Les Tables d'Olaria
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 Bellone Lastareth

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3 participants
AuteurMessage
Bellone Lastareth
Ilédor
Ilédor
Bellone Lastareth


Nombre de messages : 937
Age : 33
Date d'inscription : 22/06/2010

.:: Le Carnet ::.
Âge du Personnage: 29 ans
Profession: Générale des Armées
Positionnement : Conservatrice
Bellone Lastareth Empty
MessageSujet: Bellone Lastareth   Bellone Lastareth EmptyMar 16 Nov - 21:48

Bellone Lastareth Iledor

Bellone Lastareth Vous
Derrière l'Ecran, le Joueur.

    • Pseudo Whisper
    • Âge 20 ans
    • Localisation Dans mon 9m²

    • Autre personnage Lell Llureyin

    • Temps consacré au net (et au forum) dans une journée Variable, en fonction de mon travail
    • Comment avez-vous connu Les Tables d'Olaria ? Je ne m’en souviens toujours pas ^^
    • Quelque chose à ajouter ?
      Tout simplement, un grand merci !


Bellone Lastareth Autre
Devant Vous, le Personnage.

    Bellone Lastareth Identite

  • Prénom(s) Bellone, Elliane
  • Nom Lastareth
  • Âge 29 ans
  • Sexe Femme
  • Statut Noble de Rang
  • Profession ou métier Générale des armées

  • Positionnement :
      • Conservatrice, sa fidélité va avant tout au Gardan Edorta


    Bellone Lastareth Physique
  • Taille 1,68 m
  • Poids 59 kg

  • Description physique détaillée
    Trompée par la pénombre, à moins que ce ne fut à cause de son état d’épuisement, la jeune femme trébucha avant de trouver le chemin de son lit. Elle dévêtit son armure de cuir, laissant tomber négligemment les pièces au sol, dévoilant ainsi son corps, le corps d’une militaire, svelte mais musclé et dont les fines cicatrices attestaient de sa pratique des armes, mais également un corps dont les courbes et les rondeurs possédaient les attraits d’une femme.
    Elle se laissa tomber dans les draps fins, rompue de fatigue, encore vêtue de sa chemise de lin et s’enroula dans les couvertures chaudes pour la nuit. Depuis le début du siège d’Edor Adeï, elle passait ses journées, et très souvent ses nuits, dans la Chambre Azurine à s’acquitter de ses devoirs de Générale des Armées. En tant que telle, elle se devait de protéger sa cité, son peuple et son Gardan, tâche qui occupait toutes ses pensées et nécessitait une énergie qu’elle ne possédait plus. La fatigue qui ne la quittait presque plus la terrassa aussitôt et la plongea dans un profond sommeil.

    C’était dans ces rares moments où elle abandonnait l’habit de Militaire que l’on pouvait voir la véritable Bellone, celle qu’elle aurait du être avant tout mais qu’elle cachait au plus profond d’elle-même… La Femme.
    Sur son visage endormi pouvait se lire la douleur inaltérable qu’elle cachait le jour et ne dévoilait qu’à la lueur de la lune lorsque ses songes la menaient auprès de celui qu’elle aimait. De ses paupières fermées sur ses grands yeux mordorés coulaient des larmes silencieuses, traçant des sillons noirs sur ses joues en entraînant le khôl destiné à protéger ses yeux trop sensibles de la lumière. Ses longs cheveux d'un roux flamboyant s’étalaient sur l’oreiller telle la crinière d’un lion. Une lionne rousse…

    Depuis l’annonce de Sa mort, Bellone Lastareth avait changé. Son regard, toujours aussi expressif, s’était néanmoins fait plus dur et réduisait au silence les plus téméraires. Son visage autrefois fin tendait aujourd’hui à s’émacier, les longues heures de veille et des repas frugaux ayant finalement laissé leur trace.
    Pourtant, à bien d’autres égards, elle était restée la même, arpentant chaque matin les murailles de son pas vif et léger et surveillant les alentours de la cité avec ses yeux d’aigle. Les entraînements quotidiens avec le maître d’arme contribuaient à maintenir sa forme physique, et sa voix, douce mais ferme, s’entendait aussi loin qu’elle le souhaitait lorsqu’il s’agissait de s’exprimer ou de donner ses ordres à ses subalternes.

    Néanmoins, il est désormais rare de la voir vêtue autrement qu’avec son armure. Non pas l’armure d’apparat qui sied à la Générale des Armées, dorée et finement ciselée, mais la cuirasse de cuir et de plaques parfaitement ajustée, réalisée par Donal Cunkel, le forgeron officiel de l’armée. Peut être moins résistante mais tout autant protectrice, elle lui permet une plus grande liberté de mouvement et convient mieux à sa carrure, qui quoi qu’on en dise, est bien moins solide que celle d’un homme. Un poignard et une épée constituent les armes de prédilection que Bellone garde en permanence à sa ceinture.

    Ainsi, si l’on se retourne sur elle, c’est sans doute avant tout à cause de sa renommée. Mais peut être il y a-t-il aussi un certain charme, une prestance naturelle, celle là même qui l’a conquis Lui ainsi que ses hommes. Mais elle, critique à son égard, elle ne voit qu’un visage fade se reflétant dans le miroir…
    Et pourtant, elle aime à croire être aussi belle qu’il le lui murmurait à l’oreille dans ces moments où, abandonnée dans ses bras, ils profitaient de l’un de ces instants privilégiés l’un avec l’autre. Elle aime à penser que cette beauté insipide trouvait grâce à ses yeux, et que ce corps, davantage Militaire que Femme, possédait quelques saveurs pour cet homme qui désormais n’est plus.

  • Particularité physique notable
    Dissimulé par ses vêtements, un petit tatouage en forme de serpent s’enroule autour de la cheville gauche de Bellone. Symbole d’espoir et de renouveau, ce serpent qui se mord la queue est un cadeau de son amie Elenor lors de sa nomination en tant que capitaine.
    A noter aussi, la couleur flamboyante de ses cheveux qui n'a pas son pareil dans tout Edor Adeï...

    Bellone Lastareth Psychologie
  • Description psychologique détaillée
    Son éducation de roturière aurait du être un frein, pourtant, cela fut pour elle davantage un atout. Une cinquantaine d’enfants pour un Instructeur ne facilite pas la transmission d’un savoir et très souvent, ils commençaient à peine à gratter la surface d’un sujet qu’ils passaient déjà à un autre. Cela développa très tôt sa curiosité et son sens de l’observation, car pour avoir les réponses à ses questions, il fallait la plupart du temps qu’elle cherche par elle-même.
    Et c’est ainsi que lorsqu’elle intégra l’armée et assista clandestinement au cours de tacticien, elle fit montre de ses talents, tant sur le plan théorique que sur le terrain. Prise sous l’aile du Lion d’Edor Adeï, la femme un peu trop impulsive sur le terrain s’assagit à l’arrière des lignes et devint celle qu’elle est aujourd’hui, une stratège posée et réfléchie. Positionnée de telle sorte que le champ de bataille s’étale sous ses yeux, elle analyse et convient du meilleur moment pour lancer une attaque afin d’obtenir la victoire, ou ordonne un repli stratégique lorsque ses hommes sont menacés d’être balayés par l’attaque du camp adverse. A l’instar de son mentor, Bellone a appris à mériter le respect de ses soldats et à cultiver l’image d’une femme droite et forte ce qui, ajouté à sa prestance naturelle, font d’elle une meneuse d’hommes.
    Militaire avant tout, elle ne cautionne ni le laisser aller ni l’indiscipline quant aux ordres. En ces temps de conflits, la moindre petite erreur pourrait leur être fatale et le relâchement n’est pas admissible. Qu’il s’agisse de simples soldats ou de gradés.
    En cela, et issue de basse classe, elle se rend compte de la gangrène qui menace le corps de l’Armée. Comme beaucoup, Bellone a gravit les échelons grâce à son seul mérite, contrairement à certains Nobles, parachutés à de hautes fonctions et incapables de les assumer. Pourtant directe, la Générale doit alors user de toute la diplomatie dont elle est capable – qui soit dit en passant n’est pas tellement son fort – pour obtenir ce qu’elle veut d’eux. Car dans l’ordre des choses, une Noble de Rang, bien que Générale des Armées, sera toujours inférieure à un Noble de Sang.

    Leur mode de pensée est ainsi fait et c’est pourquoi, une fois l’habit Militaire tombé, que Bellone Lastareth évite leur société. La caste des Nobles de Rang est une position invivable : la Noblesse de Sang voit d’un mauvais œil cette arriviste, et les Bourgeois et Pauvres jalousent en quelque sorte cette position. Et n’ayant pas reçu l’éducation nécessaire, elle se sent mal à l’aise à fréquenter les hautes sphères et évite les invitations où elle n’est pas demandée en tant que Générale des Armées. De plus, sa fidélité allant au Gardan Edorta, elle se refuse à accepter les « avances » des membres du conseil. Etre achetée n’est pas dans sa façon de penser, elle reste loyale au Chef des Armées.

    Pourtant, à l’intérieur de cette armure, dissimulée aux yeux de tous, se cache le cœur d’une femme qui souffre. Un cœur déchiré par la perte de l’être aimé…
    La femme joyeuse et espiègle a disparu, laissant la place à la tristesse et la mélancolie. Elle a enfermé sa souffrance tout au fond de ce cœur et l’a cloitré dans son armure pour ne rien montrer de ses sentiments. Au fond, Bellone est perdue et même si elle s’est résolu à accepter sa mort, la barrière qu’elle a dressé ne peut être abattue d’une simple pensée et les amis éloignés ne reviennent pas d’un claquement de doigt.
    Elle l’a trop aimé et en souffre encore, la peur la retient d’ouvrir son cœur à quiconque. Désormais, elle ne vit plus que par la Militaire, et pourtant… pourtant, il faut bien qu’elle réapprenne à vivre…

  • Particularité psychologique notable /

  • Connaissances, Savoirs, Capacités
    Ses principales connaissances lui viennent de son apprentissage dans l’armée. Enfant, elle a appris à lire et écrire mais la classe surchargée de son Instructeur ne lui a pas permis d’apprendre autant qu’elle l’aurait souhaité.
    Aujourd’hui, c’est une tacticienne émérite qui a su faire la différence sur un champ de bataille. ce savoir, elle l’a acquis d’Amarante Jagharii, son mentor, qui a aussi tenu à lui enseigner l’art nébuleux de la diplomatie qui sans être catastrophique, n’est cependant pas son point fort.
    Bellone manie avec dextérité une épée, et sans être pour autant ambidextre, elle se bat en général avec un poignard dans la main gauche. Bien que sachant manipuler quelques autres armes, sa préférence va à cette combinaison épée poignard avec laquelle elle est le plus à l’aise.

    Bellone Lastareth Passe
    Luciella Lastareth avait déjà donné naissance à deux enfants mort-nés et a une petite fille emportée par une fièvre au bout de quelques mois de vie lorsqu’elle annonça sa grossesse à son mari. Orain Lastareth accueillit la nouvelle avec joie et pria Therdone avec ferveur afin qu’il leur accorde le bonheur de voir naître et grandir leur enfant.

    Quelques mois plus tard mais des semaines trop tôt selon leur calcul, Luciella fut prises de contractions douloureuses. L’enfant qui vint au monde était si petit et si frêle que le cœur de son père se serra, ancré dans la certitude que sa petite fille ne survivrait pas à son baptême. Les eaux froides engloutirent ce petit corps rayonnant de chaleur et les secondes qu’elle passa sous l’eau parurent une éternité pour Orain. Mais contre toute attente, le corps ruisselant qu’il ressortit poussa un grand cri : leur fille était vivante et sa Volonté puissante.

    « Voici ma fille, Bellone Lastareth ! Et que Therdone m’entende, de par sa Volonté, je sais qu’elle ira loin ! »

    Ainsi les paroles prononcées par son père résonnèrent-elles dans la salle du temple, promettant à sa fille un destin exceptionnel…

    La petite grandit avec un frère que ses parents lui donnèrent un an plus tard. Et quand il fut lui aussi en âge de marcher, ils ne se quittèrent plus d’une semelle, apprenant et faisant les bêtises ensembles. Issus d’une famille humble, ils durent très tôt laisser jouets et badinage pour aider à améliorer leur pain quotidien. L’oisiveté et les jeux ne font pas partie des plaisirs enfantins des Bas Quartiers.
    Puis vint le temps des apprentissages inculqués par des Instructeurs aux savoirs hétéroclites, en plus des corvées habituelles pour sa famille. Une classe d’une cinquantaine d’enfants déborde rapidement n’importe qui mais l’apprentissage sommaire qu’on leur fournit eut cependant le mérite de lui apprendre à se questionner. Des pourquoi et des comment se mirent à fleurir dans sa tête et bien que Bellone n’obtint pas toujours toutes les réponses, son goût pour le savoir et l’étude se développa à partir de ce moment là. Attentive à toutes les nouveautés, elle engrangeait le savoir de ses percepteurs sans toutefois oublier de s’interroger.

    Arriva sa douzième année et à regret, la fin de son instruction. Luciella Lastareth voulait qu’elle reprenne son métier de Tisserande et la prit comme aide. Heureuse d’aider sa mère, Bellone se mit en devoir de devenir aussi habile de ses doigts que sa génitrice. Elle aimait les points de croix et l’entrelacement de tout ces fils de couleurs sur la travailleuse, voir le motif prendre vie petit à petit tandis que les fils s’entrecroisaient dans une danse sans fin. Cependant, il advint bien vite pour la petite fille que ce n’était pas le métier auquel elle se destinerait toute sa vie. Il lui fallait autre chose, elle avait besoin d’évolution, de perpétuel mouvement…

    Les années passèrent encore, à la fois trop vite et trop lentement. La petite fille devint une jeune demoiselle. On lui apprit à être une femme, on lui inculqua les devoirs d’une bonne épouse, d’une bonne mère. Et pourtant, ce n’était pas non plus de cette finalité là qu’elle voulait. Bien sûr un jour aurait-elle un mari et des enfants, mais elle aspirait à autre chose que cela.
    Et puis être une femme, ses parents avaient beau gagner honnêtement leur vie, ils restaient néanmoins Pauvres, et une femme pauvre dans la société Ilédor ne brillait pas beaucoup. Cependant, elle devait bien avouer que certains regards de la gent masculine n’étaient pas pour lui déplaire.

    Bien vite arriva le jour où Bellone dut se faire novice dans l’armée. A cet instant et sans qu’elle le sache, le destin que son père lui avait promis le jour de son baptême commença à se réaliser.
    Ici encore, roturier et Nobles se trouvaient séparés. Tandis que les enfants riches apprenaient la stratégie et la diplomatie, les enfants humbles subissaient les entraînements rébarbatifs tels que marcher au pas. La recrue Lastareth apprenait avec intérêt et brillait à chaque exercice, mais encore une fois, elle aspirait à plus.
    C’est à cette époque et durant l’un de ces entraînements qu’elle rencontra Elenor Jagharii. Issue de la Noblesse, il était étonnant de voir cette jeune femme participer aux exercices de son plein gré et avec tant d’entrain. A vrai dire, il était évident pour Bellone qu’elle prenait un réel plaisir à se trouver ici et, elle le lui avoua plus tard, elle avait craint être obligée de devoir suivre les cours théoriques qui lui étaient réservés l’empêchant du plaisir simple de combattre.
    Bellone se sentait irrémédiablement attirée par la personnalité indomptable de la Jagharii et au fur et à mesure des semaines passées à ferrailler ensemble, elles devinrent amies.
    A vrai dire, Elenor fut bien davantage qu’une amie. Elle l’initia à la tournée des bars, aux boissons et aux hommes. La sage et modérée Bellone devint… moins sage et plus libérée. Mais le plus beau cadeau qu’elle lui fit, fut de la faire assister clandestinement aux cours qui normalement étaient réservés aux enfants de la Noblesse. Elle découvrit la stratégie, les stratégies des mouvements de troupes, étudia les grands généraux du passé… La porte était ouverte, elle n’avait plus qu’à y tracer sa voie.
    La jeune femme brillait tant et si bien aux différents exercices réservés à ceux de son rang, que lorsque les dix-huit mois de l’Apprentissage Militaire arrivèrent à terme, on lui proposa de s’engager définitivement dans l’armée avec un grade et le commandement d’une troupe de soldats.

    Pas après pas, les mois passèrent et le chemin se traçait.
    Bellone atteignit sa vingtième année sous le grade de capitaine. Ses faits d’armes et sa capacité à réfléchir et diriger ses hommes avaient convaincu ses supérieurs de lui accorder un grade supplémentaire. Ils fêtèrent son ascension jusque tard dans le nuit au milieu des rires et des boissons, et Elenor, qui n’avait toujours pas réussi à la convaincre jusque là, lui offrit le tatoueur. Bellone était trop éméchée pour refuser, mais heureusement encore assez sobre pour choisir le motif et l’endroit. Elle préférait ne pas savoir ce qu’Elenor avait en tête en l’emmenant, mais à sa mine boudeuse devant le simple serpent sur sa cheville, elle était prête à parier qu’elle voyait plus grand… et plus coloré.

    Le lendemain allait avoir lieu un autre tournant important de sa vie. Si elle l’avait su à l’avance, peut être se serait elle moins enivrée la veille.
    Après avoir passé presque deux années à jouer avec ses hommes, voilà qu’on lui collait le pire des jeunes nobliaux dans les pattes : Elandor Arlanii.
    Que dire de cet homme ? Sur le coup, un bon à rien, imbu de sa personne et n’ayant aucun respect pour l’autorité, encore moins si c’est une femme qui la représente. Lorsqu’il apprit qu’il était placé sous ses ordres, il fit un scandale tel qu’il parvint jusqu’aux oreilles de Bellone. A cette liste si peu élogieuse, il fallait aussi rajouter capricieux. Maussade et revêche, il finit par accepter de mauvaise grâce le commandement d’une femme.
    Cependant, au fil des jours, lorsqu’il s’oubliait et qu’on grattait un peu la couche superficielle, Bellone dut bien admettre que l’homme caché en dessous possédait les qualités réelles d’un meneur d’homme, pourvu qu’il perde ses manières de Noble et d’enfant capricieux.
    Au fil du temps, la formalité se transforma en amitié sincère. Souvent, Bellone le retrouvait dans les tavernes à soldat prétextant le travail, mais discutant de sujets parfois bien éloignés. Leur naissance et leur condition ne leur avait pas montré la vie de la même façon et au fil des discussions, chacun voyait les choses d’une autre façon lorsque l’autre les racontait.
    Bellone changea, le changea aussi, et cela continua ainsi durant cinq ans.

    Cinq années durant lesquelles elle continua à monter en grade et où elle reçut l’enseignement du Lion d’Edor Adeï. Sous son influence, Bellone devint meilleure qu’elle ne l’était déjà et elle continuait tous les jours à progresser.
    Mais tous les soirs, elle s’asseyait à une table dans cette taverne et attendait sa venue. Parfois elle repartait sans l’avoir vu, et d’autre fois, il poussait la porte et son cœur bondissait de joie. Elle l’aimait, cela elle n’en avait aucun doute, mais elle refrénait ses sentiments car Elandor Arlanii était un homme marié et son éducation lui interdisait toute relation autre que platonique avec lui. Pourtant jamais elle ne prit d’amant, elle l’attendait lui et aucun autre homme n’aurait pu la satisfaire.

    A l’annonce de la mort de Thétis Arlanii, Bellone ne s’attendait pas à le trouver le soir même sur le pas de sa porte. Comment pouvait-il se trouver là alors que sa femme venait de mourir ? Il avait beau ne plus l’aimer, il avait un devoir envers sa femme, celui de respecter son deuil. Et elle ne se gêna pas pour le lui rappeler avant de lui claquer la porte au nez. Elle n’aurait pas supporté être aimée par un homme qui ne respectait ni n’honorait son ancienne épouse.
    Un mois sans mettre le pied dans une seule taverne, un mois d’attente fiévreuse qu’elle passa en entraînements et études…
    Un mois au bout duquel elle poussa à nouveau la porte de l’auberge du Ceste Clouté où elle le trouva assis à leur table habituelle. Elle ne put réprimer le sourire qui étira ses lèvres lorsqu’elle le vit lui qui hantait ses nuits depuis toutes ces années.
    Pour la première fois, Bellone se trouva gênée devant lui. Que lui dire ? Que faire ? Alors elle commanda un alcool fort et se mit à lui parler pour ne pas que s’installe ce lourd silence si gênant. Elle buvait, trop, et ils se regardaient droit dans les yeux. Et au moment où sa conversation devenait balbutiante, Elandor la prit par la taille et l’enleva de l’auberge. Son cœur battit la chamade au contact de cette main sur ses hanches et grisée par l’alcool, elle se blottit contre lui tout le reste du chemin.
    Arrivés sur le pas de la porte et avant qu’elle n’ait pu les retenir, les mots franchir ses lèvres et elle l’invita à entrer. Il l’a mena jusqu’à sa chambre et la coucha, mais au moment où elle le vit, hésitant, prêt à partir, ce désir refoulé depuis si longtemps prit le dessus et sa main glissant jusqu’à sa nuque attira son visage jusqu’au sien pour un baiser violent et passionné. Le second fut plus doux mais tout aussi ardent et ils finirent juste dans les bras l’un de l’autre. Elle fut incapable de fermer l’œil de la nuit, sentant la chaleur de son corps tout près du sien, son cœur battant au même rythme que le sien et ses mains qui ne cessaient de lui caresser le dos, réprimant son désir pour continuer à profiter de cet instant magique.
    Puis il y eut d’autres nuits, bien moins sages que celles-ci…

    Ils attendirent encore deux ans avant de se fiancer en secret. Deux ans de passion, deux années de bonheur passées ensemble. Il fut convenu d’attendre qu’Elandor soit sur le trône avant qu’ils ne se marient. Le scandale qui en résulterait serait sans doute moins grave que celui qui éclaterait s’ils se décidaient maintenant. Qu’importe le temps qu’ils devraient attendre, ils étaient ensembles.
    Seule Elenor, amie de toujours, fut mise au parfum de ces fiançailles clandestines et Bellone appris par la même qu’elle partageait le lit et le cœur de Sieben Raetan, le patron du Ceste Clouté. A vrai dire, la jeune femme connaissait un bonheur sans faille, tant pour elle que pour son amie, et l’évènement qui suivit ne fit que renforcer ce sentiment.

    L’annonce tomba sans qu’elle s’y attende : le Général Amarante Jagharii prenait sa retraite et laissait sa place à Bellone Lastareth à qui il avait appris tout ce qu’il savait.
    Que dire ? C’était l’apogée de tout son travail, de tous ses efforts, d’années d’instructions et de mise en pratique. Générale des Armées… un rêve jusqu’ici inavoué, qui tout à coup prenait corps et l’entraînait dans une spirale ascendante de bonheur.
    La cérémonie d’intronisation eut le lieu le lendemain et elle jura fidélité au Gardan Edorta Joaldor Arlanii, sous les yeux de son fils rayonnant de fierté.
    Deux ans de bonheur… Puis le malheur frappa en plein cœur.
    Les cloches sonnèrent, annonçant la mort de Joaldor Arlanii. En tant que Générale, Bellone assista à la cérémonie et descendit dans le caveau dynastique où feu le Gardan Edorta rejoignit ses ancêtres.
    Elandor Arlanii devint donc à son tour Gardan Edorta, succédant sur le trône à son père, et attirant déjà les regards mécontents des conseillers.
    Ce fut la dernière fois qu’elle le vit.
    Trois semaines s’écoulèrent sans qu’il ne vienne la voir, ses nouvelles fonctions le retenant au palais. Bellone était heureuse de voir qu’il prenait ses responsabilités suffisamment à cœur pour ne pas venir la voir tant que les rênes du pouvoir n’étaient pas sures dans sa main.

    Et les cloches sonnèrent à nouveau. Sa vie bascula…
    On lui rapporta qu’il avait été tué dans une bagarre de rue mais qu’on n’avait pas retrouvé son corps. Non, ce n’était pas possible, elle ne pouvait pas y croire. Elandor ne pouvait être mort, il allait revenir, il ne pouvait pas avoir disparu de cette façon, sans raison.
    Pour la seconde fois, elle visita le caveau des Arlanii où l’on scella sous la pierre un cercueil vide. C’était une fois de trop.
    Bellone attendit. Les jours passèrent, puis les semaines sans qu’il ne lui revienne. Elle continuait d’assumer ses fonctions mais son cœur était tourné ailleurs.
    Elenor vint la voir, lui parla de ses doutes, du conseil. Mais Bellone ne souhaitait qu’une chose, qu’il revienne.
    Elle apprit plus tard que la Jagharii avait reçu une mauvaise blessure à sa main d’épée et qu’elle ne pourrait sans doute plus jamais s’en servir. Prenant sur elle, et rongée par le remord, Bellone lui rendit visite. Elle trouva une femme droguée, acerbe et froide. Réaction stupide, elle prit peur et ne revint jamais la voir. Pourquoi ? Parce qu’égoïstement, elle n’avait su voir que son propre malheur et ne s’était pas sentie apte à devoir supporter ceux de son amie. Lâche…

    Un mois passa…
    On parla d’une armée d’Ilédors en marche vers la cité. Ils devaient être arrêtés avant de parvenir à Edor Adeï aussi dépêcha-t-on un renfort de troupes rejoindre ceux qui les attendaient de pied ferme. Mais au lieu de placer à leur tête un militaire rompu et expérimenté, on y mit Onir Laetarii, beau frère de feu Joaldor Arlanii. Bellone s’insurgea mais on ne l’écouta pas. Non pas que le général n'avait pas prouvé sa valeur sur les champs de bataille, mais il commençait à vieillir et la stratégie militaire n'était pas sa plus grande qualité. Le résultat fut sans appel : à sous-estimer cette armée, les défenseurs, pour ceux qui avaient échappés au massacre, revinrent la queue entre les pattes se réfugier derrière les murs de leur cité pendant que les assaillants en profitaient pour gagner du terrain et installer leur siège.

    Et lui ne revenait pas…
    S’il était toujours en vie, il serait venu la trouver. Il n’aurait pas supporté de la laisser comme ça, dans cette incertitude déchirante qui la maintenait dans cet état depuis l’annonce de sa mort.
    Mais il n’était pas revenu. La vérité s’inscrivit en lettres rouges devant ses yeux. Alors… cela voulait donc dire… qu’il était… mort ?
    La souffrance submergea alors son cœur, frappant de toute part, ne la laissant respirer que pour mieux attaquer. Elle pleura toutes les larmes de son corps, elle pleura son ami, son amant, celui dont elle n’acceptait pas le sort.
    Au matin, les yeux rouges mais secs, les joues creusées par les larmes qu’elle avait versées toute la nuit, elle revêtit son armure et y enferma son cœur et sa souffrance à double tour.

    Deux mois passèrent encore…
    Le siège est maintenant bien installé. De ses grands yeux mordorés, Bellone observe depuis le mur d’enceinte l’armée massée à leur porte. Ils patientent tranquillement, attendant que la situation de la cité devienne tellement intolérable qu’elle leur ouvre elle-même ses portes.
    Mais elle s’est fait la promesse que cela n’arrivera pas tant qu’elle sera Générale.
    La douleur est toujours aussi poignante. Peut être est néanmoins en train de s’estomper un peu, ou d’évoluer… Il lui faut songer à réapprendre à vivre, mais pas tout de suite, c’est encore trop tôt…


    Bellone Lastareth Viesociale
  • Position face aux événements politiques Le conseil... Pour Bellone, il n'y a plus de doutes permis, c'est lui qui a tué Elandor. Les soupçons d'Elenor lui sont revenus en mémoire, et associant ce qu'elle sait déjà, elle est rapidement parvenue à cette conclusion. Le conseil est devenu une cible à abattre, pourri jusqu'à la moelle par ces Nobles assoiffés de pouvoir qui manigancent pour en obtenir encore plus. Et plus que jamais, son serment de fidélité va au Gardan Edorta, Ysor Arlanii.
    Qu'il s'agisse des conseillers, des élus annoncés par la prophétie des oracles, ou des révolutionnaires massés aux portes, Bellone tient à sa promesse et défendra quoi qu'il advienne son Gardan Edorta.
    Ce qui risque de lui poser un cas de conscience si elle apprend la survie d'Elandor...

    Des rumeurs lui sont parvenues au sujet de la dissidence, mais rien de bien concluant. L'information n'a pas été oubliée, mais plutôt classée avec celles de Révolutionnaires. A tort ?

  • Relations Sociales particulières
    -Elandor Arlanii, l’homme qu’elle aimait… avant qu’il ne revienne à elle sous les traits de l’Al’Faret. Les mensonges qui sont révélés et les trahisons qu’elle découvre contribuent à les séparer davantage jusqu’à atteindre le point de non retour. Désespoir et haine… c’est ce que lui inspire désormais le souvenir d’Elandor.
    -Elenor Jagharii est très vite devenue une véritable amie pour Bellone lors de leur apprentissage militaire. Mais depuis peu, elle a appris que sa meilleure amie est fiancée à Elandor qu’elle croyait mort. Cette nouvelle trahison s’ajoutant aux autres, Bellone ne sait plus quoi penser. Une chose est sûre, elle n’a pas envie de la revoir… pour l’instant, elle lui en veut à mort.
    -Amarante Jagharii (PNJ), son mentor, celui qui l’a prise sous son aile et lui a tout appris. Sans lui, jamais elle ne serait devenue Générale des Armées. C’est en quelque sorte un second père pour Bellone, mais depuis qu’elle a appris qu’il savait pour Elandor, il règne un certain froid entre eux.
    -Ameer Afsharii, un capitaine de l’armée qu’elle a fait nommer peu de temps après sa nomination en tant que Générale des Armées. Anciennement sous les ordres d’Erathan Laetarii, il a su se démarquer parmi les autres et passer outre l’ingérence notoire du capitaine Laetarii, gagnant le respect de celle qui n’était encore à l’époque qu’un simple capitaine. Depuis, elle n’a jamais eu à regretter sa promotion, et depuis le départ d’Elenor, il est un soutien essentiel pour elle.
    -Ysor Arlanii, n’est pas Elandor… et ne le sera jamais. Cependant, cela ne signifie pas qu’il ne sera pas un bon Gardan Edorta. Bellone respecte cet homme qui second né, n’a pas été formé à la place qu’il occupe. C’est à lui que va en premier lieu sa fidélité.
    -Damian Olynn, homme discret anobli récemment par le Gardan Edorta, son génie est extraordinaire. Ses inventions, souvent incroyables, apportent un nouveau souffle, qu’il s’agisse de la vie courante, ou de l’armée, une sorte de partenariat s’étant peu à peu mis en place entre la Générale et l’inventeur.
    Depuis peu, il est devenu davantage pour la générale : un ami sur lequel elle peut compter, chose bien rare par les temps qui courent.
    -Riarg Karminacii : L'Aîné des conseillers se doit d'être mentionné pour les relations conflictuelles qui sont les leurs. Refusant de se laisser corrompre par ces Nobles qu'elle juge pourris jusqu'à la moelle, Bellone n'accepte ses ordres qu'une fois assermentés par le Gardan Edorta. Ce qui lui vaut assurément l'animosité du seigneur Karminacii qui ne peut se servir d'elle comme il le fait de ses autres marionnettes...
    -Le Conseil : Son interlocuteur principal est le seigneur Jaktarii, conseiller en charge des finances et de la guerre. C’est un personnage qu’elle n’apprécie pas vraiment, chaque conseil en sa présence devenant rapidement une corvée.
    Les autres membres du Conseil, elle ne les rencontre quasiment jamais, ce qui lui convient parfaitement. A vrai dire, moins elle les voit, mieux elle se porte.
    -Noor Arlanii : Nul doute là-dessus, la Douairière est une femme de pouvoir. Ses relations avec elle restent tout à fait formelles et elle prend bien garde à ne pas outrepasser ses prérogatives en sa présence. Après tout, Bellone reste issue de la roture…
    -Sa famille : Composée de son père Orain, forgeron, sa mère Luciella, tisserande, et de son frère Caryl. Elle les aime tous les trois énormément et même si elle les voit moins qu'avant, ils la soutiennent toujours autant.
    -Darno et Adhna Taith : Le couple qui s'occupe depuis quelques années de sa maison, tout deux d'une extrême gentillesse.

    [Cette liste n’est pas exhaustive et est susceptible d’évoluer selon l’arrivée de nouveaux personnages et les RP.]

  • Équipement et possessions
    Bellone possède une maison à l’extrémité Est du quartier des Nobles qui sans atteindre la luxure de leurs villas reste toutefois splendide pour celle qui a vécu dans les Quartiers Pauvres. Cependant, elle n’y passe guère de temps si ce n’est pour dormir mais à toutefois engagé le couple Taith pour s’occuper de l’entretien de la bâtisse et du jardin.
    Elle y entrepose tous ses vêtements autres que militaires, une garde robe Ilédor qui tend aujourd’hui à prendre la poussière…

    La majeure partie de son temps, elle le passe au Quartier Militaire, dans le bureau qui lui a été attribué lors de sa prise de fonction. Spacieux et bien éclairé, elle s’y sent davantage chez elle que dans sa maison des Quartiers Nobles. Des étagères pleines de livres s’alignent sur les murs et au fond de la pièce trône l’armure dorée de la Générale des Armées.
    Un coffre d’assez grande envergure contient toutes ses armes, principalement épées et poignards, ainsi que des pièces de cuir de rechange.

    Sa fortune s’est faite de plus en plus importante au fil des ans et de sa montée en grade, et peu dépensière, elle le laisse négligemment s’accumuler sans vraiment s’en occuper.
    Cependant, elle verse régulièrement une somme d’argent à ses parents suffisamment importante pour leur permettre de vivre de manière acceptable, mais pas trop grande pour ne pas les froisser.

  • Animal de Compagnie /

    Bellone Lastareth Futur
  • Pistes de Développement pour votre personnage
    Bellone, en tant que Générale des Armées, doit défendre sa cité contre les envahisseurs qui attendent au dehors. Cela passe par des plans de défense, de l'espionnage et la recherche des traîtres dans leur rang (car traîtres il y a).
    Elle doit aussi et surtout apprendre à vivre avec sa douleur maintenant qu'elle a accepté la mort d'Elandor. Ce qui, le jour où elle apprendra qu'il n'en était rien, risque de lui causer encore plus de mal...



Dernière édition par Bellone Lastareth le Jeu 16 Aoû - 19:59, édité 9 fois
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Mithra Edorta
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MessageSujet: Re: Bellone Lastareth   Bellone Lastareth EmptyMer 17 Nov - 9:58

Pour moi, c'est parfait \o/

Je mettrais ma fiche à jour assez vite Wink (dès que je suis à jour)

EDIT : mais je laisse Lysandre te valider hen xD je donne juste l'avis que je t'avais promis Razz
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MessageSujet: Re: Bellone Lastareth   Bellone Lastareth EmptyMer 17 Nov - 19:35

Han, c'est émouvant ... Mais je suis convaincue que tu fais une meilleure Bellone que je ne l'aurais fait xD (oui je sais pas si je l'ai déjà dit, mais j'avais pensé Bellone pour moi Razz) !!
Bravo, c'est exactement Bellone I love you

Tu es validée, j'adore, j'adore, j'adore !
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MessageSujet: Re: Bellone Lastareth   Bellone Lastareth EmptyMer 17 Nov - 20:48

C'est vrai ? Sans rien modifier ? affraid

Par acquis de conscience, j'ai quand même édité la partie bataille contre les Révolutionnaires :

Citation :
Mais au lieu de placer à leur tête un militaire rompu et expérimenté, on y mit Onir Laetarii, beau frère de feu Joaldor Arlanii. Bellone s’insurgea mais on ne l’écouta pas. Non pas que le général n'avait pas prouvé sa valeur sur les champs de bataille, mais il commençait à vieillir et la stratégie militaire n'était pas sa plus grande qualité. Le résultat fut sans appel : à sous-estimer cette armée, les défenseurs, pour ceux qui avaient échappés au massacre, revinrent la queue entre les pattes se réfugier derrière les murs de leur cité pendant que les assaillants en profitaient pour gagner du terrain et installer leur siège.


Sinon, un grand grand grand merci Very Happy Very Happy Very Happy Very Happy Very Happy Very Happy
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MessageSujet: Re: Bellone Lastareth   Bellone Lastareth EmptyJeu 16 Aoû - 20:01

MAJ du 16/08/12 des relations sociales particulières

MAJ du 19/02/11 du nom, de l'âge et des relations sociales particulières
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