Aphbeth A. Nelisim

Derrière l'Ecran, le Joueur.

Pseudo Aphbeth
Âge 21 ans
Localisation Alterne entre la Picardie et la Région Parisienne
Autre personnage None
Temps consacré au net (et au forum) dans une journée En moyenne 3h
Comment avez-vous connu Les Tables d'Olaria ? En flânant de fofo rpg en fofo rpg
Quelque chose à ajouter ? Hum pas dans l'immédiat ^^

Devant Vous, le Personnage.

Prénom(s) Aphbeth Alvira

Nom Rappel : Nelisim

Âge 24 ans

Sexe Assurément Féminin

Statut Petite Bourgeoise

Profession ou métier Cantatrice

Positionnement :

Dissident = Proche et en accord avec Elandor Arlanii

Taille 1m62

Poids 58 kilogrammes

Description physique détaillée

Son père a longtemps comparé sa longue chevelure dorée et bouclée aux rayons du soleil miroitant sur les eaux d’un lac paisible. Sous cette cascade lumineuse, qu’elle érige la plupart du temps en un chignon complexe et épars, se dévoile un front court et arrondi promettant un regard enchanteur. Il est vrai que ses iris sont d’une couleur incomparable, tendant sur le cyan lors des jours les plus ensoleillés et saphir à la lueur d’une bougie. Son nez, fin et à la pointe rebondie, n’apparait pas comme une chose difforme en plein milieu de son visage saillant. Il reste en harmonie avec l’ensemble de son visage. Les lèvres sont peut être le seul défaut à ce visage. Charnues, petites et étroites, cela lui donne une moue boudeuse continuelle. Son teint pâle est comme la neige fraîchement tombée : fragile et unique.
Pourtant, enfant, elle n’était pas ainsi, telle une pierre précieuse délicatement taillée par le meilleur des orfèvres. Non. Enfant, elle n’était qu’une de ses gamines perdues dans la rue, sale, le teint hâlée.
Son corps de femme, elle ne l’a que depuis ses dix-sept ans. Une poitrine modeste, mais joliment galbée, mis en valeur par un cou gracile. Sous ses vêtements aujourd’hui raffinés, se cache un corps frêle et une peau que l’on devine douce. Ses hanches sont larges mais pas trop, laissant rêveurs plus d’un homme et rendant jalouse de nombreuses femmes.
Hormis sa voix d’or de soprane, elle est plutôt fière ses mains : minces et munies de longs doigts gracieux. Si elle se casse un ongle, cela représente la fin du monde.
Du haut de son mètre soixante deux, Aphbeth dégage une certaine aura, qui pourrait inspirer la méfiance. Sa stature est telle que plus d’uns l’ont cru hautaine et méprisante.
Pour finir, elle aime se mettre en hauteur avec des escarpins afin de paraître plus grande. Préférant oublier le confort des sandales qu’elle connut toute son enfance.

Particularité physique notable Aucune mon Capitaine !

Description psychologique détaillée

Aphbeth est une enfant gâtée. Elle se sent supérieur en tout et au dessus de tout. Rien ne l’atteint si ce n’est les critiques et les insultes envers son illustre personne. Elle se comporte comme une princesse, elle se sent princesse et sa famille la traite ainsi. Le moindre de ses caprices lui est dû et déteste se le voir refuser.
Pourtant elle ne rechigne pas un ordre donné par un supérieur hiérarchique. En fait, tant que ce ne sont pas les membres de sa famille ou ses proches, Aphbeth sera quelqu’un d’aimable, polie et serviable. Enfin, tant que cela n’est pas fatiguant, dégradant et/humiliant. Vous ne pourrez jamais lui demander d’aller effectuer une course pour vous ou bien de nettoyer une maladresse qu’elle a elle-même commise. La jeune femme est quelqu’un de très oisive. Elle aime sa liberté, et contre rien elle ne la troquerait.
Caractérielle, donc, Aphbeth ne se laissera jamais marcher sur les pieds, ni se laissera dépasser. Si elle exige le meilleur des autres, elle sera encore plus intransigeante avec elle-même. Sa détermination est poussée à l’extrême. Elle est capable de répéter d’innombrable fois une mesure si elle n’est pas satisfaite. Elle fera d’énormes efforts pour dépasser ses limites pour atteindre la perfection. Vous l’aurez compris, Aphbeth est une perfectionniste.
Aux premiers abords, la jeune femme parait méprisable, hautaine et irritable. Mais elle n’est pas ingrate et intolérante. Dans de rares moments, elle saura se montrer compatissante, aimante et douce. Il suffit de le mériter, voilà tout. Mais ses critères sont élevés. Elle est exigeante avec elle-même, elle l’est avec les autres.
Vous l’aurez compris : Aphbeth A. Nelisim n’est pas à prendre avec des pincettes, soyez francs et elle le sera avec vous et vous monterez dans son estime.
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Particularité psychologique notable Aucune

Connaissances, Savoirs, Capacités

Aphbeth est quelqu’un d’oisif (vous l’aurez compris), à part le chant et la musique rien ne l’intéresse. Mais elle a quelques bases en mathématique en astronomie, même si elle ne s’en souvient pas forcément. L’enfance, on oublie souvent. Question littérature, la jeune femme ne lit pas de livre « intellectuels », elle savoura plus aisément un livre de contes, de fable, de poésie et de fiction. Le théâtre et le chant sont deux capacités, connaissances et savoir qu’elle se doit d’avoir. Mais cela n’est pas une corvée pour elle. Aphbeth aime cela. Afin de parfaire son éducation musicale, elle étudie avec assiduité la viole. Elle n’est pas une virtuose mais sait jouer les morceaux les plus simples. De ce fait, elle a cultivé sa mémoire, apprends rapidement ses textes et ses chants.

Enfance

Aphbeth eut une enfance des plus banales pour une jeune fille de petite bourgeoisie. Elle naquit dans les draps blancs du lit conjugal un jour de printemps. Comme tout enfant Ilédores, on la fit participer au rite effectué au sanctuaire de Therdone. Aphbeth Alvira Nelisim prouva sa Volonté.
Pour ses parents, la naissance d’Aphbeth fut comme un salut. Deuxième et dernière enfant de la famille, elle permit au couple Nelisim de boucler la boucle. Non pas qu’ils eurent conçut leur enfants par devoir, car leur amour était réel. Mais désormais ils pouvaient se porter sur l’avenir et le futur de leurs enfants.

Enfant, donc, de la bourgeoisie d’Edor Adeï, Aphbeth reçut l’éducation minimale dû à son rang, ses parents Alvira –sa mère- et Irian –son père- n’étant pas les plus aisés. Elle se révéla une excellente élève parmi ses cinquante camarades de classe, bien qu’elle montre quelques difficultés en matière de calcul. Elle apprendra les arts d’astronomie et d’herboristerie. Elle apprenait, certes, mais ne s’y intéressa pas. L’esprit toujours ailleurs, les yeux continuellement rivés sur la fenêtre de la cour. Elle aimait reproduire le rythme du vent et des chants des oiseaux qui venaient pépier à sa fenêtre, comme pour la narguer de leur liberté. Les leçons furent, donc, longues et ennuyeuses.
Avec des parents permissifs, Aphbeth passait plus de temps à l’extérieur à jouer avec son frère Laen, âgé d’une année de plus qu’elle, qu’à étudier. Le petit duo qu’ils formaient réjouissait les cœurs des marchands environnant l’échoppe de leurs parents. Irian était tailleur et Alvira était elle-même couturière, sans grand talent. Ainsi, Aphbeth avait toujours des airs de poupées dans ses robes bouffantes et aux couleurs opalines. Mais la poupée était bien vite sale à toujours courir dans tous les sens, à grimper aux arbres et à se battre.
Et oui, notre petite fille aux airs d’ange était une bagarreuse. Et Alvira déplorait cela, tandis qu’Irian riait en écoutant les récits de sa fille, surenchérie par des anecdotes de Laen.
Mais le temps de l’insouciance prit rapidement fin…

Adolescence

Les années passèrent rapidement, trop rapidement même. La petite fille devint une jeune adolescente à la beauté naissante. Comparée aux jeunes filles de son âge, elle restait enfant, mais sa future maturité était une promesse d’une beauté unique. Comme tous les enfants Ilédores, Aphbeth suivait les cours religieux avec assiduité et ferveur. Avec une de ses camarades, Azmia, elle appréciait les balades en ville à faire les boutiques, sans pour autant acheter. Bien qu’enfant de la bourgeoisie, elle n’était pas riche. Et elle n’avait envie de rien. Sa vie lui était agréable et elle appréciait le moment présent. Les deux jeunes filles avaient pour loisirs les arts du chant et allaient régulièrement à l’opéra afin de savourer les différentes pièces qui se produisaient dans le quartier.
Lors d’une de ses représentations, Aphbeth tomba sous le charme d’une cantatrice, extrêmement réputée en Edor Adeï, Célène Gerreint. Cette femme impressionna fortement notre jeune Aphbeth par son chant mélodieux et puissant. Sa capacité à rendre une note aigue simple et les crescendo accessible à tous. La jeune fille rentra chez elle en courant et alla harceler son père qui s’occupait d’un client.

- Père, s’il te plaît ! Je veux prendre des cours !
- Hors de question ! Qu’est ce que tu irais faire dans un opéra ?! Poussez la chansonnette, tu peux le faire ici, tout en travaillant. Ton frère refuse de devenir mon successeur, c’est donc à toi qui incombe la tâche de me succéder.
- N’est ce pas toi qui me dis que la Volonté est tout ? Alors je ferais en sorte que ce rêve devienne réalité, Père ! Je serais cantatrice, quoiqu’il m’en coûte ! Et ce n’est pas toi qui m’en empêchera !

Ce soir là, Aphbeth se coucha sans manger, les yeux emplis de larme et la joue meurtrie par la main de son père. Mais cela n’émoussa guère sa Volonté. Elle y croyait. Si elle avait put assister à cette représentation, c’était un signe de Therdone.

Ce fut le commencement de la démonstration de sa volonté – de son acharnement comme son père aimait le dire. Dès l’aube, elle entamait des vocalises, maladroites et douloureuses pour le foyer. Cela eût le résultat escompté. En à peine une semaine, son père craqua et céda à son caprice. Comme à chaque fois. Aphbeth était une jeune fille gâtée par ses parents, ne pouvant rien lui refuser. Ce fut avec fierté qu’elle accompagna sa mère à l’opéra à la recherche d’un mentor. Plusieurs se présentèrent, mais Aphbeth n’avait qu’une seule idée en tête.

- Mère ! Je t’ai déjà dis que je ne voulais qu’un seul mentor ! Je veux Célène Gerreint !

Taper du pied, hausser la voix, se montrer ferme et intransigeante, Aphbeth savait le faire et sa mère, bien trop aimante, lui céda. Et céda également une grande fortune –fortune qu’il n’avait pas forcément- pour se payer les services d’une telle célébrité.

La jeune fille déchanta rapidement. Elle, qui se croyait meilleure, exceptionnelle, trouva meilleure qu’elle. Et cela lui déchira le cœur. Le fait d’être le seconde était blessant, vexant voire humiliant, mais cette humiliation était multipliée par la cause de ce malheur. Azmia ! Son amie, sa seule amie, en qui elle avait confiance, lui avait fait de l’ombre, et qui plus est, cachait un énorme secret. Azmia était la fille de Célène. Aphbeth vit rouge, retroussa ses jupons et quitta les lieux pour s’enfermer chez elle. Elle oublia le chant, la musique. Elle se fit plus discrète, ne sortant plus de chez elle, sauf quand son frère Laen la trainait dehors. Leurs parents étaient désemparés mais princesse Aphbeth pouvait faire ce qu’elle voulait. Alors la jeune fille bouda ses cours, oubliant même ses devoirs vis-à-vis du dieu Therdone et la Volonté.

Ses dix-sept ans virent rapidement. Deux années après son caprice et sa déception. La jeune Aphbeth revêtait enfin ses formes de femme, développées grâce à l’entraînement militaire. Le grand air, l’exercice et la discipline changèrent la jeune femme Nelisim. Ce fut transformée qu’elle revint auprès de sa famille. Mais chassez le naturel, il revient au galop…

Jusqu'à nos Jours

La foule s’impatientait. Le brouhaha dans la salle soulignait l’attente désormais pesante. Le rideau épais et de couleur écarlate était toujours fermée. A ses « pieds », attendait dans une cacophonie d’accord, l’orchestre. La salle était comble et la jeune femme, qui observait le public de derrière les rideaux des coulisses, commençait à devenir nerveuse.
On plongea l’auditoire dans la pénombre puis trois coups résonnèrent. Trois coups lents et rythmés qui annoncèrent le commencement. Le chef d’orchestre leva les bras, fixa un à un chacun de ses musiciens, puis débuta l’air.
Aphbeth se montra à la salle, dans sa belle robe dorée, et les cheveux parsemés de paillette. Fière et élégante, elle se posta au centre de la scène et inspira profondément avant d’entamer son chant.

Aphbeth Alvira Nelisim était la nouvelle coqueluche du quartier bourgeois. Comment en était-elle arrivée là ?

Son service militaire l’avait changé, certes, pendant un temps malheureusement. Une fois de retour au domicile familiale, elle reprit sa vie oisive et de princesse. Son frère avait oublié ses rêves d’enfant quant à défier l’autorité paternel et avait reprit le flambeau. La jeune femme aspirait à d’autres horizons et à une autre vie. Et elle avait une revanche à prendre sur la numéro un de son adolescence. Elle devait écraser Azmia, elle devait la vaincre.
Alors Aphbeth retourna à ce théâtre, afin de reprendre ses cours. Si elle avait appris une chose lors de son service militaire, c’était bien ses propres capacités. Et elle se savait médiocre. Mais elle allait arranger cela. Elle exigea la meilleure cantatrice pour professeur. Et ce qu’elle eut.
Elle passait ses journées enfermée dans le théâtre à répéter, faire des vocalises, à apprendre. Aphbeth avait un joli timbre de voix, sans trop de particularité si ce n’est sa capacité à descendre les octaves avec une rare facilité, ainsi que de chanter les notes les plus graves. Elle avait également un jeu délicat et vivant dans ses interprétations que cela lui valut une montée rapide sur les planches et dans les premiers rôles.

Mais elle n’était pas encore arrivée à son but ultime : chanter en présence des plus grands de ce royaume.

Position face aux événements politiques

Tout ce qui ne la touche pas directement, ne la concerne pas. Mais s’il s’agit de son pays, de son roi, Aphbeth fera un effort de réfléchir à la question.
La jeune Nelisim ne croit pas en la mort accidentelle d’Elandor, mais taira cette idée. Elle trouve également que les plus hauts dignitaires sont mous et incapable de prendre de bonnes décisions pour le peuple d’Isle. Elle pense donc que le royaume doit retrouver un vrai souverain avec des Conseillers et administrateurs non corrompus par la richesse, la gloire et le pouvoir. Que cela puisse permettre aux petites gens de se développer et que les Bourgeois puissent s’élever au même rang que les Nobles, afin de leur prouver que le bas peuple n’est pas plus médiocre qu’eux.. Oui… en fait c’est cela. Surtout pour cela.

Relations Sociales particulières

Alvira Nelisim : La mère d’Aphbeth. Qui serait assez fou pour ne pas aimer une mère aimante et prête à mourir pour soi. Aphbeth aime sa mère, elle lui est même reconnaissante, mais ne lui avouera jamais.
Irian Nelisim : Père de la difficile Cantatrice. Elle apprécie le faire enrager et le taquiner. C’est son père, et pour rien au monde elle en changerait.
Laen Nelisim : Frère aîné d’Aphbeth. Elle n’a pas de lien particulier avec lui. Enfant, ils jouaient beaucoup ensemble, mais le temps passa et leur relation s’étiola. Ils sont restés en bon terme mais ce n’est plus la même chose. Aphbeth le déplore.
Célène Gerreint : Celle qui lui a tout apprit. Elle lui doit tout, mais Aphbeth prend ça comme un dû. Après tout, elle a payé cette dame pour ses services.
Et les autres ? Ils ne valent pas la peine d’en discuter…

Équipement et possessions

Aphbeth gagne assez bien sa vie pour avoir sa propre habitation. Elle demeure donc dans une petite maison avec une cour des quartiers Bourgeois. Etant encore assez jeune, et deuxième enfant de la famille, elle n’héritera pas de la boutique familiale –et c’est tant mieux- et ne possède pas grand bien. Sauf, peut être, une garde-robe bien fournie en robe coûteuse et divers accessoire de mode Ilédore.

Animal de Compagnie Aucun, pensez-vous ! C'est beaucoup trop de travail !

Pistes de Développement pour votre personnage

Aphbeth rêve de chanter pour les plus grand, avoir un meilleur statut et une fortune qu’elle pourra utiliser comme bon lui semble, tout en étant indépendante.

Pas de problème, belle blonde, comme je te l'ai dis hier, tant qu'on a des nouvelles de temps en temps on pourra patienter Wink

Juste une petite question. J'aurais bien fait cela par MP mais je ne sais pas trop à qui m'adresser, et je pense qu'ici j'aurais une réponse plus rapide ^^

Donc voilà, mon métier serait "Cantatrice", mais j'aurais voulut savoir où se trouve le ou les opéra(s) ou salles de concert dans la ville d'Edor Adeï. Histoire que je ne fabule pas et aille inventer n'importe quoi.
Merci d'avance.

Les plus grandes Cantatrices se produisent au Grand Théâtre principalement, mais tu peux également "inventer" un simple petit Théâtre dans un quartier plus modeste (en gros, on compte deux à trois petits Théâtres par quartier, plus on est dans un quartier "riche", plus il y en a ^^)

C'est bien ce que je pensais ! Merci pour ces précisions ^^ *s'en retourne à son adolescence*

Désolée du double post, mais c'est simplement pour vous prévenir que j'ai terminé ! Voilà bonne lecture et excusez moi pour les (plus qu'éventuelles) fautes !

OK Aphbeth, on va donc lire ta fiche très vite et te donner notre retour =)
En attendant, tu peux patienter dans le flood Wink

Ah zut j'ai lu pendant ce temps là >.< Prends en compte l'avis de Mithra pas le mien.

Spoiler:

Non c'est bon Aphbeth, tu peux tenir compte de son message. ^^

Tu es VALIDEE Very Happy

Fais ton parchemin/inventaire etc. viens rp et flooder avec nous, on n'attend plus que toi Very Happy

Merci de vos réponses rapide. Je peux toujours changer ces quelques points "obscures" et concernant le "spiritisme" pour moi c'est la religion, c'est du pareil au même... ^^'

Ca dépend de la religion alors, mais pas cette religion là xDD

J'ai édité (j'ai changé le mot par "Religieux") Par contre pour le service militaire, je n'ose pas y toucher. S'il n'est pas développé, c'est car je ne sais quoi raconter et surtout raconter n'importe quoi...

Si ce n'est pas un point important du personnage je ne pense pas qu'il soit nécessaire de le détailler, tant qu'il est mentionné Wink

Bienvenue parmi nous cheers

Merci ^^