Les Tables d'Olaria
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 Maria Matalena Erza

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4 participants
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Maria Matalena Erza
Ilédor
Ilédor
Maria Matalena Erza


Nombre de messages : 7
Age : 35
Date d'inscription : 01/08/2010

.:: Le Carnet ::.
Âge du Personnage: 18
Profession: Joyeuse
Positionnement : Révolutionnaire
Maria Matalena Erza Empty
MessageSujet: Maria Matalena Erza   Maria Matalena Erza EmptyMar 3 Aoû - 22:49

Maria Matalena Erza Iledor

Maria Matalena Erza Vous
Derrière l'Ecran, le Joueur.

    • Pseudo La petiote
    • Âge 21 ans
    • Localisation Euh en ce moment tout de suite, je suis au Québec mais en septembre je serai de retour à Montpellier, puis à Rennes et à Paris…bref c’est compliqué tout ça !
    • Autre personnage C’est mon premier bébé ! J’en suis si fière !...hum hum…
    • Temps consacré au net (et au forum) dans une journée Tout dépend de mon emploi du temps mais ça peut aller de deux heures à une nuit !
    • Comment avez-vous connu Les Tables d'Olaria ? En farfouillant sur d’autres forums de rpg
    • Quelque chose à ajouter ? Hum…ouiii ! euh, non finalement…peut être…bon d’accord non rien…


Maria Matalena Erza Autre
Devant Vous, le Personnage.

    Maria Matalena Erza Identite

  • Prénom(s) Maria Matalena
  • Nom Erza
  • Âge 18 ans
  • Sexe Féminin
  • Statut Pauvre
  • Profession ou métier Joyeuse du Ceste Clouté

  • Positionnement : Révolutionnaire

    Maria Matalena Erza Physique
  • Taille Un peu plus de cinq pieds soit 1,64 mètres
  • Poids Au alentour de 45 livres carnassières soit 55 kilogrammes

  • Description physique détaillée
    Que dire de cet étrange bout de femme qu’est Maria Matalena ? Qu’elle est banale, pauvre parmi les basses classes d’Edor Adeï ? Non certainement pas…

    Ce qui ce dégage du mètre soixante de Maria n’est certainement pas de la banalité mais le qualifier reste tâche ardue. Une sensation de malaise peut être, un trouble profond et envoutant prendra celui qui se perdra sur ses courbes généreuses, de la gorge opulente à la chute cambrée de ses reins, sur sa peau d’albâtre subtilement parfumée d’ambre. Sa démarche langoureuse et ondulante attirera le regard, qu’il soit appréciateur ou narquois.
    Et si l’on ose s’approcher, le minois fin et délicat à souhait se dévoilera sous une crinière noire de jais, souple et brillante, encore empreint des marques d’une jeunesse à peine consommée. Les lèvres sont rougies, fruits luisants d’une tentation à peine cachée. Le regard orageux et pétillant sous de longs cils courbés s’offrira, plongeant le pauvre malheureux dans les tourments de ses éclats brun-roux.

    Tout n’est que tentation et charme dans cette demoiselle d’à peine dix-huit ans. Et pourtant la vie ne l'a pas épargnée et si l’on s’oublie un instant dans ses bras ciselés, on découvrira un corps musclé à la peau si douce que les cicatrices qui le parcourent ne sont que plus atroces. Les jambes fuselés, les épaules rondes et même le dos à la courbe sensuelle sont balafrés. Seul le ventre reste immaculé et soyeux. Les questions seront de trop car chacun a son histoire, même les plus petits de ce royaume.

  • Particularité physique notable De longs cicatrices lui parcourent le corps mais elles ne sont visibles que par ceux qui se perdent sous son charme.

    Maria Matalena Erza Psychologie
  • Description psychologique détaillée
    Si caractériser le physique de la Joyeuse n’est pas chose aisée, laisser entrevoir ce qu’elle est l’est encore plus. La gamine est complexe, sombre et ne s’entend que difficilement. Lire dans ces grands yeux roux n’apporte qu’incompréhension et doute.

    Mais voyons voir ce qu’elle semble être tout d’abord. Tout dans son paraître pousse à la croire, lascive, joueuse et charmante. Son regard pétillant, ses sourires langoureux et même le timbre de sa voix suave et passionnée renforcent les qualités qui font d’elle, la Joyeuse du Ceste Clouté. Ses rires sont fréquents, aussi légers que des oiseaux de cristal et se brisant au moindre souffle d’air. Son attitude avenante et douce, docile à souhait, à l’écoute des moindres besoins de ses clients et soumise aux ordres de son patron en font une demoiselle courue lorsque la journée a été longue et que la nuit se veut courte. Ses bras sont des havres de tranquillité et sa présence, presque naïve ne peut qu’apaiser, bulle de fraîcheur dans une ambiance parfois bien trop moite. Même ses conseils offerts dans des murmures peuvent parfois être d’une étrange justesse.

    Mais voilà, si l’on se perd un peu trop près de la belle enfant, si on tente de l’apprivoiser, le malaise revient. Ce regard roux de prime abord accueillant se trouble en une froideur presque hautaine, un vide profond de quelconque sentiment. L’esprit se fait précipice et le corps devient mécanique, enchainant les mouvements presque malgré lui. Car rares sont ceux qui savent l’approcher et déceler ce qui ce cache derrière ces sourires. Un esprit vif, brillant peut être même trop pour une jeune femme de sa condition, des pensées acérées que retient une langue de plomb. Silencieuse et calculatrice, Maria observe le monde derrière son masque. Les choses vont et viennent, les alliances se font et se défont et la gamine compte les points. Elle aime savoir sans pour autant être commère et cette qualité fait d’elle une informatrice hors pair. Pourtant, la peur de s’ouvrir à l’autre entachera à jamais son être. Bafouée, elle l’a été et désormais, elle ne saurait s’offrir à nouveau. Ou peut être que cela viendra mais le temps sera long avant que le masque ne tombe.

  • Particularité psychologique notable Maria se mure dans un silence et une froideur extrême lorsque l’on tente de l’apprivoiser d’un peu trop près. Offrir son corps oui mais jamais son âme.

  • Connaissances, Savoirs, Capacités
    Hum…que sait elle…Pas tant de choses finalement…La Joyeuse connait son rôle du bout des doigts. Voilà une de ses capacités les plus évidentes. Cuisiner, servir à boire comme à manger, sourire, engager une discussion avec le plus austère des hommes mais aussi danser, chanter, conter et autres distractions qu’il ne serait pas recommandable de citer ici.

    Mais Maria a également d’autres cordes à son arc. Elle maitrise l’écriture et la lecture, de même que les calculs, l’astronomie comme la plupart des enfants de la ville. Elle a une passion certaine pour les armes et plus particulièrement pour la dague d’argent que son père lui a légué, il y a quelques années. Elle ne combat pas comme un soldat aguerri mais sait parfaitement se défendre selon la situation. La fuite ou le combat, elle saura choisir. Elle a enfin des connaissances étendues en guérison qu'il s'agisse d'un simple coup de froid à un mal de l'âme.

    Maria Matalena Erza Passe

    Une porte claqua parmi des rires et des tintements de vaisselles. Un signe, un regard et la gamine à la démarche ondulante s’approcha, docile et souriante.

    « Bien le bon jour cher voyageur et la bien venue au Ceste Clouté ! Que puis-je faire pour adoucir votre journée ? »

    Le regard pétilla, les lèvres s’ourlèrent en une moue gracieuse et mutine. Mais la question intrigua, fâcha même. La mine se fit orageuse, troublante et troublée. Parler d’elle ? Non jamais et pourtant…La gosse s’assit. Son visage se perdit dans ses mains. Ses yeux se ternirent cruellement.

    « Ma vie…voilà une histoire qui ne se conte pas…une histoire qui se murmure à peine…une histoire qui ne devrait que s’oublier… Elle n’a rien d’un drame, rien d’une comédie…juste un éclat terne de miroir peut être…»

    Les lèvres s’étirèrent à nouveau en un rictus amer et le dégoût gâcha le minois fermé, désormais.

    « Je m’appelle Maria Matalena Erza. Et ma vie commença par une sombre nuit d’automne. J’avais treize ans, du moins c’est que la patronne de la maison de jeux a déclaré en me récupérant sur le bord de sa porte. Avais-je été abandonnée ? Oui il semblerait de toute évidence mais je ne saurais vous dire ce qui a poussé mes parents à ainsi tirer un trait sur une partie de leur vie. Peut être n’étais-je pas ce qu’ils souhaitaient ? Peut être avais-je fait quelque chose ? Je n’en ai pas le moindre souvenir, si ce n’est des éclats de rires qui sonnent si faux en moi que les nausées me prennent à leur simple évocation.

    Ma vie commença donc par un examen médical poussé de ma petite personne. J’étais une enfant menue, vierge et naïve mais dotée de rondeurs bien trop féminines pour mon âge et mon regard roux fascinait ma patronne. Elle m’avait eue bien amochée, les bras et les jambes lacérés par des lanières de fouet, semblait-il. J’avais été battue à mort. La raison m’échappe encore mais à n’en pas douter, j’avais du le mériter car les poches de mes guenilles regorgeaient de bijoux hors de prix. Ma patronne les saisit et les utilisa afin de me loger et me nourrir quelques jours. Puis vint l’instant inévitable où je dus travailler pour gagner ma croute. La prostitution n’est pas acceptée dans notre beau royaume mais si vous pouviez imaginer, un seul instant, le nombre d’hommes et de femmes que j’ai croisés. Mes premières nuits furent sombres, emplie de cette odeur suave d’amour sale et du haut de mon jeune âge, j’eus peur. Peur à en vomir, peur à vouloir en finir, peur à vouloir tuer. Mais mes mains étaient trop jeunes et je ne pus que trembler à cette simple idée. Alors le temps passa et mes yeux roux et mes courbes de plus en plus rondes continuaient de plaire. La routine fit son œuvre et bientôt, la peur disparut.

    Les choses devinrent plus aisées et pour la première fois de ma vie, j’eus de l’argent à moi, des robes et même des livres. On me demandait dans toute la ville et même les quartiers les plus riches réclamaient ma petite personne. Vous imaginez le bonheur de ma patronne qui avait agrandi sa demeure et renouvelé de fond en comble sa garde robe, me traitant avec le plus grand soin. J’étais le joyau de sa collection, sa petite Maria. Elle me traînait dans tous les salons huppés, me montrant comme on montre un animal de foire, bradant mes prix comme ma vie. C’est alors que je le rencontrais.

    Il avait le visage noble et beau de ceux qui ont la naissance facile. Son regard me fascina et sa voix résonne encore en moi avec mélancolie. Il fut le premier à être doux à mon égard, à s’inquiéter pour ma personne. La première fois que nous nous vîmes seuls, il n’effleura que la courbe de mon visage, m’invitant à chanter pour lui, tandis qu’il se perdait dans la contemplation d’un verre de vin. Il me rappela le jour suivant et les jours d’après et chaque fois, je me présentais à lui, un étrange apaisement au cœur et à l’âme. Il me demandait de parler de moi, me contait sa vie, ses affaires, sa femme. Elle qui désormais était si froide envers lui, qui préférait se perdre dans ses volutes de drogues plutôt que dans ses bras. Il souffrait, je le voyais et je tentais de mon mieux de l’apaiser. Peut être ai-je trop réussi…Car quelques jours plus tard, je fus capturée par des hommes en noir et battue à mort avant d’être abandonnée au détour d’une rue. Je fus frappée si fort que mon esprit avait vacillé. Mes blessures étaient si profondes que désormais mon corps est parcouru de leurs marques. Jamais plus, il ne m’appela à ses côtés et jamais plus je ne le revis…

    Mes jours étaient devenus sombre et ma bonne humeur, mes sourires charmeurs avaient laissé place à une morosité étrange, une mélancolie d’amour perdu qu’il m’était interdit de ressentir. Alors les choses empirèrent et l’affaire de ma patronne se mit à décliner. Bientôt, elle dut se séparer de ses filles et je fus la dernière. Avant de me quitter ainsi que la ville, elle pleura de longues minutes sur mon épaule. J’avais été son coup de chance, sa fortune…Et tout avait disparu. Je ne sais ce qu’elle est devenue mais je ne nourris aucun reproche à son égard. Elle avait fait pour le mieux et je la remercie d’avoir ramassé la gamine que j’étais il y a cinq ans. »

    Le minois se releva lentement et le sourire revint avec douceur, éclairant la bouille encore délicate. Le regard roux étincela d’une joie certes forcée mais qui tromperait le plus adroit des menteurs.

    « Depuis, ces temps-ci, je travaille au service de mon très cher patron. »

    Les yeux scintillèrent et les lèvres se fendirent en une moue malicieuse. Le menton se tendit vers l’aubergiste et un voile de tendresse inonda les traits encore trop jeunes.

    « Il m’a accueillie les bras ouverts alors que je cherchais désespérément à me faire une place en ce bas monde. Il est l’homme à qui je dois tout ce que j’ai et peut être même ma vie, car il m’a soignée lorsque blessée, j’étais arrivée devant sa porte. Il fut l’oreille attentive et le seul en qui je crois encore. Alors voilà, étrange voyageur… »

    La lascive gamine se redressa dans une grâce éthérée.

    « Voilà la vie de Maria Matalena… »

    Et elle disparut.


    Maria Matalena Erza Viesociale

  • Position face aux événements politiques
    Les faits politiques des dernières années ont quelque peu été occultés dans l’esprit de la mystérieuse joyeuse. Alors que peut-elle en penser ? Qu’en sait-elle déjà ?

    Les troubles liés à la prise de pouvoir par l’actuel Régent face à son propre frère, tué par un heureux hasard lui restent pour elle lointains et peu influençable par sa petite personne. Néanmoins, elle ne peut que critiquer la position plus qu’avantageuses des nobles de la cité face à la misère qu’elle subit tous les jours. Ce temps n’a que trop duré à ses yeux et elle souhait ardemment que cela change sous peu. C’est pourquoi la guerre civile se préparant dans les rumeurs à peine formulées ne peut que lui réchauffer l’esprit. Cependant, elle garde de lourdes réserves à ce sujet. Le siège pourrait être long et cela ne signifiera certainement pas une amélioration de sa qualité de vie actuelle et la guerre ne lui inspire que de la crainte. La présence des étrangers venus de l’autre côté de la Gérax ne la rassure pas également, comme toute personne bien pensante face à l’inconnu, rien de plus pourtant car elle a appris à les accepter grâce à sa place de Joyeuse au Ceste.

  • Relations Sociales particulières
    Maria a toujours fait en sorte de ne s’attacher à personne. Orpheline, elle n’a aucuns souvenirs de sa famille et préfère se perdre dans son amnésie léthargique la préservant de la douleur psychologique qu’a été le fait d’être abandonnée par ses proches. L’unique personne qu’elle estime encore ici bas est son patron qui l’a embauché au Ceste Clouté et pour qui elle nourrit l’amour des plus sincères d’une enfant face à son père. Son attitude est toute autre avec la compagne de son patron, Elenor, qu’elle respecte, connaissant l’affection qu’à Sieben à son égard mais observe néanmoins d’un regard critique lorsque celle-ci roule ivre morte sous une table.

  • Équipement et possessions
    Une dague en argent, objet qu’elle s’est offert quelques années auparavant.
    Des pendants d’oreille en argent, cadeaux d’un de ses habitués lorsqu’elle se prostituait.

  • Animal de Compagnie Aucun

    Maria Matalena Erza Futur
  • Pistes de Développement pour votre personnage Cela se fera au fil des rencontres…


Dernière édition par Maria Matalena le Jeu 5 Aoû - 10:35, édité 1 fois
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Lysandre Hirune
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MessageSujet: Re: Maria Matalena Erza   Maria Matalena Erza EmptyMer 4 Aoû - 19:33

Bonsoir Maria,
Je pourrai lire ta fiche demain !
Sauf si entre temps un membre de l'équipe s'en est chargé ^^
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MessageSujet: Re: Maria Matalena Erza   Maria Matalena Erza EmptyJeu 5 Aoû - 8:45

J'ai lu ta fiche hier moi =).
C'est simple, fluide et très agréable à lire.
Juste une petite chose, dans tes savoirs, ça m'embête un peu que tu parle de carrément de chirurgie. Rien dans ton background ne justifie que tu ai des connaissances dans quelque-chose d'aussi complexe. Il faudrait que tu remanie ce petit point là.
Pour le reste, ça me semble parfait !

FICHE VALIDÉE !

Une fois la petite modif faite, tu pourras aller poster en rp et en flood \o/.
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MessageSujet: Re: Maria Matalena Erza   Maria Matalena Erza EmptyJeu 5 Aoû - 10:38

Voilà qui est changé pour une connaissance des maux les plus simples du corps et de l'âme. Sa connaissance en guérison reste néanmoins étendue car qui sait l'enfance qu'elle a vécu et les précepteurs qu'elle a pu avoir...

En tout cas, merci pour cette validation !
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Ergan Dialon
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MessageSujet: Re: Maria Matalena Erza   Maria Matalena Erza EmptyJeu 5 Aoû - 10:51

Et un hourra pour notre première Révolutionnaire Ilédore!!! \o/
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