Rencontre au sommet pv Noor x)

le sol du couloir qui menait au appartement royaux étaient rythmés par le bruit des pas du commandant Phaedan Indaril il c'était passé bien du temps depuis sa promotion et sa rencontre avec la mère de son ami. Depuis il avait mis du plomb dans la tête qui était celui était son supérieur, cela avait pris du temps et de l’énergie mais a force de subtilité il était arrivé rétablir les choses. C'était un problème de moins le siège des révolutionnaire était déjà assez pénible comme ça si des problèmes interne éclatait en plus ce serait un désastre .

Ensuite il avait approché un grand groupe d'olaril qui accueillait depuis pu sur son domaine , et par la force des choses il était devenu l'ami de leur chef.

Phaedan était venu rendre compte à Noor même si leur objectif pouvaient paraître différent de prime abord ils se rapprochaient sur beaucoup de point et différent de peu.

Après avoir été annoncé et il pénétra dans les appartements de Noor et la saluât.

Puis il entamât son rapport sur un ton ferme et militaire , comme tout soldat rends compte à son supérieur.

" Ma dame je viens vous faire mon rapport et vous tenir ainsi au courant de nos avancés.
Dans un premier temps tout comme vous me l'aviez demandez j'ai arrangé les choses avec votre parents vous serez peut être satisfaite d'apprendre que tout est rentré dans l'ordre, et que votre neveux est désormais un commandant avec un peu plus de plomb dans la cervelle, et un peu plus estimé de ses hommes.
Cela aura demanda beaucoup de travail mais finalement après beaucoup d'effort nous y sommes parvenu, bien évidement je resterais auprès de lui pour le conseiller.

Ensuite j'ai accueillit sur mon domaine un large groupe de ces olarils.Ils nous sont favorable et mon assurés qu'il nous aideraient contre ceux qui pensent pouvoir s'octroyer le trône de votre fils du jour au lendemain.
Leur chef n'est autre que le fils de leur ancien chef qui a vu sa famille dépossédée du trône qui lui revenait.
Il comprends donc d'autant plus nos problème.
J'attends des nouvelles d'un de mes informateur en qui concerne ce qui qui se dit dans la rue "

Phaedan espérait que le jumeau Solonen mènerait à bien sa tâche au combien cruciale .

Noor Arlanii posa son livre sur le côté avec un demi-sourire plein de neutralité bienveillante. Elle n’avait pas suivi au jour le jour les progrès de l’ami d’enfance d’Ysor avec son neveu. Pour elle Erathan Laetarii était une cause perdue, on ne pouvait qu’avoir des progrès avec lui, mais on obtenait que des déceptions. Erathan avait hérité de la tête de mule de sa mère, belle sœur de Noor, et lorsqu’on parlait de tête de mule, c’était faible : Siran Orkalii avait été une adolescente odieuse avant d’être une femme imbuvable. Le pauvre Onir disait souvent qu’il préférait combattre les révolutionnaires plutôt que d’affronter son dragon de femme. Les révolutionnaires l’avait semblent-ils davantage délivré que tué, mais son fils Erathan s’était senti le devoir d’endosser sa cape, et Siran Orkalii en avait été très fière cette vipère.

Enfin, peu importait, Noor Arlanii pouvait tempêter jusqu’à sa mort à propos de son neveu, ce qui représente un certain temps encore.

Pendant que le commandant exposait son rapport dans toute sa rigueur militaire, elle congédia d’un geste discret les dames de compagnies qui faisaient semblant de travailler autour d’elle. Elles emportèrent leurs ouvrages, mouchoirs brodés de leurs initiales ou de celles de leurs promis, napperons aux armes des Arlanii… Alors que Phaedan Indaril finit son exposé, ils étaient seuls. Elle acquiesça légèrement, et se leva pour aller plus proche de la fenêtre, où on avait une vue imprenable sur la Gérax et le camp révolutionnaire. Elle portait à ce moment là une robe verte sans motif, et une couronne des plus simples, un simple anneau d’argent qui lui ceignait la tête, à peine ciselé, sa coiffure était retenue par un filet émaillé de perles.

« Mes sincères félicitations pour avoir réussi à canaliser ainsi mon neveu. Je n’aurai jamais cru cela possible, mais je doute sincèrement que cela ne dure bien longtemps : vous verrez certainement en rentrant quelque scandale fait dans votre dos. Enfin, même si vous ne faîtes que colmater, la brèche dont vous vous occupez est une brèche en moins dans la digue qui protège Ysor. Merci Commandant Indaril. »

Elle confirmait implicitement le grade qu’elle lui avait fait donner avant de commencer cette mission.

« Quant à ces Olarils…hm… certainement une initiative intéressante, mais je m’inquiète quant à ce fils de chef écarté du pouvoir… êtes vous sûr qu’il ne souhaite pas plutôt le trône d’Ysor ? Vous savez que le moindre de ces étrangers est un descendant direct de Bakarne, et peut en conséquence réclamer le trône. »

Elle fronca des sourcils et se détourna franchement de la fenêtre pour lui faire face :

« Et puis, qu’attendez-vous de moi exactement ? »

Phaedan s'attendais à la réaction de Noor, elle faisait ce que faisait toute mère c'est à dire qu'elle se méfiait de tout ce qui pourrait nuire a son fils. Tout comme Phaedan assurait les arrière de son mai d'enfance.

"Je comprends vos inquiétudes , mais cet homme n'aspire pas à prendre le trône il veux une terre pour lui et son peuple , une terre à eux. Pas la notre ni celle d'un autre, la leur.Il ont besoin de nous tout autant que nous avons besoin d'eux.

C'est pour cela qu'en échange de leur aide je leur rendrais ce service.
L'important est que ce sont des olarils et qu'ils sont de notre cotés ils nous sont fidèles et reconnaissant pour l'aide que nous leur avons apporté, c'est une chance qui s'offre à nous, et nous devons la saisir."

"Je cherche tout comme vous ce qu'il y a de mieux pour Ysor. Et je n'aurais pas pris de risque avec ces Olarils croyez moi . Je ne cherche qu'à préserver Ysor et vous même ainsi que notre belle cité c'est tout "

La question de noor l'avait pratiquement déstabilisé lui qui n'avait fait que servir toute sa vie voila qu'on lui demandait quels était ses attentes.

"Ce que j'attends de vous ? madame je vous sert, vous et Ysor je ne suis pas habilité à attendre quoi que ce soit de votre part.Mon titre de commandant me convient parfaitement et tout ce que pourrait exiger de vous serait que vous me laissiez vous servir juqu'a ce que nous ayons maté ces maudits révolutionnaire."

Les seules initiatives qu'avait jamais pris Phaedan était des initiative militaire.Alors il était impensable pour lui d'exiger quoique ce soit.

Une légère moue se fit sur le visage de Noor alors qu’elle jaugeait la confiance qu’elle pouvait accorder au Commandant Indaril. C’était une habitude, quasiment une déformation qu’elle avait pour chaque interlocuteur : La plupart de ceux avec qui elle parlait étaient souvent plus ou moins des serpents il fallait dire, il ne fallait tendre la main à aucun d’entre eux. Ou du moins pas directement d’entrée de jeu. Cela dit… Phaedan Indaril n’était pas un de ceux là, il était militaire, noble de rang, il était dévoué à Ysor, bien qu’on ait déjà vu des amis d’enfance trahir leur souverain. Bien qu’on ait déjà vu également des militaires jouer aux politiques.

C’était un choix à faire, mais en l’occurrence, ce n’était pas un choix fondamental : il s’agissait de parquer une partie des descendants de Bakarne dans un coin, et ainsi les éloigner un peu d’Ysor. C’était bien, c’était noble, mais c’était aussi donner à un homme beaucoup de pouvoir, vu l’importance de la prophétie. Et si l’enfant était parmi eux ?

Si elle lui demandait si elle pouvait lui faire confiance, le Commandant Phaedan risquait bien de mettre un genou à terre et de jurer dix fois fidélité, allégeance, de donner sa vie et tout ce qui constituait des classiques de la littérature épique. Comme le font d’autres traîtres, ce n’est pas ainsi qu’il se ferait différencier. En fait, la seule solution était : lui faire confiance à l’aveugle.

« Et bien soit, très bien. Je vous tiens pour responsable de la conduite de ces olarils, et particulièrement de tous ceux qui auraient des intentions envers le titre de Gardan Edorta. En échange, je suppose qu’il vous faudra peut être un soutien non ? Nos finances sont au plus mal en ce moment, je ne vous le cache pas, mais dites toujours, je verrai si Ysor peut vous débloquer de tels fonds. »

Elle réajusta son filet de perles en un geste assez féminin.

« Quant à votre grade, je suis partisane du mérite : tant que vous méritez de le porter, vous le porterez. Et vous le méritez n’est ce pas ? De toute façon, je n’aime pas trop me mêler à tout bout de champ des affaires militaires. »

Noor lui fasait confiance , enfin c'est ce que Phaedan percu en partie , Phaedan n'était pas dupe il savait qu'il lui faudrait encore prouver qu'il était digne de confiance , mais cela ne serait pas bien compliqué étant donné qu'il était de son coté , quand à tenir les olaril loin de du trône d'Ysor aucun problème l'affaire était réglée.

Phaedan fit face a Noor et la regardât droit dans les yeux pour lui monter qu'il n'avait rien à cacher il se frappa le poitrail le poing fermé comme pour saluer et lui dit sur un ton ferme

"Madame je vous suis gré de me faire confiance , et je vous montrerais que vous n'avez pas faire à un ingrat. Je ferais tout mon possible pour venir en aide à Ysor , pour la pérennité de son trône.
Je comprends votre rétissance à accorder votre confiance compte tenu de la situation
il est vrais que nombreux sont les vautours qui tourne autour du trône de votre fils.
Mais vous verrez que vous ne vous êtes pas trompée loin de la."
.
Phaedan saluât et dit

"Maintenant si vous le permettez j'aimerais me retirez pour m’atteler au plus vite à la tache que m'avez confiée et ainsi meriter la confiance que vous m'accordez.

A moins bien-sur qu'il y ait autre chose dont vous voudriez me faire part ?"

Noor répondit en un seul discours :

« Non, j’ai déjà plus que ce que je pourrai souhaiter : un homme fidèle et droit, qui allie la compétence avec la fidélité. Je comprends mieux pourquoi Ysor n’a pas renié vos relations d’enfants. Je retrouve en vous ce qui m’avait plus en votre père, du moins dans le très peu que je connaissais de lui, nous n’étions pas familiers je le crains.

Allez donc, faites honneur à votre rang et je veillerai à ce que vos efforts ne restent pas sans salaire, rien n’est plus vil que l’ingratitude, et particulièrement de la part de gens qui vous doivent une fière chandelle. Si jamais vous avez une idée de gratification, demandez et je verrai pour vous exaucer, que cela vous concerne vous ou votre famille. »

Et elle était sincère. Avec ces olarils gardés à l’œil, c’était un front en moins d’ouvert, une source d’inquiétude qui se tarissait. Ce qu’il faisait était utile et surtout, il était autonome sur ce point et l’affaire n’aurait pas besoin de surveillance.

« En sortant, vous serez gentil de m’envoyer les dames de compagnies, ces jeunes oies doivent être en train d’écouter à la porte de toute façon. »

Elle reprit doucement l’ouvrage qu’elle inspectait au début de l’entretien.