et il nécessitait de nombreux bras. C’est d’ailleurs là-bas qu’il rencontra pour la première fois Bellone Lastareth dont il avait entendu beaucoup de bien. Il savait qu’elle était la pupille du Vieux Lion Jagharii mais la voir en vrai le désarçonna un peu. Elle était jeune, deux ans de moins que lui, et elle était pourtant déjà Capitaine… Peut-être avait-il finalement perdu beaucoup de temps à cause des histoires de Laetarii… Toutefois, il admira ses capacités et fut heureux de savoir que c’était elle qui mènerait les opérations et non son abruti de Capitaine. Fidèle à son habitude, il exécuta les ordres, sensés pour une fois – qui n’avaient donc pas besoin d’une quelconque réinterprétation -, et les victoires s’enchainèrent avec une certaine facilité même si les combats étaient âpres et sanglants. Ameer faisait danser sa lance avec une certaine aisance, veillant surtout à protéger ses hommes tout en s’arrangeant pour réaliser ce qu’on lui avait demandé de faire. Apparemment sa manière de faire convenait à la Capitaine Lastareth car ses petites remarques ne disaient pas le contraire, loin s’en faut. Être ainsi félicité – même de manière très informelle – avait de quoi fouetter le sang du sergent un peu trop habitué aux rabrouements sans fondements de son supérieur. Sans oublier les quelques discussions entre soldats autour d’une chopine, alors même qu’il était assez surpris d’y croiser la jeune femme à la crinière de feu. Ils s’entendaient bien elle et lui, une camaraderie sincère et, surtout, un respect sans bornes envers sa supérieure hiérarchique. Il savait qu’elle était attendue à bien plus qu’un poste de Capitaine, car le Vieux Lion ne la formait pas pour rien, mais au-delà de ce que l’on pourrait prendre pour du fayotage, il s’agissait surtout d’une admiration face à une femme qui montrait d’exceptionnelles capacités à diriger les hommes sous son commandement, chose à laquelle il aspirait lui aussi. Il y arrivait, mais après tout ce n’était qu’avec une compagnie et, plus jeune que lui, Bellone avait réussi à le faire avec un bataillon entier… De quoi marquer un esprit comme le sien pour longtemps.

    Quelques années plus tard, l’Armée entière était finalement secouée du soubresaut que tous attendaient, du moins que le sergent attendait : Bellone Lastareth était nommée Générale des Armées. Il se souvenait encore du chouinement d’Erethan Laetherii qui mettait en avant la honte qu’il y avait à nommer une roturière à la tête de l’armée Ilédore. Ce gars-là avait définitivement du mal… Ameer s’était contenté de se féliciter de ce choix judicieux effectué par le Vieux Lion qui tirait sa révérence, laissant à la jeune femme un héritage dont elle saurait tirer pleinement parti. Absent loin de la Capitale lors de l’évènement, il avait fait parvenir une petite lettre dans laquelle il la félicitait tout en se rappelant à elle lors de leurs différentes compagnes communes, pour peu qu’elle l’ait oublié, ce qui était fort probable. Quelques semaines plus tard, il rencontre à nouveau Elenor Jagharii, mais elle n’était plus soldat du rang, elle était devenue Capitaine d’un régiment de cavalerie. Leur rencontre avait d’ailleurs pris une très légère tournure de revanche tandis que, cette fois-ci, c’était elle qui le « convoquait » sous sa tente. Juste retour des choses… Les mois qui suivirent reprirent leur cours normal jusqu’à ce que son capitaine ne le convoque. Une missive venait apparemment d’arriver d’Edor Adeï et lui demandait de retourner expressément à la Capitale pour se présenter devant la Générale. Le porteur de la missive, un sergent fraichement nommé le remplacerait. Le sourire sur les lèvres d’Erethan laissa sceptique Ameer qui pensait déjà au pire mais ne voulait pas s’y résoudre. Il chevaucha donc vers Bellone Lastareth et obéit à ses ordres. Lorsqu’elle l’accueillit dans ses nouveaux bureaux, la chaleur dont elle fit preuve lui ôta son doute sur un potentiel renvoi fomenté par son ancien Capitaine mais le laissait sceptique sur les raisons de sa présence ici. Elle lui annonça finalement sa nomination en tant que Capitaine. Principalement motivée par ses faits d’armes et ses qualités de meneur d’homme, peut-être également pour le libérer du joug de Laetarii mais il n’osa pas lui poser la question. Il se contente de lui réaffirmer son serment et de lui assurer qu’elle pourra toujours compter sur son soutien et celui de ses hommes avant de quitter son bureau avec l’esprit d’avoir enfin accompli, du moins en grande partie, sa destinée et ce que sa famille attendait de lui.

    Cela remonte à une vingtaine de mois, des mois qu’il a passé à connaître ses hommes, à réapprendre le tempérament de presque chacun d’entre eux. Il était beaucoup plus facile pour lui, à présent débarrassé de son ancien supérieur pompeux, d’agir comme il lui semblait sans avoir l’impression de ne pas réellement obéir aux ordres, de transgresser l’autorité, maintenant que les ordres venaient directement de la Générale, bien plus capable. Les déplacements se succédèrent, les conquêtes amoureuses au même rythme que leurs déplacements, après tout, un Capitaine avait encore plus de prestige qu’un simple sergent, n’est-ce pas ? Il s’adapta très rapidement à sa nouvelle affectation mais, malgré tout, la réussite ne fut plus autant au rendez-vous. L’ennemi avait changé. Les Sauvages n’étaient plus l’une des seules menaces car, dans la campagne grondait un autre mal : la Révolution. Ce n’est que ces derniers mois qu’elle s’est révélée redoutable et Ameer se rappelle encore de sa retraite ordonnée par Bellone vers Edor Adeî. Une retraite qui est rapidement devenue une débâcle à part entière. Aussi surprenant que cela puisse paraitre, une masse compacte de paysans de tous bords mettait en déroute une armée de vétérans entrainés et rompus au combat… Veillant avant tout à ses hommes, le Capitaine s’occupa d’ordonner une retraite en bonne et due forme, reculant pas à pas, ne faiblissant pas devant les harcèlements de la Révolution qui semblait vouloir en découdre jusqu’aux portes de la Capitale. Certains de ses hommes y passèrent, comme dans tous les combats, mais il en sauva le plus grand nombre, n’oubliant pas ceux qui étaient tombés pour les protéger. A peine arrivé, il fit son rapport à la Générale et attendit, attendit et attendit encore… Comme aujourd’hui. Le siège de la révolution ne laissait pas trop d’illusions sur l’issue de cette bataille. Ils se battraient, une dernière fois, et il n’y aurait qu’un vainqueur. Entretemps, il essayait de tuer l’ennui, autour de jeux, de chopes, et de filles… Mais combien de temps cela durerait-il ?

    Ameer Afsharii Viesociale
  • Position face aux événements politiques

    Ameer fut relativement choqué par la mort d’Elandor Arlanii, peut-être parce qu’il avait la sensation d’avoir manqué à son devoir, néanmoins, ayant maintenant prêté sermant à Ysor Arlanii, les questions ne se posent désormais plus, si ce n’est peut-être cette appréhension face à des conseillers trop omniprésents à son goût mais étant donné qu’il ne s’intéresse pas des masses à la politique, ce n’est pas vraiment le plus important de ses soucis. Il se fie à Bellone pour se charger des questions d’ordre politique, de son côté, il est là pour lui offrir un soutien militaire indéfectible sur lequel elle sait qu’elle peut compter. Quant aux Révolutionnaires, il n’est pas convaincu par la légitimité de leur action et surtout pas persuadé que c’est de cette manière qu’ils serviront réellement l’intérêt du peuple qu’ils disent vouloir protéger. Toutefois, pour les avoir affrontés, il ne les sous-estime pas et sait que lorsque l’heure du combat sonnera, ils seront de redoutables adversaires. En dernier lieu, la Dissidence est un mouvement contre lequel il ne sait pas véritablement se positionner. Une chose est claire cependant, si elle s’oppose au Garde Edorta, il s’opposera à elle, c’est aussi simple que ça. Restent alors les Olarils, peuplade étrangère dont l’arrivée est aussi responsable d’un grand chambardement dans la Capitale. Il ne sait pas trop s’ils sont conscients de ce qu’ils ont déclenchés et, pire encore, s’ils en sont les maitres instigateurs mais, quoiqu’il en soit, il n’a rien de particulier contre eux, hormis, si, bien entendu, ils se dressent contre l’homme qu’il a juré de protéger. Concernant la prophétie, et bien, Ameer n’ayant jamais été véritablement croyant, préférant de loin la religion de l’acier et de la victoire, ce que peuvent raconter des Oracles lui fait ni chaud, ni froid. Comme vous l’aurez remarqué, la politique n’est pas son fort mais il la régit d’une règle simple : les ennemis du Gardan Edorta sont ses ennemis.

  • Relations Sociales particulières

    Bellone Lastareth, Générale des Armées. Ils se sont connus sur le champ de bataille précisément. Alors qu’il était encore Sergent sous le commandement du Capitaine Erathan Laetarii. Il s’est gagné son respect au mérite, et sait qu’il lui doit, d’une certaine manière, sa promotion en tant que Capitaine de régiment. Ameer voue un profond respect à Bellone et lui est très fidèle en termes militaires. Après tout, elle est bien plus capable que ce petit malin d’Erethan Laetarii et obéir directement à une telle femme est beaucoup plus facile que d’obéir à un imbécile. Il est pour elle un soutien sur lequel elle pourra toujours compter.

    Elenor Jagharii, ex-Capitaine de l’Armée. Leur histoire est relativement complexe mais il y a entre eux rien de moins qu’un respect teinté d’une passion éphémère. Ils sont militaires avant tout pourtant ils se connaissent davantage que de simples camarades. Ameer n’a pas revu Elenor depuis quelques mois, voire davantage, aussi est-il bien difficile de dire ce qu’ils sont réellement aujourd’hui, néanmoins pas de doute qu’ils pourraient échanger une choppe de bière ou deux en évoquant le bon vieux temps. Peut-être plus, qui sait ?

    Erethan Laetarii, Capitaine de l’Armée. Il s’agissait de son supérieur durant de longues années. Du moins jusqu’à ce qu’Ameer ne soit promu Capitaine par Bellone. Entre les deux hommes, comment dire, c’est plutôt l’orage voire la tempête. Erethan a toujours été jaloux du succès d’Ameer, qu’il s’agisse de sa capacité à rassembler et à mener ses hommes ou de son succès auprès des femmes. C’est deux là ne peuvent pas se voir en peinture, fort heureusement, ils ne sont pas forcément amené à se croiser souvent…

    Il y a bien entendu sa famille à Hurg Aari. Ses parents se font vieux et sont aux bons soins de son aîné, Aleb, avec lequel il essaie de s’entretenir régulièrement par courrier interposé pour avoir et transmettre des nouvelles. N’oublions pas également ses compagnons d’armes issus de divers compagnies.
    (NdJ : Si quelqu’un désire une relation avec Ameer, n’hésitez pas à me MP.)

  • Équipement et possessions

    Ses possessions diverses tiennent dans une grosse malle, celle que tous les militaires utilisent. Il y a différents souvenirs, la plupart provenant de ses campagnes et affectations diverses au travers de l’ensemble d’Isle. Il y a également une gamelle et des couverts, des vêtements et un uniforme de rechange. Une bourse avec ses économies, un encrier, une plume et d’autres petites affaires inutiles. Il y a bien entendu son armure de cuir renforcée par différentes pièces de métal, qu’il porte sur lui en service, son épée, sa lance, le tout savamment rangé dans ses quartiers avec l’ordre et le soin demandé à tout militaire.

  • Animal de Compagnie : NR.

    Ameer Afsharii Futur
  • Pistes de Développement pour votre personnage

    Je n’ai pas spécialement d’idées de développement en tête, je suis relativement ouvert à toute possibilité et je serai ravi de contribuer d’une manière ou d’une autre si vous estimez avoir besoin d’un Capitaine. Au niveau des aspirations profondes, se contenter de servir le Gardan Edorta lui suffira amplement, ce n’est pas un homme difficile.


Revenir en haut Aller en bas
Lysandre Hirune
Olaril
Olaril
Lysandre Hirune


Nombre de messages : 6397
Age : 40
Date d'inscription : 03/01/2008

.:: Le Carnet ::.
Âge du Personnage: 42 ans
Profession: Chasseresse / Chef Olaril
Positionnement : Régulier
Ameer Afsharii Empty
MessageSujet: Re: Ameer Afsharii   Ameer Afsharii EmptyLun 13 Aoû - 23:28

Cher Capitaine,
Vue l'heure tardive, je vais éviter de lire ta fiche cette nuit et plutôt m'y atteler dès que possible (j'ai espoir demain soir ou mercredi ^^).

Entre temps je me permets de dire ... "YOUHOU enfin un fidèle d'Ysor, j'ai l'impression que ça fait des siècles qu'on en a pas eu un 'vrai' -et pas un faux traitre Razz- "
Revenir en haut Aller en bas
http://dixcordes.deviantart.com/
Mithra Edorta
Olaril
Olaril
Mithra Edorta


Nombre de messages : 5509
Age : 35
Date d'inscription : 12/08/2008

.:: Le Carnet ::.
Âge du Personnage: 56 ans
Profession: Orfèvre, Veuve de Laclaos
Positionnement : Aha...
Ameer Afsharii Empty
MessageSujet: Re: Ameer Afsharii   Ameer Afsharii EmptyJeu 16 Aoû - 9:19

Capitaine, vous êtes officiellement validé Razz

C'est bon pour moi, les poulett.... le rôleplay est à vous Very Happy

Amuse toi bien, et pour le reste, tu connais la chanson (parchemin, carnet dans le profil, tussah tussah) \o/
Revenir en haut Aller en bas
http://www.obsidare.fr
Contenu sponsorisé





Ameer Afsharii Empty
MessageSujet: Re: Ameer Afsharii   Ameer Afsharii Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
Ameer Afsharii
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Les Tables d'Olaria :: Introduction à Olaria :: ♦ Les Carnets de Recensement :: ♦ Fiches validées :: Ilédors-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser