Elias Valenii

• Pseudo Moi ? Elias ?
  
• Âge 20 ans
  
• Localisation Strasbourg/Nancy (les joies des études)
  
  
• Autre personnage Aucun
  
  
• Temps consacré au net (et au forum) dans une journée Peut dépendre de la situation, des rps en cours… Mais en général, une présence assez soutenue.
  
• Comment avez-vous connu Les Tables d'Olaria ? Via une nouvelle joueuse et amie
  
• Quelque chose à ajouter ? Jamais sans la présence de mon avocat ?

Prénom(s) Elias

Nom Valenii

Âge 24 ans

Sexe Mâle

Statut Nobles de Sang

Profession ou métier Fourbe professionnel. Que dire de plus ? Explication sera donnée en temps voulu.


Positionnement :

• Conservateur = Proche et en accord avec le pouvoir des Conseillers et du Régent. Par désintérêt, notez.




Taille 1 m 76

Poids 69 kg


Description physique détaillée Commençons par le commencement. Certes, la beauté est quelque chose de subjectif, et dépend principalement de l’état d’esprit de celui qui lit en un visage, qui sent en un corps, de ce qu’il y cherche, de ce qu’il a connu… Cependant, certaines personnes naissent avec un visage que l’on peut considérer comme étant particulièrement « fin ». Deux légères fossettes soulignent ses traits, taillés à la serpe, un menton court et gracieux, mis en valeur par une barbe faussement mal rasée –sa petite fierté, une trouvaille en taillage de barbe, la barbe de trois jours parfaite-, des yeux légèrement plissés… En soi, on pourrait dire : à croquer. D’une manière tout à fait subjective. Bhrum… Le visage est surmonté, chose logique, d’une chevelure fort banale, la longueur s’arrêtant en bas du cou. Là encore, un effort de travail a été fait pour du faux-négligé. Son nez est fin, aquilin même, les oreilles cachées par la chevelure, et sa bouche est fine, douce, ne demandant, n’appelant qu’au contact charnel avec ces dames.
Le corps, certes, est moins sympathique, mais ne gâche guère le reste. Sans être particulièrement musclés, ses bras et ses jambes lui permettent d’accomplir bon nombre de tâche demandant certains efforts physiques. Il n’est ni grand, ni gros, ni petit, ni maigre. En bref, ce corps présente une sorte d’équilibre, d’harmonie, harmonie se retrouvant parfaitement dans ses gestes, une façon de marcher légère, une agilité sous-jacente à sa tenue… Rien, dans ses pas, n’est laissé au hasard. C’est un noble, et il le montre.


Particularité physique notable Là où l’on pourrait se demander : « Mais y a-t-il quelque chose gâchant l’ensemble ? », on répondrait : oui, déshabiller le mesdames. Car le corps est couturé de cicatrices, de la petite blanche à la grosse rouge qui tâche. Il a du s’en prendre, des lames dans le corps, pour arriver à ce résultat. La plus « impressionnante » est un long trait blanc, dont la base commence dans le creux du cou, à gauche, avant de descendre sur une dizaine de centimètres. Si lame il y a eu, elle a un jour perforé le poumon. Cette blessure le fait encore de temps à autre souffrir.



Description psychologique détaillée Que dire d’Elias ? Commençons par le commencement : Elias est fourbe. D’une fourberie implacable, que certains pourraient appeler « mauvaise », l’essence même du mal en un sens. Ses paroles sont fausses, tout comme ses gestes, lui qui pourtant semble si bien s’exprimer… Ce n’est pas un poignard, dans son dos, mais une armée d’assassins. Car Elias est lâche, mais téméraire. Encore une explication s’impose : plus que de la lâcheté, nous nommerons cela pragmatisme. Les règles de l’honneur, de la loyauté… Il s’en contrefiche, un assassin s’occupera parfaitement du sale boulot. Lâche. Le combat, le défi, il le cherche, il l’excite. Téméraire. Explication donnée.
Elias est également quelqu’un qui s’ennuie à une vitesse… folle. Tout simplement. Un bloc d’ennui sur patte. D’où l’explication même de ses loisirs : dans cet ennui, il cherche toujours plus, plus loin. Les drogues les plus dures, les femmes les plus belles, les pics d’adrénaline les plus extrêmes… D’où une recherche effrénée, déviante au sens brut, violent, de ce qui peut satisfaire ses sens. Il n’a, à ce niveau là, aucune limite.
Le pouvoir, également, a son importance pour lui. Cela doit être tiré de ses origines, nobles, mais aussi de cette propension, pour les cadets, à développer un complexe d’infériorité envers les frangins plus âgés. Notez que, dans cette optique, un homme n’a de valeur que s’il sert ses intérêts –à lui, Elias, bien sûr-. Un roturier utile sera mieux considéré qu’un noble oisif, par exemple. Aucun respect, en conséquent, pour ses ennemis, faisant naître en lui une trop grande confiance.
Un gout, encore et toujours, des plaisirs les plus incertains, les plus dangereux, ont fait naître en lui une vilaine tendance à l'impatience, voir au caprice. Il veut tout, tout de suite, et il l'aura. Rien de sert pour lui d'attendre une vente. On la provoque en tuant le propriétaire. Original non ? Non. Certes.
Une chose peut le faire sortir de ses gonds, outre sa propension naturelle à la violence. C'est son nom de famille. Il s'en détache, elle l'ennuie, sa famille. Mais ne vous avisez pas d'insulter son nom. C'est la pire erreur que vous puissiez faire. Par là est né une envie de la défendre, cette famille. Encore un curieux paradoxe chez l'homme.
Il n'a qu'une seule chose dans sa vie ne présentant aucun danger pour son entourage : son gout pour la musique. Certes, elle peut représenter l'ennui de la haute, mais à son sens, la musique, couplé avec diverses substances hallucinogènes, provoque des pics de sensations, un orgasme sensitif, en somme. Aussi a-t-il pour habitude, certains soirs, de se transformer en mécène, distribuant ici et là quelques monnaies à des artistes prometteurs, voir mauvais, mais pour le simple plaisir d'entendre de nouveaux sons, du crincrin bas de gamme à l'instrument taillé par le luthier le plus compétent de la capitale. Sa plus grande vexation... Ne pas savoir jouer d'un instrument, n'y avoir aucun talent, aucune appétence. Mais qu'importe. Ses sens sont en éveil.


Particularité psychologique notable Peu de choses, à l’exception peut-être d’une propension à réfléchir trop vite, et à couper la parole de ses interlocuteurs –conséquence hélas logique…-


Connaissances, Savoirs, Capacités Elias a deux talents. Le premier est intellectuel : Il est un beau-parleur, son verbe fait plier la Volonté aussi sûrement que le marteau du forgeron fait plier la barre d’acier. Son second est physique : il est un excellent épéiste, imposé par une volonté de montrer sa « respectabilité » aux gens du milieu, mais aussi en raison de son gout du combat –trop ?- prononcé, l’amenant à accumuler duel et combat de rue.



Enfance Tout commence toujours par l’enfance. Mais comment décrire la banalité, sans y rester ? Comment trouver l’essence de la chose, le verbe créateur, le fondement même de la vie ? Restons-en dans un premier temps à la banalité. Son enfance fut à l’aune de ses origines, aisés, son éducation fut classique, sa famille le fut, en bref, sa vie, enfant, fut celle d’un jeune garçon d’une grande famille. Pas de mort violente, pas de perte d’un parent, d’enfance malheureuse, de gouvernante trop stricte… Non ! On accuserait alors votre pauvre conteur de faire preuve de quelque pêché de fainéantise, aussi va-t-il montrer céans qu’il n’en est rien. Là où Elias se distinguait des autres, c’était son caractère renfermé, ennuyé, un perpétuel vide se creusait en lui dans cette banalité affligeante. Les jeux ? Ils étaient communs à tout les nobles, n’avaient guère d’intérêt. Les études ? Les matières l’intéressant, telle que la rhétorique, n’était qu’une formalité, et le reste ne présentait guère d’intérêt non plus… En bref, son enfance ne fut qu’un ennui permanent, perpétuel, irradiant de sa personne même.

Adolescence Là où moi, conteur, prend le relais, est à cette période phare où se forge l’homme. A un moment particulièrement, où, excédé, le jeune homme était parti de chez lui, sans escorte, habillé simplement, avec pour seul bagage une courte lame avec laquelle il s’entrainait –seul plaisir du jeune homme, aux dires même de ses parents-, ainsi que quelques pièces –somme énorme pour le bas-peuple, argent de poche pour lui-. Ce jour-là, il connut la rue, les bas-quartiers, les petits commerçants et le monde du crime –ses bases, ne rêvons pas, ce n’est qu’un enfant !-. Il découvrit les drogues, que ses parents consommaient mais de façon fort sages, les femmes, qui bordaient le long des routes. Il connut les menteurs, les tueurs, les voleurs, et les trois en même temps. Qui le rendirent exsangues, et dépouillés de ce qu’il n’avait dépensé en plaisirs, interdits ou non. Il rentra avec ses simples habits, vides en dedans, mais pour la première fois rassasié. Une lueur de compréhension passa. Ce serait ceci, sa vie.

Jusqu'à nos Jours Dès lors, le jeune homme n’eut plus qu’une envie : S’imposer « en bas », devenir le roi de la rue, celui pour qui les plaisirs sont à portée de main, celui qui ne connait plus l’ennui. Il travailla les arts de la guerre, tant tactique que physique, décidé à porter à la racaille des bas-fonds une structure, un ordre, à en faire, par défi et par amusement, son armée. Bien sûr, cela correspondait, un temps du moins, à l'éducation de tout jeune homme de sa condition. Dans l'armée, il ne trouva jamais sa place. Il n'était qu'un aspirant, un bas de classe, et se sentait pourtant si différent des autres, si... Supérieur, comme une envie de montrer qu'il valait mieux, sans pouvoir le faire. Oui, les bas-quartiers allaient lui convenir.
Cela commença simplement. A 18 ans, il y retourna. Trouvant un petit chef de bande, il le tua. Ce fut aisé. Rapide. L’homme ne savait pas se battre, et face à un escrimeur doué, il n’avait aucune chance. Ses hommes, une douzaine, oublièrent vite leur chef, tant les paroles et le fil de la lame les avait convaincu. Ce fut le premier cercle. Dès lors, il les chargea de réunir le plus de tenanciers possibles : tavernes, maisons de passe, établissements clandestins et marché noir… Il commençait petit, ne s’attaquant qu’à des gens de faible pouvoir, de petits gagnes-misères, tantôt tuant, tantôt, et cela restait le plus commun, imposant un diktat nouveau sur ces petits hommes ou femmes. Il n’engageait pour l’instant aucun combat avec les vrais meneurs, il tâchait de ne déranger personne de haut-placé. Mettre en place sa toile, dans le fond, était son seul objectif. Nos jours ? Nous y sommes.
Ses combats apportèrent leur lot de blessure, de coups, de cicatrices… La douzaine ? Il n’en reste que deux, Theris et Alieno Elispher, frères de nom, mais pas de sang, ses « lieutenants ». Autour de lui, il était parvenu à réunir en lieu et place des Douze une petite cinquantaine d’hommes, cachés, vaquant à leurs affaires mais prêts à répondre présent. A coté de cela, l’intégralité du milieu, que ce soit en bas ou plus récemment en haut, le connaisse désormais. Certains le haïssent, d’autres l’admirent. Aucun n’est indifférent, car il pourrait devenir un danger potentiel.
Sa famille, quand à elle, n’était pas dupe. Cependant, ils ne pouvaient pour diverses raisons politiques, agir contre lui, faire quoi que ce soit. Tout au plus tentait-elle, dans ce bourbier où s’enfonçait leur fils, de se détacher de lui, que sa chute n’entraîne pas la leur.




Position face aux événements politiques La politique actuelle n’a que peu d’intérêt. Ce qui l’intéresse n’est pas le Régent, la montée dissidente, non, mais plutôt quel sera le cours du Nizär, savoir si oui ou non le vieux Tarik a laissé tomber ses affaires, qui doit mourir aujourd’hui ou si la jeune femme rencontrée la veille a apprécié le collier d’émeraudes volé deux jours auparavant dans les mains froides et mortes d’une ancienne amante. Le siège nuit aux affaires, certes, mais les aident également. La paranoïa aidant, chacun a besoin des services de la nuit.


Relations Sociales particulières Définir ses relations avec tous serait long. Il connait du monde, beaucoup de monde. Aussi, faisons cela par catégorie.
Ce que l’on pourrait rapprocher de ses amis sont au nombre de deux : les frères Elispher. Ces deux hommes lui ont maints et maints fois prouvé leur valeur, suffisamment pour que l’intérêt devienne l’apaisement d’un besoin social évident. Ces hommes sont lieutenants, et amis.
Sa famille ensuite. En soi, il ne les déteste pas. Il a même une légère tendresse envers son petit frère, Itelio. Mais ils l’ennuient. Tous. Aussi se détachent-ils d’eux le plus possible, ne les gardant sous le coude qu’afin de renforcer sa position dans les bas-quartiers, participant à leurs réceptions quand besoin est… Il songe néanmoins, son frère ayant 14 ans, à l’embarquer dans la grande galère avec lui. Pauvres parents.
Ses ennemis sont nombreux également, mais il le méprise tous, sans exception. Ce sont des imbéciles, de pions devant devenir alliés, ou morts. Pas d’ennemi notable pour l’instant, son réseau est trop restreint pour.


Équipement et possessions Le patrimoine familial s’élève à plusieurs dizaines de milliers d’edors. Sa famille est riche, très riche. Outre cela, il a en permanence sur lui une petite pipe d’ivoire, et une bourse conséquente de Nizär. A sa ceinture, une épée forgée dans un excellent acier, une lame de très haute qualité. Ses vêtements sont sombres, noirs souvent, généralement sobres, malgré la tradition, même si l’on repère ici et là quelques coutures d’argent, un fermoir précieux… Tous sont taillés pour la performance physique, pas guindés, assez larges donc. Parfois, dans des circonstances particulièrement exceptionnelles, telles qu’un banquet familial, où l’apparence a son importance, il sort des tenues de couleurs vives, nuances de bleu, surtout, jamais bouffantes et toujours assez larges.



Pistes de Développement pour votre personnage La première évolution consistera à faire grandir son pseudo « empire du crime », et jouer l’opportuniste politique selon l’évolution de la situation.

Voilà la fiche en premier et je l'espère dernier jet
Merci d'avance pour la lecture.

Et bien écoute, la fiche est brève, mais efficace et très agréable à lire !

J'aime le personnage que je trouve équilibré et bien intégré au contexte !

La seule retouche que je pourrais demander serait de l'intégrer peut-être un peu mieux aux différents stades de la vie d'un Ilédor ^^ Tu aurais pu par exemple saisir l'occasion, en parlant de stratégie, d'introduire plus concrètement l'apprentissage militaire

Je pense qu'une petite phrase où deux pour le cadrer un peu plus clairement, et il sera prêt à sévir !

Félicitations quand même

EDIT : peut-être, cela dit, une ou deux qualités à développer afin de le rendre plus réaliste ? Ne serait-ce que pour te faciliter la vie en jeu ^^

Bien bien bien, je retouche dans ce cas. Question avatar : Sur mon ordi, je l'ai à la taille demandée, mais le forum l'adapte à du 150 x 200... Une solution ?

En collant son URL dans le troisième champ de ton profil, il sera à la bonne dimension

Edité. Par contre, l'avatar, rien à faire, il a disparu ><

Pour l'avatar, tu peux l'héberger ici : casimage

Une fois que c'est fait, récupère l'url de l'image, et colle là là où je te l'ai indiqué

Tant que je n'ai pas son URL à la bonne taille, je ne peux pas t'aider

Pour les corrections, tu as pris en compte mon EDIT ? (pour les "qualités", afin de le nuancer assez pour qu'il reste plus crédible)

Bon, je n'ai pas tenu compte des edits, je vais le faire aussi ^^'
Mais l'URL, rien à faire, quelle que soit la taille, le poids, le site, c'est un vide qui s'affiche...

Bon... euh

Ben sinon donne moi un lien vers la source de l'avatar, son image de base, et je m'en occupe

Je me permets d'intervenir, l'image redécoupée : https://i.servimg.com/u/f68/11/88/99/89/avah5810.jpg
Et elle s'affiche correctement...

Merci Lell ! Je m'en charge

Comment perdre sa crédibilité en... Allez, dix minutes...
Seigneur Dieu merci ! Bon. Pour l'Edit sur les qualités, est-ce un réel problème ? Car je ne compte pas être tendre envers mon personnage -donc la facilité, à la trappe- et je me réserve le droit de trouver une conscience un jour chez ce bloc de perversion, mais durant son histoire, pas dans la fiche. A l'exception de son physique et de ses capacités mentales, je peux difficilement intégrer plus... D'autant qu'il me semble que niveau qualité, il est plutôt gâté... Enfin, c'est un sentiment

Hm c'est juste pour éviter de le valider un peu "stéréotypé" ^^

Dans l'idée, en jeu les génies du mal sont pas forcément les plus cohérents, c'est un extrême, comme les personnages trop gentils, trop beaux... etc etc ^^

Tu as justifié ses défauts, ce n'est pas un soucis, et si je peux comprendre qu'ajouter de réelles qualités n'est pas pratique vu son orientation, je pense qu'il faudrait quand même le nuancer un peu, histoire de partir sur une base moins stéréotypée ^^

Tu auras tout le temps en jeu de l'endurcir (et il y aura de quoi, je te l'assure xD) ou au contraire le polir à postériori.

Tu pourrais le nuancer un minimum, par exemple en te servant de détails qui lui apportent un peu de couleurs (il y a peut-être un seul truc mal qui l'énerve ? Peut-être juste un détail sur lequel il ne saurait transiger dans ses affaires ? sans que ce soit une réelle qualité, juste pour le sortir des baskets de génie du mal -qui eux aussi ont des qualités en général xD)

Dans les faits ça ne changera pas grand chose en jeu pour toi, mais c'est plus cohérent pour moi à la validation

Oui, je comprends parfaitement l'idée maintenant. J'avais effectivement cette impression affreuse du stéréotype, que j'évite souvent avec beaucoup de mal... Bien, j'ai ajouté quelques caractéristiques mentales, en espérant que cela colle désormais un peu mieux.

Très bien !

C'est subtil, mais ça le rend plus humain ^^

Fiche validée ! Tu peux aller faire ton inventaire et ton parchemin, ouvrir une demande de RP où répondre à l'une de celles postées, jouer, flooder, voter (surtout voter, on en a besoin en ce moment xD)

Ce qui serait bien également serait de créer un profil TdJ ! Ca aide beaucoup le forum ^^

Voilà voilà, va, vilaine graine

Huaaaaaa !

J'y vais de suite

ça en fait des choses hen