Ethelinda Logaro

• Pseudo Peul
  
• Âge 18 ans
  
• Localisation Normandie
  
  
• Autre personnagePas sur ce forum
  
  
• Temps consacré au net (et au forum) dans une journée Tout dépend du boulot que j’ai, en général j’arrive à trouver du temps entre les cours pour RP
  
• Comment avez-vous connu Les Tables d'Olaria ? Par les membres de The Voodoo Child
  
• Quelque chose à ajouter ? Même si j’ai eu du mal à assimiler tout le contexte (ça en fait des notions >.<), et que j’ai du recommencer plusieurs fois ma fiche, je pense que je vais bien m’amuser par ici. Par contre j'ai bien comprit la leçon, plus jamais de personnage prédef, du moins sur ce forum... Félicitations pour le design et l’histoire !

Prénom(s) Ethelinda

Nom Logaro

Âge 20 ans

Sexe Définitivement féminin

Statut Humble

Profession ou métier Danseuse , voleuse et espionne

Surnom Très peu de personnes savent ce qui se cache derrière les masques qu’elle arbore en toute occasion. Jusqu’à présent, elle est parvenue à réduire au silence les quelques personnes ayant percé à jour son identité sans y être conviées. Son nom reste également un mystère puisqu’elle se fait appeler Silhouette par ses pairs.

Positionnement : Dissidente



Taille 1m75, on pourrait croire que cette grande taille qu’elle tient de son grand-père est un handicap, mais ce serait une grossière erreur.

Poids Une soixantaine de kilo.


Description physique détaillée
Une jeune femme à la silhouette élancée, se meut avec grâce sur la musique rythmée qui l’accompagne. Sa longue chevelure châtain vole derrière elle comme autant de banderoles de satin. Son corps ondule avec agilité et souplesse en une danse envoûtante et sensuelle sur laquelle les passants s’attardent et s’émerveillent. Ses muscles longs roulent sous sa peau mate comme dotés d’une vie propre. Qui est donc cette femme ? Voici la question que tous se posent alors que l’almée virevolte et met ses courbes en valeur pour le plaisir des yeux. Les spectateurs obtienne une réponse brève et dénuée de commentaires mais détrompez-vous, il ne s’en formalisera point car le don de la belle vaut tous les mystères du monde. Le spectacle s’achève sous les vivats de la foule et la demoiselle au teint hâlé qui semble leur sourire s’éclipse dans une roulotte colorée. Le public s’éloigne peu à peu, gardant à l’esprit l’image de la jeune danseuse si talentueuse. Ethelinda y retire les habits chatoyants de saltimbanque.
Peu de temps plus tard, alors que la nuit est tombée et que plus personne ne traîne dans les environs, une silhouette plus qu’une femme sort par la seconde porte de la roulotte. La silhouette encapuchonnée s’avance dans la nuit, silencieuse. Vous pensiez ne pas la perdre de vue mais comme par enchantement, elle vous échappe.
Une femme masquée et vêtue d’une tenue de cuir mat et souple se déplace avec agilité sur les toits de la ville, avançant doucement sur ceux en dessous desquels dorment certains et rapidement sur ceux avec lesquels elle ne craint rien. Ses cheveux bruns sont coiffés en un complexe enchevêtrement qui rend difficile la moindre perte capillaire au cours de ses mouvements. Un cheveux qui traîne chez soi ne fera pas grand mal mais lorsqu’un long cheveu brun nargue la riche bourgeoise dans son coffre à bijoux vidé, c’est une preuve incontestable du crime qui vient d’être commis. L’armure épouse son corps à merveille et, faite sur mesure et dans un matériau très travaillé, a le privilège de ne pas craquer à chaque mouvement.
Sûre d’elle et toujours au fait du moindre détail suspect, la jeune femme ne se laisse pas surprendre si facilement et quand bien même cela lui arrive, il est fréquent cela ne soit que le fruit de votre imagination : Ethelinda vous aura sûrement piégé pour vous faire disparaitre, vous qui avez si avidement cherché à la découvrir. Elle a dans ce but suivi un entraînement martial au corps à corps dans un premier lieu, puis avec diverses armes contondantes et tranchantes.
Son visage, jamais entièrement dévoilé, n’use d’aucun artifice pour vous sembler beau. Ses yeux ont une couleur chaude et agréable qui laissent imaginer le plaisir que vous auriez à l’approcher, Un regard mystérieux et séducteur totalement ouvert, seul le bas de son visage étant dissimulé par un voile de couleur, pour la jeune et douce danseuse, des yeux encadrés par un masque pour la voleuse.
Ethelinda rentre chez elle, en tenue de danseuse, elle a trouvé le temps de se changer après sa mission fructueuse. Son pas léger et long la mène rapidement au domicile familial où son père l’attend. Ses habits colorés mettent en valeur son corps svelte aux formes admirables : sans être un canon de beauté, la jeune femme est dotée d’un charme certain et envoûtant. Elle embrasse son père et part revêtir des habits plus confortable après ses ablutions.
Ethelinda est dans une forme physique incroyable, elle se laisse rarement toucher et en général son armure de cuir lui suffit. Seulement une ancienne blessure la fait parfois souffrir et l’immobilise quelques instants, elle sait que les personnes contre lesquelles elle se bat pourraient s’en rendre compte et profiter de l’ouverture ainsi créée, c’est pourquoi elle continue à s’entraîner. Rassurez-vous, la personne étant parvenue à l’atteindre n’est aujourd’hui plus en mesure de s’en vanter, Ethelinda s’en est bien sûr assurée.



Particularité physique notable Quel que soit l’instant, le visage d’Ethelinda est toujours dissimulé. Elle est également ambidextre, ses enseignants n’étant jamais parvenus à lui faire choisir une main elle utilise les deux. Cette particularité lui permet non seulement de se battre avec une arme dans chaque main mais aussi de brouiller les pistes des curieux qui parviendrait à faire le lien avec la danseuse qui elle n’utilise couramment que la main droite.



Description psychologique détaillée
Ethelinda est danseuse et pour elle c’est une belle qualité, son corps entrainé depuis son enfance à tout un tas de mouvements est souple et musclé. La danse lui a conféré une bonne endurance et lui a appris à être patiente.
Agile et souple, la jeune femme peut se faufiler dans les recoins les plus improbables pour vous espionner. Vous pensez être à l’abri des oreilles indiscrètes mais il n’en est rien, Ethelinda peut grimper sur les toits et se cacher dans des lieux où même un enfant ne passerait pas inaperçu et ce sans faire le moindre bruit. Elle contrôle sa respiration afin qu’elle reste profonde et discrète en tout occasion. Ses frères l’ont mainte fois comparée au serpent [HRP : Ethelinda signifie serpent en ancien anglais] car elle parvient à garder une immobilité étrange quelle que soit sa position.
Dotée d’un joli minois dissimulé d’une quelconque manière, la jeune femme sait que son regard suffit à charmer les spectateurs. Certaine de son charme, elle peut entortiller les personnes au bout de son doigt et leur extorquer les informations qui l’intéressent sans même avoir à s’adresser aux gens. Telle le serpent, cette attitude l’a parfois sauvée, la danseuse esquive les questions et les interrogations. Ethelinda est suffisamment talentueuse dans ce qu’elle entreprend pour être tenue au courant de beaucoup des choses qui se passent en ville.
La curiosité est un vilain défaut et même si elle ne l’entend pas de cette oreille, Ethelinda sait qu’il aurait mieux valu pour elle et ses proches de ne pas apprendre certaines choses. Son indiscrétion et son besoin de se renseigner est presque maladif, elle est obsédée par l’Al’Faret et cherche à découvrir la personne qui se cache derrière ce nom, elle a pour ce faire bien embêté son amie espionne.
Même si ses capacités ne sont plus à démontrer, la jeune femme a pour hantise d’être découverte malgré toutes les mesures de sécurité qu’elle met en place avant chaque incursion. En effet, sa pire crainte est de se faire un jour capturer ou attaquer par des conservateurs plus doués qu’elle.
Un peu sauvage malgré tout, elle a compris que les seules personnes sur lesquelles elle pouvait compter étaient celles de sa famille. Elle sait parfaitement que les amis sont pour la plupart trop occupé par leurs propres soucis pour vous prêter main forte en cas de problème, c’est pourquoi elle peut se montrer très distante et peu encline à livrer des détails sur sa vie privée. Une des rares personnes en qui elle pourrait éventuellement avoir confiance est l’espionne hors pair à qui elle rapporte tout ou presque tout ce qu’elle parvient à glaner.
Vous l’aurez deviné elle est également paranoïaque, craignant pour sa santé et pour celle de sa famille, elle n’hésitera pas à faire trois fois le tour de la ville ou à s’introduire ni vu ni connu chez des inconnus afin de brouiller les pistes des personnes qui pourraient l’avoir prise en chasse.



Particularité psychologique notable Elle n’en a aucune. Lorsqu’elle était enfant, elle avait la sale manie de se ronger les ongles ou de toucher ses cheveux lorsqu’elle était anxieuse. Elle a appris avec le temps à s’en défaire car ils étaient autant de détails susceptibles de la trahir.


Connaissances, Savoirs, Capacités Elle a appris non sans mal à lire et à écrire, les enseignements qu’elle avait reçu étant insuffisants, mais elle a poussé plus encore cette capacité en s’exerçant à déchiffrer d’autres dialectes. Ce savoir lui permet notamment de décrypter certains messages qui lui sont destinés ou qu’elle a intercepté. Puisque son espionnage ne se limite pas aux actions physiques et qu’elle s’approprie également les correspondances d’autrui, elle a appris comment réaliser de parfaites copies des missives volées afin qu’aucun doute ne plane sur le secret du message.
Son talent s’étend aussi à la danse, son corps est si souple et agile qu’il semble ne pas être fait du même bois que les autres. Cette caractéristique lui est d’ailleurs bien utile lors de ses escapades sur les toits, ses combats acrobatiques ou les nombreux méfaits à son compte car elle a beau être invisible, il arrive qu’un client veuille se débarrasser de l’espionne qui a si bien servi ses desseins en lançant ses hommes à ses trousses pour s’assurer de son silence.



Enfance
Il y a vingt ans, une petite fille naissait dans une famille de saltimbanques. Seule fille d’une maisonnée comptant déjà trois enfants, elle fut accueillie avec joie par tout le foyer. La mère de cette enfant la nomma Ethelinda, un nom mélodieux qui pourtant n’allait pas souvent être prononcé dans les années à suivre. Ils l’amenèrent aux moines pour qu’ils bénissent le nourrisson, le temps clément en cette période permit à la fillette de se remettre sans peine de ce bain d’eau glacée.
Les années passèrent sans que rien de particulièrement notable ne se produise, et il apparut vite que la petite avait le sens du rythme et un corps souple plein d’énergie. C’est une des raisons qui poussèrent ses parents à lui enseigner la danse. Elle remporta un vif succès lorsqu’elle participa aux représentations de sa mère. L’enfant semblait née pour ce métier et retenait chaque pas aussi facilement qu’elle les effectuait.
Maîtrisant en un rien de temps les différentes facettes du métier, Ethelinda s’ennuya et ne tarda pas à s’embarquer dans des bagarres des rues en compagnie de ses frères qui la considéraient surtout comme un boulet à leur cheville. Très dégourdie pour son âge, elle s’éloignait et explorait les environs lorsque ses parents avaient le dos tourné augmentant chaque jour son périmètre d’action. Ses escapades devinrent de plus en plus fréquentes, elle partait toujours un peu plus loin, fouinait toujours un peu plus et grimpait toujours plus haut. Lorsque sa mère vit danser la petite fille sur le toit de l’épicier chez qui elle se rendait et qui se trouvait à l’autre bout de la ville, elle décida qu’il était temps pour Ethelinda d’étudier.
Elle avait sept ans quand elle rencontra pour la première fois l’homme qui allait lui enseigner tant de choses. Sa curiosité sans bornes ravit le vieil homme qui n’avait pas eu d’élèves si désireux d’apprendre depuis de nombreuses années. Préférant les lettres aux calculs, la fillette était obnubilée par leurs formes, leurs significations et les mots que l’on pouvait créer avec elles. Elle interrogea un jour leur instructeur pour savoir s’il existait d’autres langages connus, il lui prêta donc un livre ancien sur le sujet après avoir fait à la trentaine d’enfants présents un exposé sur le sujet.
Quelques liens se créèrent entre elle et les autres enfants qui partageaient l’enseignement du vieil homme mais rien de bien solide. Au bout de deux ans, leur Instructeur déjà bien âgé vint à tomber malade et ne put plus assurer leurs leçons, la petite qui avaient encore tant de question à poser fut frustrée de ne pouvoir poursuivre ses études. Son remplaçant, un homme encore une fois, beaucoup plus jeune acheva de parfaire leur éducation par quelques notions au combat. Ethelinda s’y adonna avec passion car déjà habituée aux bagarre des rues, elle aimait à se défouler de cette manière. Le professeur parvint à canaliser le trop plein d’énergie de l’enfant.
Lorsqu’elle eut dix ans, sa mère accoucha d’un cinquième enfant qui était également une fille. La petite danseuse se porta volontaire pour lui apprendre des tonnes de choses mais la santé fragile de sa sœur ne le lui permit pas. Elle remarqua également que leur mère était de plus en plus fatiguée, de plus en plus pâle et maigre aussi et finit par s’inquiéter sur sa santé. Elle avait beau questionner encore et encore ses parents, ils lui assuraient chaque fois qu’elle se faisait des idées. Mais Ethelinda n’était pas dupe et commença à épier ses parents lorsqu’ils la pensaient endormie, découvrit que sa mère était gravement malade et qu’aucun des soigneurs qu’ils pouvaient payer ne savait que faire.
C’est à ce moment là qu’elle commença sa carrière de voleuse, l’argent qu’elle gagnait en dansant n’étant pas suffisant. Profitant de ses capacités physiques et des enseignements reçus elle commença à arpenter les rues, les toits, les rebords de fenêtre à la recherche d’objets à dérober. Vulgaire tire-gousset à ses débuts, elle ne se permit de voler que les riches de la ville ne souhaitant causer aucun tord aux humbles qui lui ressemblaient tant. Ethelinda progressa vite et bientôt plus aucune serrure ne fut en mesure de lui résister. Elle vendait le fruit de ses larcins sur le marché noir et lorsqu’elle eut économisé suffisamment d’edors, de maras et de plats, elle alla voir son père au chevet de sa génitrice qui ne pouvait plus sortir du lit.
Elle lui confia l’argent gagné en le suppliant d’aller voir un médecin mais il refusa car tous dans la famille savaient qu’il était trop tard pour sauver qui que ce fut. Sa mère mourut ce mois-là.


Adolescence
Ethelinda grandissait, mûrissait aussi et avec elle, son talent se précisait. Elle finit par penser qu’elle n’était pas née pour danser malgré le plaisir qu’elle avait à le faire mais plutôt que le vol et l’espionnage étaient son but. Ses études achevées, elle en profita pour parfaire ses connaissances et ses aptitudes. Cependant elle se fit piéger un soir par une bande de mercenaires, prise au dépourvu et n’étant à l’époque armée que d’un simple coutelas, elle se fit blesser durant la bataille. Fort heureusement sa souplesse lui avait permis de se protéger mais plusieurs côtes furent brisées. Depuis, Ethelinda est souvent prise de douleur, elle considère cela comme une punition pour avoir cru pouvoir s’en sortir seule sans un bon équipement. Elle employa donc l’argent gagné pour des leçons privées et tenues secrètes avec un maître d’arme, pour payer des artisans qui lui confectionnèrent une armure en cuir, des armes, un nécessaire de crochetage et de copie. Une fois remise, elle retrouva les mercenaires et se vengea à la fois des hommes qui l’avaient blessée mais aussi de la personne qui les lui avait envoyés.
Toutes ces années furent mises à profit et très vite, Silhouette devint la personne incontournable en matière de vols et d’espionnage. Elle fut cependant rattrapée par un individu aussi talentueux qu’elle mais qui s’introduisait non pas dans le domicile mais dans la tête de la cible.
En parallèle, la danseuse enchainait les spectacles et avait parait-il un bon tas d’hommes à ses pieds. La plupart s’y cassaient les dents, en particulier les plus riches qui en étalant leurs richesses pensaient pouvoir l’attirer dans leur lit. L’artiste se fit également connaître pour sa force de caractère, elle avait appris à ignorer les remarques blessantes qui couraient sur sa famille et le décès de sa mère. Les garçons de son âge, à moins qu’il faille les appeler gamins, tentaient aussi leur chance mais un seul parvint à lui dérober son cœur.
Pendant plusieurs mois, elle se laissa approcher et fréquenter par ce garçon qui, issu d’une famille de marchand était néanmoins d’un milieu modeste. Ils s’adonnèrent ensemble à de nombreux plaisirs mais cela ne dura pas. Sa famille s’enrichissant, il devint rapidement imbu de sa personne puis déménagea dans les quartiers riches. Silhouette passa lui rendre visite un soir…
C’est également pendant ces années qu’elle fit la rencontre de bon nombre de contacts, elle mit l’aubergiste dans sa poche et lui acheta une chambre et son silence, elle rencontra Fortune sur un toit, étendit son périmètre d’activité parfois même à l’extérieur de la ville et finit par rencontrer Éléni.
Sa famille qui n’était pas encore au courant de ses activités, profitait néanmoins de l’argent qu’elle rapportait . Pendant ce temps, la danseuse menait son enquête, espionnant même sa famille afin de savoir ce qu’elle pouvait ou non leur apprendre. Malgré la confiance et l’amour que la danseuse leur vouait à tous, sa paranoïa la poussait à épier encore et toujours. Car elle jouait bien plus que sa propre vie en se livrant à eux. Ethelinda finit par les mettre dans la confidence, préservant cependant sa petite sœur âgée de seulement huit ans. C’est ainsi que ses frères et son père apprirent que la femme qui vivait sous leur toit était une voleuse et une espionne, une femme de la nuit dissimulatrice et sournoise qui telle un serpent s’introduisait chez des inconnus.



Jusqu'à nos Jours
Il y a peu à dire, Ethelinda sort à peine de l’adolescence et à encore beaucoup à apprendre. Ses origines roturières n’ont pas été un frein à sa progression, en effet dotée d’un fort caractère et d’une grande curiosité, elle a su pousser au plus loin les enseignements qui lui étaient donnés.
Partie de presque rien, elle est assez fière des améliorations que ses vols et ses missions ont permis de financer et remercie Therdone pour chaque journée fructueuse. Elle a donc acquis des savoirs qu’une humble jeune femme n’aurait pas pu atteindre et amélioré les conditions de vie de sa famille. Loin des maisons bourgeoises et des filons d’or, son père et ses frères et sœur n’ont plus à craindre la faim, si l’un d’eux est malade il pourra compter sur l’aide d’un médecin. Ethelinda est prête à travailler avec acharnement pour ce en quoi elle croit et pour éviter que le drame qui l’a sortie de l’enfance beaucoup trop tôt ne se répète. Bien entendu, pour éviter d’attirer trop les soupçons sur la famille Logaro dont les absences de la fille se font de plus en plus fréquentes, ils évitent d’étaler sur la place publique leurs nouvelles acquisitions et continuent leurs spectacles comme si de rien n’était.
Après la mort du Gardan, il y a un an, la ville fut prise d’une certaine agitation et les mouvements nocturnes allèrent bon train. Subissant rapidement un siège, le marché noir était à la recherche de nombreux objets qu’Ethelinda pouvait leur fournir sans problème. Profitant de la situation et de son talent, elle put continuer d’augmenter ses revenus et rejoignit finalement les Dissidents avec l’aide d’Eleni. Elle n’a jamais approché l’Al’Faret ni même d’autres membres du groupuscule à part ceux de sa propre famille. Seule Éléni, qui semble garder bien des secrets, reste approchable.



Position face aux événements politiques
Ethelinda ne s’était pas souvent intéressée à la politique car les missions qu’elle remplissait l’en dissuadait. Pour elle, le mot politique n’était qu’un masque visant à cacher toutes les bassesses dont les dirigeants étaient capables. Elle méprisait le conseil.
Après la mort prématurée du Gardan Edorta Elandor, la jeune femme était persuadée que de nombreuses rixes ne traineraient pas à éclater et qu’il lui faudrait prendre part aux mouvements nocturnes. Les missions proposées par Éléni se multipliant, elle se douta qu’il se tramait quelque chose d’important à laquelle elle était mêlée indirectement. Elle finit par rejoindre les forces dissidentes sous les ordres de l’Al’Faret et chercha immédiatement à découvrir sa véritable identité.
Même si elle ne s’implique pas au grand jour pour conserver son anonymat, Ethelinda sait qu’à la fin de ces tensions, le trône verra l’avènement d’un nouveau Gardan Edorta. Toujours très curieuse, Silhouette n’a pas mis bien longtemps à différencier rumeurs et faits avérés concernant les intrusions Révolutionnaires dans la cité. Enfin il faut avouer que toutes ces situations font marcher ses affaires et il ne passe pas une nuit sans qu’elle ne doive vadrouiller quelque part, dérober ou copier un document voire de temps à autre assassiner quelqu’un.
La prophétie faisait réagir énormément, mais Ethelinda jugea que ce n’était pas à elle de s’en soucier et ne s’en préoccupa pas ou peu, selon elle elle pouvait être vraie ou fausse, voire un peu des deux et cela n’avait aucune importance. Silhouette se laissait parfois aller à croire qu’une alliance était possible entre leurs deux factions.


Relations Sociales particulières
Il est très difficile de garder secret une identité dans une ville où l’on a grandi au su et au vu de tous. Ethelinda a pu compter sur sa famille pour ne jamais parler d’elle autrement que comme une danseuse depuis qu’elle leur a expliqué ses activités. Les spectacles qu’ils montent ensemble depuis des années et les épreuves qu’ils ont traversés ensemble ont renforcés leurs liens déjà solides. La jeune danseuse n’a jamais supporté que les habitants se permettent de juger leur famille ou osent les accuser de ne pas respecter Therdone en ayant un nombre impair d’enfants d’âges très variés. Certains allant même jusqu’à dire à la jeune fille que la mort de sa mère n’était que justice divine, elle dut user de toute la patience en elle pour ne pas effrayer ces abrutis et pu compter sur le soutien de ses frères.
Fortune, la ratte domestiquée d’Ethelinda est l’être avec laquelle elle se montre la plus familière. Elle n’a pas à faire attention à ce qu’elle dit ou fait contrairement à ses relations familiales car elle sait que Fortune ne risque rien. Compagnes de galère, il n’est nul besoin de paroles pour communiquer. La voleuse est certaine de toujours pouvoir compter sur son amie lors de ses sorties en tant que Silhouette que ce soit pour voler un objet hors de sa portée, l’avertir d’un danger, la défendre parfois ou faire diversion.
A dix-huit ans, alors qu’elle rentrait dans la chambre qu’elle réservait à l’auberge, elle fut bien surprise d’y découvrir une femme bien en chair installée dans sa chambre. Elle piqua la curiosité de la voleuse ce qui, il faut l'avouer, lui sauva la vie. La curiosité l’emportant sur la méfiance, elle écouta jusqu’au bout et tenta de savoir si d’autres avaient été mis dans la confidence. Il apparut qu’il n’en était rien et que cette personne seule était venue à elle. Ces intrusions se firent plus fréquentes et chaque fois la personne qui se trouvait là était différente et savait comment attisé l'attention de Silhouette jusqu'au jour où la personne lui parla avec une voix féminine et se présenta comme l’Ombre ou Eleni. Elle lui raconta la manière dont elle avait découvert Silhouette et ses activités diurnes ou nocturnes . La jeune femme se présenta et lui confia de nombreuses missions, des récupérations de documents principalement, et comme toujours Silhouette s’en occupait avec succès et discrétion. Au bout d’un moment, une sorte d’amitié se créa entre les deux personnes et elles finirent par se connaitre. Ombre est un des contacts en qui Silhouette a le plus confiance, elle ne lui expliquera jamais tous ses secrets et ne lui avouera pas de vive voix son identité mais elle sait que c’est une personne fiable. Lorsque les tensions politiques commencèrent à diriger la ville, c’est elle qui lui proposa de faire parti des Dissidents.
- Le Pouilleux l'a une nuit aidée à se sortir de beaux draps en la menant au lieu sur grâce au réseau des égouts et souterrains de la ville qui constituent son royaume.


Équipement et possessions
La famille Logaro est une famille de saltimbanque, elle ne possède que peu d’effets dont une maison modeste dans le quartier pauvre. La place où ils effectuent leurs spectacles est connue de tous et bien qu’elle ne leur appartienne pas les habitants de la ville semblent la considérer comme leur propriété.
Ethelinda possède une garde robe bien fournie en commun avec les membres de sa famille, costumes des spectacles conçus depuis des années et vêtements plus classiques s’y mêlent.
Les fruits de ses nombreux vols ainsi que l’argent que lui rapportent ses missions lui ont permis d’améliorer les condition de vie de sa famille, au fait de sa double identité. Cependant elle a également pu se payer le luxe d’une chambre d’auberge qui lui est réservée par un des rares dissidents de sa connaissance. C’est d’ailleurs là bas qu’elle reçoit bon nombre de ses missions et qu’elle se réfugie.
Non loin de la chambre qu’elle loue, elle a déniché une cachette où entreposer les armes des plus banales aux plus exotiques qu’elle aime à utiliser, son passe partout et surtout ses armures et masques. Elle y laisse par ailleurs quelques souvenirs comme une tenue ayant appartenu à sa mère, le livre que son premier professeur lui avait confié et tant d'autres choses. Cette cachette dont elle est sure que personne ne la trouvera peut éventuellement servir à la dissimuler dans le cas où sa chambre ne serait plus sure. Elle possède également tous le matériel qu’elle utilise dans ses activités de faussaire et de falsification de documents.


Animal de Compagnie
A dix-sept ans, Ethelinda était passée maître dans l’art du vol. Elle projetait de s’introduire chez un riche bourgeois qui lui avait fait des avances après un de ses spectacles. Ne se satisfaisant pas de lui avoir chipé sa bourse, presque vide par ailleurs, elle voulait voler quelque chose à cet homme qui en bel imbécile lui avait tant vanté sa richesse. Elle allait monter sur un toit quand un gros rat pourchassé par un chat lui fonça dessus, elle l’évita sans soucis et ne s’inquiéta pas pour le rongeur. Ce genre de situation se produisait souvent et elle avait appris à jouer le jeu, les querelles entre minets et rongeurs arrangeaient bien ses affaires en endormant la vigilance de certains gardes.
Avançant sans un bruit, elle finit par tomber sur plusieurs corps de rat, ils étaient suffisamment jeunes pour n’être recouvert que d’une peau rose peu seyante et déjà leur souffle les abandonnait. Ethelinda se demanda si Therdone y était pour quelque chose. Elle avisa cependant un petit être qui respirait encore, sa Volonté devait être assez forte pour lui permettre de vivre. Pensant à toutes les choses qu’un rat savait faire, elle décida de ne pas l’achever mais de le soigner.
Le rétablissement du rongeur ne demanda pas autant de temps qu’elle l’avait supposé. Ils tissèrent rapidement des liens étroits et une complicité s’installa. Ethelinda commença à dresser cette rate qu’elle appela Fortune. Très vite il fut évident que Fortune était la complice qui manquait à la voleuse, elle servait de diversion quand un garde était attiré par un bruit suspect, parvenait à s’emparer d’objets en un temps record et sans se faire pincer, à se glisser dans les quelques lieux inaccessibles à la jeune femme et pouvait entre autre transmettre des messages. Peu de personnes pourraient suspecter un rat d’être impliqué dans ce genre de travail, les conventions étant de scruter le ciel à la recherche de volatiles.
Le rongeur intelligent au poil brun est probablement le seul être à fréquenter autant la voleuse et à en connaître autant sur ses petites habitudes.



Pistes de Développement pour votre personnage Son but initial est de découvrir la véritable identité de l’Al’Faret, elle est persuadée que l’Ombre en a connaissance.
La réussite des Dissidents est une chose très importante pour elle, c’est pourquoi la plupart des missions d’espionnage qu’elle accepte se font pour le compte de l’Al’Faret.
Chaque intrusion, chaque vol, chacune de ses missions sont autant de défis à relever que de plaisir à prendre. Ethelinda aime son travail secret presque autant que la danse.

Alors, je sais que la fiche n'est pas tout à fait terminée, mais en attendant le retour de Liiken, je voulais déjà te donner quelques pistes histoire que tu ne te donnes pas de mal pour une voie qui ne serait pas tout à fait la bonne ^^

J'ai divisé ça en trois points ^^ N'ai pas peur de la quantité, je parle beaucoup, tu me connais xD

• Déguisement :
  
  Comme nous en avons déjà parlé (entre nous, et avec toi lorsque tu as posé la question) il est important de bien marquer la différence avec Eleni : et dans l'intérêt de vous deux d'ailleurs, jouer sur un tableau similaire serait très inconfortable pour toutes les deux ^^ Il y a toujours un peu cette dimension de "rôle" à jouer, cette idée de déguisement, quoi que très atténuée, qui éloigne un peu Ethelinda de l'idée d'un espion silencieux et complètement anonyme ^^ L'intérêt de ce personnage étant réellement axé sur sa souplesse naturelle et sa capacité à se faufiler de partout en silence ^^ Il ne s'agit pas de se grimer ou quoi que ce soit, mais juste d'être "invisible" ^^ Ce qui porte à confusion réside en partie dans la description psychologique (sur laquelle je reviendrais plus tard) ainsi que les possessions (les nombreuses tenues, qui sont exceptionnelles pour un humble, et tendent à penser qu'elle aurait une raison précise de les posséder... se déguiser par exemple xD)
  
  Il serait bon donc de bien trancher tout cela pour que la limite entre vous deux soit claire et que vous puissiez vous compléter. Là où Eleni peut charmer et se travestir (tu parles aussi de travestissement dans la description physique si ma mémoire est bonne, d'ailleurs) Ethelinda passe inaperçu et se glisse là où personne ne la voit, en toute discrétion ^^
  
  Le côté charmeur sied à la danseuse, donc, mais pas à l'espionne, du moins pas au poste occupé par Ethe ^^ Tu pourrais, par exemple, faire en sorte d'avoir une ambivalence plus marquée entre les deux aspect du personnage, afin que son rôle concret soit défini, et que tu sois plus libre de l'incarner comme tu l'entends dans sa "vie civile"
  
  
  
• Rang social / compétences :
  
  Ensuite, j'ai un petit soucis avec son apprentissage que tu décris comme très poussé ^^ Il faut savoir que les humbles sont très nombreux par "classe", c'est de l'ordre d'une vingtaine d'élèves par précepteur, parfois plus, et les enseignements ne sont que "survol" , afin que tous les enfants de la ville basse aient droit à des cours... Ethelinda peut bien évidemment exceller dans un domaine, mais la lecture, les langues et le combat font un peu "beaucoup" compte tenu de son rang social ^^Tous les enfants savent lire et férailler, mais ils ne sont pour la plupart que des "novices" jusqu'à leur apprentissage concret.
  
  Cela ne t'empêche en rien de doter ton personnage de dons particuliers, mais plus naturels ! Par exemple, cette souplesse, et cet art de l'escalade sont tout à fait cohérents avec le personnage et le milieu dont il est issu ! ^^ De là à en faire une experte du corps à corps et une grande linguiste, il y a une différence ^^
  
  Le rapport au vieux maître est intéressant, et peut-être aurait-il pu s'intéresser plus précisément à elle dans ses vieux jours, alors qu'il n'était plus en mesure d'enseigner à tous (et donc, en dehors des cours) et lui donner cette capacité très utile à se servir des langues pour ses messages secrets, mais le combat en plus du reste, me paraît un peu trop.
  
  Je te demanderais de choisir ce qui lui aura été enseigné de façon plus pointue ^^
  
  A noter aussi qu'elle a pu pousser un peu son art du combat lors de l'enseignement militaire, à 17 ans ^^ Sans tomber dans l'exagération et en faire un soldat de métier bien sur, mais pour une espionne qui n'est de toute les façons pas sensée tomber sur de gros bourrins, tu as là une chance d'avoir raisonnablement des capacités intéressantes, en gardant la mesure de son rang ^^
  
  (A noter que ne pas avoir de connaissances expertes en combat, si tu en décides ainsi, ne prive en rien ton personnage de ses compétences d'espionne, puisque l'escalade, la souplesse, et l'acrobatie peuvent tout à fait lui être héritées de parents saltimbanques )
  
  
  
• Anonymat Dissidence / Eleni :
  
  Deux petites choses encore (je sais, c'est long mais je suis bavarde, dans l'absolu ça tient en deux lignes xD) tout d'abord, au sujet de son identité ^^ Les Dissidents recrutés sont tous connus d'une personne ou deux ^^ Si tu veux, tu ne peux pas être anonyme pour absolument tout le monde. La logique voudrait qu'Eleni par exemple te connaisse (c'est bien elle, ton amie espionne ? vous avez accordé vos violons par MP ?) quitte à ce que ce soit la seule, en tant que ton recruteur ^^ En tant que bras droit de Lan, elle est de toute façon au fait d'à peu-près tout ^^ L'anonymat rigoureux est, une fois encore, l'un des apanages d'Eleni, qui préviendrait vos personnages d'un doublon ! ^^
  
  Il faut aussi garder à l'esprit que tous les Dissidents sont plus ou moins anonymes, même entre eux, et ne se connaissent que via leurs surnoms pour leur propre sécurité. Ainsi un Dissident qui se fait attraper ne pourra par vendre personne ^^ Dans l'idée, en entrant dans la Dissidence, ils acceptent plus ou moins cet anonymat réciproque parce qu'ils ont conscience que c'est leur seul salut ^^ En creusant un peu trop, on met nos compagnons en danger, ainsi que soi-même, bien sur ^^ Donc, par exemple Elenor ignorera qui est Ethelinda, bien que connaissant la jeune femme masquée Dissidente, et Ethelinda ne connaîtra Elenor que sous le nom de Sipik, comme tous les Dissidents (à trois exceptions près, les trois qui la connaissaient déjà avant) La Ville Basse est énorme, autant dire que connaître personnellement la poignée de Dissidents qui y vivent (sans parler des nobles) relève du miracle ^^
  
  Et la dernière, c'était donc cette amitié, dont je voulais savoir comme je te l'ai déjà dit si vous aviez bien accordé vos violons

Voilà voilà, j'ai beaucoup écrit, mais c'est surtout pour t'aider, histoire que tu sois sur des rails plus fiables pour la suite ! ^^ Histoire de corriger d'emblée ce qui rapproche un peu trop d'Ethelinda d'Eleni, mais aussi pour qu'elle soit bien intégrée dans la Dissidence et son fonctionnement ^^

J'espère que ça te donnera de bonnes pistes pour la suite ! Si tu as des questions ou quoi que ce soit, n'hésite pas à nous le faire savoir ^^

Lorsqu'elle sera de retour, Liiken reprendra sans doute les rennes, mais je me suis dis que tu aimerais avoir ces infos avant d'avoir tout terminé ! Bon courage pour la rédaction, j'ai hâte de croiser la petite danseuse en RP

D'accord par contre comme j'ai pas mal discuté de ça avec Massa et que je donne les info au fur et à mesure de la fiche il y a certaines choses qu'il faut savoir.
Pour ce qui est des tenues d'Ethelinda je ne parlais pas de déguisements ou quoi que ce soit, il n'y a pas non plus d'histoire de travestissement dans sa description (sauf si j'ai oublié de l'enlever ...) étant donné que j'ai recommencé la fiche en entier plusieurs fois.
Pour l'armure et tout ça, elle utilise l'argent de ses vols et je n'en parle qu'au fur et à mesure afin de bien montrer qu'il contribue à l'amélioration des conditions de vie de sa famille. C'est donc tout à faire logique qu'elle possède de plus en plus de choses.
Le reste est décrit dans l'histoire qui n'est pas totalement postée donc c'est normal que la fiche soit actuellement bancale. Voilà ^^

Je vais essayer de mieux expliquer certains termes qui visiblement sont mal interprétés et je te préviendrais quand j'aurai fini l'ensemble. (Faut quand même l'avouer , ça fait un peu puzzle pour l'instant)

Merci pour tes remarques en tous cas

pas de soucis pour les possessions, c'était juste que je trouvais étrange la possession de toute une garde robe, alors que les bijoux, l'or, tout ça a davantage de valeur (et surtout dans les quartiers humbles où refourguer une toilette noble serait très difficile parce que ça inspirerait de la méfiance) ^^ Ce butin là a l'air plus spécifique, d'où ma question ^^ Hirvë par exemple a une garde robe exceptionnelle parce qu'elle se fait passer pour noble lorsqu'elle chante, Eleni parce que... bah c'est son job justement xD Mais même des personnages comme Lan ou Elenor qui sont pourtant nobles à la base ne possèdent que le strict minimum en vêtement, parce que dans les quartiers pauvres, des toilettes nobles sont plutôt décalées...

Après, mes remarques se basant essentiellement sur l'apprentissage, j'ai un peu suivi ce que tu disais sur les professeurs justement ^^ le fait qu'ils n'étaient que 5 en classe, et qu'ils aient pris du temps pour la former en particulier, que ses parents lui aient fourni un professeur particulier pour le combat, tout ça ^^ C'est ce qui est dans la partie enfance de son histoire, c'est pour ça que je l'ai relevé, étant donné que ça ne colle pas trop avec le contexte du quartier des humbles. Histoire que tu aies pour la suite un socle plus juste, tu vois ? ^^ Après, mis à part ce qui portait sur l'anonymat et la Dissidence (qui en fait n'était pas une correction, mais une précision pour que tu sois bien sur la bonne voie) je n'ai relevé que ce qui était déjà là bien sur ^^

Enfin, je te laisse regarder tout ça, tiens nous au courant, Liiken aura bien sur le dernier mot, mais comme ça on peut t'aider un peu avant qu'elle rentre, ce qui pourrait te permettre d'être validée plus vite

Que cinq en classe? Oo
Jm'embrouille toute seule jcrois parce jtrouve pas où j'ai parlé de cinq élèves. Je sais que la famille était plutôt mal vue parce qu'ils n'y avaient que cinq enfants avec des écarts d'âge important. Mais s jlai aussi dit pour la classe jcomprend mieux tes remarques...
Bon, j'ai fini d'écrire ça. Je corrige certains trucs et en précise d'autre avant d'éditer...
Merci de m'avoir signalé cette erreur, je serai passée à côté sinon ^^"

oh j'ai peut-être mal lu alors, mais vérifie quand même, au cas où xD

allez je te laisse rédiger tranquillou, j'espère que ça t'aidera pour la suite

Et voilà! La fiche est terminée, relue, corrigée et éditée!
Ce fut laborieux mais j'y suis enfin parvenue. A vous de jouer maintenant ^^.

Alors, j'ai tout lu, je vais donc conclure avec mes petits points, pour laisser ensuite Liiken se prononcer à son retour ^^

Je n'ai plus que deux observations, toutes petites (et c'est vrai pour une fois xDDD)

Tu as dis à plusieurs reprise "roi", qui est un terme qui n'a aucun sens dans le contexte, on parlera de "Gardan Edorta" ^^ Je sais que la chef est pointilleuse sur ce genre de détail, donc je préfère te le dire xD

Ensuite, le soucis que j'ai porte sur Elandor ^^ Personne, à part Eleni, Gribus et Elenor, ne sait, ou ne se doute qu'il est en vie, parce que le Conseil a fournit à tous des "preuves" de son accident ^^ Même la famille la plus proche de l'ancien Gardan ignore tout de sa "résurrection" ^^ Eleni l'a découvert parce que c'est un sacré parasite (muaahahaha) et Elenor parce qu'il est son meilleur ami et que l'avoir vu la fuir lui a mis la puce à l'oreille ^^ Gribus également qui travaillait avec lui, et qui l'a découvert au hasard d'une rencontre avec Lan en personne.
Il faut savoir qu'Elandor a beaucoup changé depuis qu'il était Gardan, tant de posture et de démarche (il a été gravement blessé, notamment au dos) que juste physiquement, il fait beaucoup plus vieux, usé, fatigué (en oubliant pas qu'il apparaît masqué lorsque c'est sous l'identité de l'Al'Faret...) ^^ Même les habitants de la ville haute ne le reconnaissent pas, aujourd'hui. Tu as par exemple Amarante Jagharii qui pourtant a travaillé avec lui et l'a vu grandir, qui le prend pour un humble lambda alors qu'ils sont face à face, et seuls...

Sans compter que les humbles n'ont pour la plupart même pas eu le temps de le connaître, ou de le voir ! Il est donc impossible que ton personnage ait fait le lien, parce qu'il est méconnaissable, et qu'elle n'a pas eu le temps ou l'occasion de bien le connaître à l'époque

En revanche, elle peut tout à fait être curieuse de savoir qui est l'Al'Faret, c'est juste ces soupçons qui me dérangent, en tout cas on a refusé jusque là que les personnages, même les plus proches de Lan, se doutent de cette identité Ce qu'on a toléré était le soupçon que le Conseil l'avait fait tuer lui-même, mais pas qu'il y ait survécu ^^

Voilà, réglé le soucis du terme "roi", et modéré les soupçons sur Lan, ce sera bon pour moi, mais je laisserais à Liiken le dernier mot, puisqu'elle te suit depuis le départ
Pour ce qui est du reste, les modifications sont subtiles, mais elles suffisent bien à corriger les quelques soucis qu'il y avait Le tout est plus cohérent, et on a là une espionne affranchie de l'image d'Eleni, c'est bien, et ce n'était pas évident à la base donc bravo

Voilà jai édité en fonction de ce que Lumi et toi venez de me signaler. J'espère que cette fois sera la bonne ^^
[Plus jamais de prédef sur Olaria ]

eh eh ^^ je dois admettre que celui-ci était coriace, vu le parallèle ! Quoi que la plupart des observations sont assez générales... Dis toi que le jeu n'en est que meilleur après

Me voilà enfin !

Alors, premier truc à dire, franchement, c'est trop bien ! C'est agréable à lire, tu as un style très fluide, on est vraiment pris par ton histoire ! J'ai hâte de la voir en jeu !

Tu as très bien tenu compte de ce que les autres ont dit, il reste juste à l'un ou l'autre, le terme roi, qui serait plutôt à proscrire et à remplacer par Gardan Edorta (ou juste Gardan). Ils sont dans les parties : "jusqu'à nos jours" et "positions face aux événements politiques". Une fois que ce sera fait, je ne vois aucune raison de ne pas valider ta fiche !

C'est édité, j'espère seulement ne pas en avoir oublié XD

Hé bien, tu es donc validée ! Félicitation !

Bienvenue à toi dans le rp, n'oublie pas de faire ton inventaire et ton parchemin !

OUaiiiiii!!!!
Merci ma keupine!!

De rien ! ^^

Excusez-moi de m'incruster, j'ai juste lu la fin de la fiche (je remonte ^^) et un tout petit détail m'a dérangée parce qu'on l'a déjà reproché à un membre.
Ethelinda se doute de la survie d'Elandor ? On n'avait pas dit que personne ne pouvait le suspecter à part les rares personnes à être au courant ? :s
Désolée de venir papoter sur une fiche validée mais je me posais la question !

On m'en avait parlé c'est vrai, j'ai du oublier de l'enlever en éditant ma fiche. Jm'en occupe tout de suite

EDIT: Voilà c'est fait!